Finies les années bénies, les années Lula commencées sous les meilleurs auspices. En 2003, le prix des matières premières explose, et le Brésil en est riche. Il a du pétrole, du soja, des minerais brigués par la Chine devenu l’un de ses premiers partenaires commerciaux. Pendant plus d’une décennie, le pays s’est donc retrouvé assis sur un tas d’or et a profité de cette manne pour en faire profiter tout le monde.
De grands programmes sociaux ont été mis en place, des millions de Brésiliens ont été sortis de la pauvreté, ont eu accès à la consommation. Un accès bien souvent à crédit cependant. Une classe moyenne a émergé. Mais la croissance brésilienne n’a pas su se diversifier. Le pays a tout misé sur les matières premières, et a oublié d’adopter une politique industrielle digne de ce nom. Le taux d’investissement dans le secteur industriel n’est que de 18 % du PIB au Brésil alors qu’il est de plus de 30 % en inde, 50 % en Chine.
Finies les années bénies, les années Lula commencées sous les meilleurs auspices. En 2003, le prix des matières premières explose, et le Brésil en est riche. Il a du pétrole, du soja, des minerais brigués par la Chine devenu l’un de ses premiers partenaires commerciaux. Pendant plus d’une décennie, le pays s’est donc retrouvé assis sur un tas d’or et a profité de cette manne pour en faire profiter tout le monde.
De grands programmes sociaux ont été mis en place, des millions de Brésiliens ont été sortis de la pauvreté, ont eu accès à la consommation. Un accès bien souvent à crédit cependant. Une classe moyenne a émergé. Mais la croissance brésilienne n’a pas su se diversifier. Le pays a tout misé sur les matières premières, et a oublié d’adopter une politique industrielle digne de ce nom. Le taux d’investissement dans le secteur industriel n’est que de 18 % du PIB au Brésil alors qu’il est de plus de 30 % en inde, 50 % en Chine.