L’état des lieux est facile à faire : l’aide internationale n’a aidé que la bourgeoisie !
60 000 personnes qui avaient trouvé refuge dans les camps improvisés après le séisme en ont été expulsés pour l’essentiel et sans retrouver un vrai logement. Les conditions de vie dans les 123 camps qui subsistent sont de plus en plus difficiles : un tiers des habitants n’ont pas accès à des latrines et une augmentation des cas de choléra y a été constatée ces derniers mois. L’épidémie a tué 8 000 Haïtiens.
L’état des lieux est facile à faire : l’aide internationale n’a aidé que la bourgeoisie !
60 000 personnes qui avaient trouvé refuge dans les camps improvisés après le séisme en ont été expulsés pour l’essentiel et sans retrouver un vrai logement. Les conditions de vie dans les 123 camps qui subsistent sont de plus en plus difficiles : un tiers des habitants n’ont pas accès à des latrines et une augmentation des cas de choléra y a été constatée ces derniers mois. L’épidémie a tué 8 000 Haïtiens.