Ce qui caractérise la conception dialectique, c’est de faire appel à des contradictions internes.
Tout le monde admet que le mouvement peut venir de l’extérieur, par exemple quand un objet en heurte un autre mais seule la conception dialectique repose sur des contradictions internes de tous les systèmes.
Or, dans le cas du mouvement brownien comme dans nombre de phénomènes physiques, on constate des contradictions internes.
C’est également le cas en physique quantique puisque c’est à la fois onde et particule, à la fois étendu et localisé, etc...
Dans le mouvement brownien, la stabilité globale (température constante et uniforme) non seulement coexiste avec l’agitation mais est fondée dessus.
L’ordre et le désordre sont parfaitement imbriqués... La variation et la constance, le réversible et l’irréversible s’imbriquent également comme l’a parfaitement remarqué Max Planck.
Ce qui caractérise la conception dialectique, c’est de faire appel à des contradictions internes.
Tout le monde admet que le mouvement peut venir de l’extérieur, par exemple quand un objet en heurte un autre mais seule la conception dialectique repose sur des contradictions internes de tous les systèmes.
Or, dans le cas du mouvement brownien comme dans nombre de phénomènes physiques, on constate des contradictions internes.
C’est également le cas en physique quantique puisque c’est à la fois onde et particule, à la fois étendu et localisé, etc...
Dans le mouvement brownien, la stabilité globale (température constante et uniforme) non seulement coexiste avec l’agitation mais est fondée dessus.
L’ordre et le désordre sont parfaitement imbriqués... La variation et la constance, le réversible et l’irréversible s’imbriquent également comme l’a parfaitement remarqué Max Planck.