"en 1926, Malraux se trouvait en Chine au service du Komintern-Kuomintang, et il est l’un de ceux qui portent la responsabilité de l’étranglement de la Révolution chinoise. Dans ses deux romans*, Malraux, sans le vouloir, a donné un tableau révélateur de la politique du Komintern en Chine."
*Les conquérants et la condition humaine.
Le stalinisme ce virus du pouvoir ouvrier, nourri par un affaiblissement mondial des révolutions prolétariennes, qui finit vidé de tout son contenu révolutionnaire.
Le stalinisme pèse encore aujourd hui dans le retard que prennent les mouvements de révoltes ouvrières.
Des pays entiers sont encore sous le poids idéologiques du stalinisme et aussi sous son oppression directe.
La révolution sera aussi une lutte contre les états qui utilisent cette propagande qu’ils appellent "communiste ou socialiste" alors que la réalité est une dictature capitaliste féroce soutenue par des états qui se définissent comme "démocratiques". Les mots sonnent creux et seules des révolutions renversant ces règimes capitalistes dont les bourgeoisies se cachent derrière des murs d’hypocrisies et de mensonges, pourront redonner un sens à la lutte de classes et son dénouement dans l’abolition de toutes classes sociales.
"en 1926, Malraux se trouvait en Chine au service du Komintern-Kuomintang, et il est l’un de ceux qui portent la responsabilité de l’étranglement de la Révolution chinoise. Dans ses deux romans*, Malraux, sans le vouloir, a donné un tableau révélateur de la politique du Komintern en Chine."
*Les conquérants et la condition humaine.
Le stalinisme ce virus du pouvoir ouvrier, nourri par un affaiblissement mondial des révolutions prolétariennes, qui finit vidé de tout son contenu révolutionnaire.
Le stalinisme pèse encore aujourd hui dans le retard que prennent les mouvements de révoltes ouvrières.
Des pays entiers sont encore sous le poids idéologiques du stalinisme et aussi sous son oppression directe.
La révolution sera aussi une lutte contre les états qui utilisent cette propagande qu’ils appellent "communiste ou socialiste" alors que la réalité est une dictature capitaliste féroce soutenue par des états qui se définissent comme "démocratiques". Les mots sonnent creux et seules des révolutions renversant ces règimes capitalistes dont les bourgeoisies se cachent derrière des murs d’hypocrisies et de mensonges, pourront redonner un sens à la lutte de classes et son dénouement dans l’abolition de toutes classes sociales.