Santiago est devenu le théâtre d’une révolte généralisée qui s’est exprimée à travers des blocages d’axes routiers, des pillages de supermarchés ou encore des incendies de bâtiments publics et privés. La journée s’est conclue par des mesures gouvernementales jamais prises depuis la fin de la dictature d’Augusto Pinochet, en 1990 : état d’urgence, couvre-feu et déploiement de l’armée dans les rues. Ce faisant, le gouvernement chilien a jeté de l’huile sur le feu. Samedi, l’explosion sociale s’est répandue comme une traînée de poudre dans tout le pays.
Santiago est devenu le théâtre d’une révolte généralisée qui s’est exprimée à travers des blocages d’axes routiers, des pillages de supermarchés ou encore des incendies de bâtiments publics et privés. La journée s’est conclue par des mesures gouvernementales jamais prises depuis la fin de la dictature d’Augusto Pinochet, en 1990 : état d’urgence, couvre-feu et déploiement de l’armée dans les rues. Ce faisant, le gouvernement chilien a jeté de l’huile sur le feu. Samedi, l’explosion sociale s’est répandue comme une traînée de poudre dans tout le pays.