depuis vendredi, ce sont les femmes qui se rebellent contre l’interdiction qui leur est faite de conduire une voiture, symbole de leur soumission à l’homme dans ce pays ultraconservateur.
Bravant la Brigade des moeurs, plusieurs Saoudiennes ont pris le volant tandis que défilaient des messages d’encouragement sur Internet. "Prenez le volant ! Ecrasez l’accélérateur !", "Saoudiennes, faites chauffer le moteur !", pouvait-on lire sur le site du collectif "women2Drive" ("Les femmes vont conduire").
Les autorités saoudiennes sont placées devant un choix difficile : réprimer au risque d’être critiquées par leurs alliés occidentaux, ou laisser faire et affronter la colère du clergé et autres opposants aux réformes.
Le mouvement pourrait aussi ouvrir la voie à d’autres revendications des Saoudiennes, qui ne votent pas et ne peuvent voyager ou travailler qu’avec la permission d’un gardien masculin -mari, père, frère...
depuis vendredi, ce sont les femmes qui se rebellent contre l’interdiction qui leur est faite de conduire une voiture, symbole de leur soumission à l’homme dans ce pays ultraconservateur.
Bravant la Brigade des moeurs, plusieurs Saoudiennes ont pris le volant tandis que défilaient des messages d’encouragement sur Internet. "Prenez le volant ! Ecrasez l’accélérateur !", "Saoudiennes, faites chauffer le moteur !", pouvait-on lire sur le site du collectif "women2Drive" ("Les femmes vont conduire").
Les autorités saoudiennes sont placées devant un choix difficile : réprimer au risque d’être critiquées par leurs alliés occidentaux, ou laisser faire et affronter la colère du clergé et autres opposants aux réformes.
Le mouvement pourrait aussi ouvrir la voie à d’autres revendications des Saoudiennes, qui ne votent pas et ne peuvent voyager ou travailler qu’avec la permission d’un gardien masculin -mari, père, frère...