En résumé, en théorisant l’homme séparément de la nature, ne parvient-on pas à une morale ? Celle-ci peut relativiser le savoir ensuite, elle n’a fait que le palcer d’abord au sommet ? Kant dit : « On mesure l’intelligence d’un individu à la quantité d’incertitudes qu’il est capable de supporter. » mais l’incertitude ne suffit pas à nous dire comment nous agissons dans ce monde ?
Du coup, on risque fort d’en venir à une vision centrée sur l’homme et qui théorise que l’homme doit être sage et ne pas trop prétendre connaitre.
est-ce que cela nous suffit ?
Ne vaut-il pas mieux que le philosophe soit non seulement un professionnel de sa matière mais aussi très lié à l’histoire, aux sciences, à la sociologie, au droit..., comme Hegel ?
En résumé, en théorisant l’homme séparément de la nature, ne parvient-on pas à une morale ? Celle-ci peut relativiser le savoir ensuite, elle n’a fait que le palcer d’abord au sommet ? Kant dit : « On mesure l’intelligence d’un individu à la quantité d’incertitudes qu’il est capable de supporter. » mais l’incertitude ne suffit pas à nous dire comment nous agissons dans ce monde ?
Du coup, on risque fort d’en venir à une vision centrée sur l’homme et qui théorise que l’homme doit être sage et ne pas trop prétendre connaitre.
est-ce que cela nous suffit ?
Ne vaut-il pas mieux que le philosophe soit non seulement un professionnel de sa matière mais aussi très lié à l’histoire, aux sciences, à la sociologie, au droit..., comme Hegel ?