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Vaccins Covid, mode d’emploi pour profiter, pas pour soigner…

13 novembre 2020, 09:29, par Florent

Le principal risque des vaccins à ARN ne concerne pas le capital génétique est celui du déclenchement d’une réponse immunitaire excessive par activation du système immunitaire inné. La réponse immunitaire innée est activée par liaison de l’ARN aux récepteurs de type Toll, comme la protéine TLR7 (en), à la protéine RIG-I (en) et la protéine kinase R (en). On atténue ce risque en concevant des ARN messagers ayant des séquences semblables à celles produites par les cellules de mammifères et en introduisant, dans l’ARN messager, des nucléosides modifiés, comme la pseudouridine, la 5-méthylcytidine, ou des nucléosides 2’-O-méthylés, comme la 2’-O-méthyladénosine, ce qui a pour effet de limiter la réponse immunitaire contre cet ARN étranger, et donc de retarder sa dégradation, d’où un meilleur taux de traduction en antigène. On peut également optimiser les codons et utiliser certaines régions non traduites, ce qui ralentit également la dégradation de l’ARN. Par ailleurs, les produits de transcription interrompue et l’interférence par ARN conduisent à la dégradation prématurée de l’ARN bicaténaire et réduisent sa durée d’action, ce qui impose une purification en plusieurs étapes. L’ARN bicaténaire indésirable peut être éliminé à peu de frais par adsorption sur la cellulose.

Certains vaccins à ARN peuvent également produire une forte réponse immunitaire avec des interférons de type I, associés à l’inflammation ainsi qu’à des manifestations auto-immunes, ce qui fait des personnes sujettes aux maladies auto-immunes des sujets potentiellement à risque pour ces vaccins.

Par ailleurs, l’ARN extracellulaire est connu pour être un facteur favorisant la coagulation sanguine et augmentant la perméabilité de l’endothélium. L’accroissement de la perméabilité endothéliale peut entraîner un œdème et stimuler la coagulation sanguine ce qui entraîne un risque de formation de thrombus, d’où des risques d’infarctus (notamment d’infarctus cérébral), de thrombose ou encore d’embolie pulmonaire.

En septembre 2020, l’association anti-OGM CRIIGEN fait état, dans un rapport signé par le président de son conseil scientifique Christian Vélot, de risques plus élevés d’immunotoxicité, de génotoxicité par mutagénèse et d’apparition de nouveaux virus par recombinaison génétique causés par de tels vaccins. Le rapport préconise en conclusion de suivre en la matière un principe de précaution incompatible tant avec l’urgence qu’avec les articles 2 et 3 du règlement européen 2020/1043.

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