L’étau s’est resserré mardi au Brésil autour des politiciens corrompus, avec la demande du procureur général Rodrigo Janot d’ouvrir 83 nouvelles enquêtes dans le cadre du scandale Petrobras.
Les noms des personnes citées dans la "liste Janot" n’ont pas été dévoilés officiellement, mais plusieurs médias locaux évoquent cinq ministres du gouvernement du président conservateur Michel Temer, ainsi que les présidents des deux chambres du parlement.
Parmi eux, le nouveau ministre des affaires étrangères, Aloysio Nunes, nommé au début du mois en lieu et place de José Serra, lui aussi mentionné.
La presse brésilienne cite aussi les deux derniers présidents de la République, Luiz Inacio Lula da Silva (2003-2010), icône de la gauche, déjà inculpé dans plusieurs volets de l’enquête, et sa dauphine Dilma Rousseff (2011-2016)...
Du Brésil à la Corée, des USA à la France, le capitalisme plonge dans les scandales. Il doit y avoir une racine commune !
L’étau s’est resserré mardi au Brésil autour des politiciens corrompus, avec la demande du procureur général Rodrigo Janot d’ouvrir 83 nouvelles enquêtes dans le cadre du scandale Petrobras.
Les noms des personnes citées dans la "liste Janot" n’ont pas été dévoilés officiellement, mais plusieurs médias locaux évoquent cinq ministres du gouvernement du président conservateur Michel Temer, ainsi que les présidents des deux chambres du parlement.
Parmi eux, le nouveau ministre des affaires étrangères, Aloysio Nunes, nommé au début du mois en lieu et place de José Serra, lui aussi mentionné.
La presse brésilienne cite aussi les deux derniers présidents de la République, Luiz Inacio Lula da Silva (2003-2010), icône de la gauche, déjà inculpé dans plusieurs volets de l’enquête, et sa dauphine Dilma Rousseff (2011-2016)...
Du Brésil à la Corée, des USA à la France, le capitalisme plonge dans les scandales. Il doit y avoir une racine commune !