Philippe Martinez, secrétaire de la CGT, le mythe de l’homme de la lutte des classes et la réalité de l’ascension d’un bureaucrate
1er mars 2021, 09:37, par Laurence
Martinez, le lundi 13 mai, à l’ouverture du 52e congrès de la CGT :
« La contestation ne peut se conjuguer qu’avec propositions ».
Dans une interview au Monde précédant l’ouverture du congrès, Martinez affirmait :
« Aujourd’hui, comme hier, le rôle d’un syndicat est de négocier à tous les niveaux où cela est possible. Et quand la négociation bloque, il faut créer un rapport de force, dans les entreprises ou dans la rue. Cela a toujours été comme ça. Ce qui change aujourd’hui, c’est que le gouvernement considère que la négociation interprofessionnelle ne sert plus à rien, et renvoie tout dans les entreprises. Il n’y a aucune raison de changer de ligne. “On ne lâche rien !” sera mon mot d’ordre à ce congrès. »
« On peut crier haut et fort “grève générale”, mais posons-nous d’abord et surtout la question de l’absence, dans les actions professionnelles ou interprofessionnelles, d’une partie importante de nos syndiqués. »
Donc, pour Martinez, « clamer haut fort ‘grève générale » ne sert à rien selon Martinez puisque les journées d’action sont désertées !!!
Martinez est pour les plans d’aide étatique au capitalisme !
Mardi 23 juin, Philippe Martinez, secrétaire général de la CGT, était interviewé sur France Inter
« Il faut un vaste plan d’investissement pour développer l’emploi et ne pas le supprimer… Ce serait une erreur de continuer à vendre nos bijoux de famille à des entreprises qui cherchent d’abord à récupérer un marché plutôt qu’avoir un plan stratégique. C’est valable pour Nokia, mais c’est valable pour des tas d’entreprises en France ».
Martinez, le lundi 13 mai, à l’ouverture du 52e congrès de la CGT :
« La contestation ne peut se conjuguer qu’avec propositions ».
Dans une interview au Monde précédant l’ouverture du congrès, Martinez affirmait :
« Aujourd’hui, comme hier, le rôle d’un syndicat est de négocier à tous les niveaux où cela est possible. Et quand la négociation bloque, il faut créer un rapport de force, dans les entreprises ou dans la rue. Cela a toujours été comme ça. Ce qui change aujourd’hui, c’est que le gouvernement considère que la négociation interprofessionnelle ne sert plus à rien, et renvoie tout dans les entreprises. Il n’y a aucune raison de changer de ligne. “On ne lâche rien !” sera mon mot d’ordre à ce congrès. »
« On peut crier haut et fort “grève générale”, mais posons-nous d’abord et surtout la question de l’absence, dans les actions professionnelles ou interprofessionnelles, d’une partie importante de nos syndiqués. »
Donc, pour Martinez, « clamer haut fort ‘grève générale » ne sert à rien selon Martinez puisque les journées d’action sont désertées !!!
Martinez est pour les plans d’aide étatique au capitalisme !
Mardi 23 juin, Philippe Martinez, secrétaire général de la CGT, était interviewé sur France Inter
« Il faut un vaste plan d’investissement pour développer l’emploi et ne pas le supprimer… Ce serait une erreur de continuer à vendre nos bijoux de famille à des entreprises qui cherchent d’abord à récupérer un marché plutôt qu’avoir un plan stratégique. C’est valable pour Nokia, mais c’est valable pour des tas d’entreprises en France ».