Bénéfices annoncés des banques et crise économique
7 mars 2011, 21:53, par RP
La dette, plus difficile à effacer
« Le niveau de la dette paraît tout à fait insoutenable à long terme. Nous avons pratiquement atteint un point de non retour en ce qui concerne la dette publique » peut-on lire dans le rapport.
L’endettement des pays développés par rapport à leur PIB est très élevé : aux Etats-Unis et dans l’UE, la dette publique représentera ainsi 125% du PIB dans deux ans. Au Royaume-Uni, elle s’élèvera à 105% et au Japon, à 270%.
Le vieillissement de la population risque de rendre plus difficile l’effacement de cette dette avec la croissance. Selon ce rapport, les pays émergents ne seront pas non plus épargnés, bien que leur marge de manœuvre soit plus importante.
L’or et les denrées alimentaires, valeurs refuge
Le rapport envisage différents scénarios à venir, le pire d’entre eux étant une nouvelle chute des marchés, une inflation galopante ainsi qu’une forte chute du dollar. Le prix de l’or, valeur refuge en temps de crise, atteindrait alors des sommets, et le rapport affirme que les denrées alimentaires, autre valeur refuge, devraient également "tirer leur épingle du jeu".
A contrario, la banque conseille de se désengager du dollar et des valeurs cycliques, telles que les technologiques ou celles liées au secteur de l’automobile.
La dette, plus difficile à effacer
« Le niveau de la dette paraît tout à fait insoutenable à long terme. Nous avons pratiquement atteint un point de non retour en ce qui concerne la dette publique » peut-on lire dans le rapport.
L’endettement des pays développés par rapport à leur PIB est très élevé : aux Etats-Unis et dans l’UE, la dette publique représentera ainsi 125% du PIB dans deux ans. Au Royaume-Uni, elle s’élèvera à 105% et au Japon, à 270%.
Le vieillissement de la population risque de rendre plus difficile l’effacement de cette dette avec la croissance. Selon ce rapport, les pays émergents ne seront pas non plus épargnés, bien que leur marge de manœuvre soit plus importante.
L’or et les denrées alimentaires, valeurs refuge
Le rapport envisage différents scénarios à venir, le pire d’entre eux étant une nouvelle chute des marchés, une inflation galopante ainsi qu’une forte chute du dollar. Le prix de l’or, valeur refuge en temps de crise, atteindrait alors des sommets, et le rapport affirme que les denrées alimentaires, autre valeur refuge, devraient également "tirer leur épingle du jeu".
A contrario, la banque conseille de se désengager du dollar et des valeurs cycliques, telles que les technologiques ou celles liées au secteur de l’automobile.