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Quelles idées de la physique quantique changent fondamentalement notre vision du monde ?

14 avril 2022, 09:08, par JFP/Jean-François POULIQUEN

▬Bonjour Monsieur Paris ; la physique est aussi du rêve de notre propre nature à portée de nos yeux sur de simples moucherons, ne pesant presque rien, et pourtant les nuages de moucherons sont comme des électrons !!!
▬Les objets physiques comme les conçoivent la plupart des gens, sont des objets ne changeant pas dans le temps, ainsi une chaise, une table, une enclume, et autres objets, durent plus qu’une vie, voir même plusieurs vies, et même des millénaires, comme si ils étaient là pour l’éternité, tandis que les objets quantiques sont furtifs, impalpables et sans durée de vie, car ils apparaissent et disparaissent sans pouvoir même leur donner une notion de laps de temps d’existence. Le temps est donc une des conséquences, de cette non -compréhension des objets quantiques. Mais cela n’est pas que le temps, car avec la physique quantique associer la notion d’onde à l’électron qui est bien autour du noyau atomique, est d’autant plus difficile à comprendre, car déjà nous ne savons pas vraiment ce qu’est une onde, ni même l’électron. Le problème de cette physique quantique est qu’elle attribut des fonctions d’ondes, à des objets qui n’en sont pas, du moins ce que l’on croit, et des fonctions de corpuscules à des objets comme la lumière. Le problème est de définir ce que peur être une particule que l’on croit bien réelle. Avec les expériences des fentes de Young, c’est encore pire, car on nous dira que l’onde de l’électron passe à travers les deux fentes, et que le corpuscule qui est l’électron lui-même ne passe lui que par une seule fente. Comment comprendre quelque chose dans ce formalisme, car si il y a deux fentes, il y a forcément interférence, et si il n’y a d’une fente l’interférence n’existe plus ? La notion même de corpuscule et d’onde est sûrement totalement fausse, car une particule n’est ni une onde ni un corpuscule, mais encore autre chose de plus subtile. La particule n’est pas un objet au sens ordinaire, car non vraiment localisable, et ne pouvant être mesurer par son parcours comme sa vitesse en même temps. Comment alors parler d’objets, si ces particules ne sont pas des objets dans le sens commun des choses ordinaires. Les particules ne sont pas des objets, mais des structures qui se déforment, et donc leur volume n’est pas constant, car une partie peut être à un endroit et l’autre partie ailleurs. Comment mesurer quoi que ce soit, si la mesure ne porte que sur une partie d’un tout ? Et pire encore, car la mesure forcera la particule à se rassembler et se compacter en un même endroit, ce qui fausse la vérité de ce que l’on veut mesurer. Comme une particule par sa structure se trouve à des endroits différents, on nous parlera alors d’états. Ainsi pour l’enclume qui est un belle objet commun, celle-ci à plusieurs états, simplement parce qu’elle à un volume. Mais l’enclume ne change pas de forme, et on ne peut considérer des états différents de l’enclume, mais pour la particule, c’est exactement le contraire, car celle-ci s’étale dans l’espaces avec des contraintes bien sûr, mais dire que la particule à une position est me semble t-il absurde. Une particule comme l’électron est assimilable à un nuage de moucherons, toujours en action et déplacement dans ce nuage, mais dès que vous présentez quelque chose dans ce nuage de mucherons, le nuage change de place sans qu’il soit uniforme, et peut même être même divisé temporairement, mais se reconstruira plus loin en se réunissant et toujours en activité de mouvement. On ne peut pas suivre à notre échelle, le parcours d’un seul moucheron de ce nuage, car il fait des sauts dans tous les sens, mais l’ensemble des moucherons forme bien se nuage de moucherons, donnant un certain volume. Il faut considérer que l’électron est la même chose que ce nuage de moucherons. C’est une image de pensée de comparaison qui oblige à dire que l’électron est constitué par d’autres entités inconnues, et quand on essaie de le mesurer, toutes les entités se rassemblent en une sorte de point, qui est l’inverse des moucherons de la réalité. L’électron est donc dans cette image de pensée un nuage actif permanent, qui se modifie constamment, mais autour de lui, un autre nuage apparaît qui est le nuage de polarisation, que sont les particules virtuelles du quantique. A l’heure actuelle, nous ne savons pas vraiment tester ce nuage de polarisation, car nous testons un endroit plutôt qu’un autre, mais jamais plusieurs endroits différents simultanément. La notion d’onde pour l’électron, revient à dire que l’électron se divise par contrainte. C’est sûrement très surprenant, mais c’est une possibilité pour dire que l’électron n’est ni une onde ni un corpuscule, mais une structure d’entités plus petites, donnant toujours les mêmes caractéristiques de charge et de masse. L’électron est donc un ensemble d’entités encore plus petites le constituant, et où sa forme change tout le temps. De là, l’électron passe bien bien par les deux fentes de Young, et ce sont les parties divisées par les fentes, qui donnent cette interférence sur l’écran récepteur, mais il faut voir que les deux paquets d’entités issus de l’électron divisé, sont toujours en commun, et quand l’impacte se produit sur l’écran de contrôle, il y a alors rassemblement de l’ensemble pour avoir un seul impacte. Cette image de pensée est exactement le contraire du nuage de moucherons, car si on touchait un seul moucheron, le nuage de l’ensemble des moucherons se dilaterait et se déplacerait, mais pour l’électron, la première entité touchant l’écran de contrôle des impactes, oblige que toutes les entités de l’électron se rejoignent en une sorte de point. C’est beau l’imagination et la nature, mais cela ne fait rien mordre à l’hameçon, car les physiciens et leur probabilité de présence, préfèrent les équations, que les moucherons. Il n’empêche que ces moucherons font des sauts quantiques, qui sont des sauts sans notion de temps, et donc ce n’est pas l’électron qui saute mais ces entités. Quelle drôlerie, car certaines entités de l’électron sont même remplacées par des entités du nuage invisible de polarisation. Comment pouvons-nous comprendre alors, que les dits objets ou particules réelles du quantique, ne peuvent pas être des enclumes, car comparer un nuage de moucherons à une chaise, une table, ou une enclume qui est sans rapport, et pourtant ces petits moucherons font bien partie de notre réalité, et leurs comportements sont aussi singulier que l’électron. Il me semble préférable d’imaginer de ce que l’on ne peut pas voir, plutôt que de le calculer, car la nature est riche en concepts. Donc dire qu’un nuage de moucherons est un objet, est donc faux, car un nuage évolue sans cesse, pas l’enclume.
▬Amicalement. JFP Jean-François Pouliquen jfp.pouliquen@hotmail.fr

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