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Vaccins et aluminium : encore un sale coup des labos pharmaceutiques

22 octobre 2017, 00:22, par Max

Lutte Ouvrière , organisation prétendue communiste , au secours de l’Etat et des labos.

La vaccination, un progrès médical majeur, remis en cause au nom de la liberté de choix
Lutte de Classe n°186 - septembre-octobre 2017
Le projet de la ministre de la Santé, Agnès Buzyn, de rendre obligatoires, début 2018, onze vaccins au lieu des trois actuels pour les enfants de moins de deux ans, a relancé la polémique sur la vaccination. Les opposants se font entendre dans les médias et sur Internet, tandis que les institutions de santé peinent à convaincre de la nécessité de cette mesure.

La vaccination est un outil majeur dans la lutte contre les maladies infectieuses et a contribué au recul de la mortalité, en particulier infantile. Sa remise en cause actuelle est le reflet de la perte de confiance dans les autorités sanitaires et l’industrie pharmaceutique, conséquence des multiples scandales qui ont émaillé l’histoire récente du système de santé...

Aujourd’hui, les adjuvants à base d’aluminium sont sur la sellette. Ils sont utilisés dans de nombreux vaccins depuis les années 1920, sans aucun problème. Mais certaines équipes de recherche les mettent en cause dans une maladie du muscle, la myofasciite à macrophages, pouvant aboutir à un syndrome de fatigue chronique, alors que d’autres scientifiques s’opposent à ces conclusions.

Il n’est pas de notre ressort de prendre parti dans ce débat, mais si d’autres études doivent être réalisées et éventuellement d’autres adjuvants testés, il ne faut pas oublier qu’en matière de vaccination, le problème est de mesurer le rapport entre le bénéfice et le risque, et cela, vaccin par vaccin.
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ma réponse :

chers camarades,
La vaccination est un sujet qui n’échappe pas à la société capitaliste et aux risques qu’elle fait prendre à tous . L’amiante et le radium, par exemple, étaient à l’époque vantés par toute la presse et toutes les institutions : leur utilisation a duré des décénies . L’alimentation n’est pas un poison en soi, c’est même notre premier médicament. Mais les pesticides et les traitements qu’on fait subir à des légumes-fruits frais ou des préparations , se révèlent eux toxiques. Il y a les scandales , comme vous dites dans l’article (le médiator ) mais c’est plus facile d’en parler comme tel une fois que la justice a tranché dans ce sens.
Ainsi c’est dommage mais volontaire, que votre article ne mentionne pas le phosphate de calcium qui a déjà servi d’adjuvant . Par contre , votre discours sur les sels d’aluminium est anti-scientifique et politiquement réactionnaire. Le corps humain ne contient pas d’aluminium et l’évacue parfois très mal. L’aluminium est une neurotoxine et sa présence dans les vaccins (comme dans les crèmes , déodorants, l’alimentation etc...) a été réintroduite à la fin des années 80.
Les adjuvants au calcium ont été remplacés pour des raisons économiques et les risques d’effets secondaires sont avérés par des recherches scientifiques et sérieuses comme celles des professeurs Pr Gherardi et Authier à l’Institut Mondor, du Dr Brinth, du Dr Baharia Mograbi et bien d’autres encore.

Pour rappel, l’Institut Pasteur a décidé, au début des années 1970, de retirer l’aluminium comme adjuvant de ses vaccins et de le remplacer par le phosphate de calcium, pour des raisons de Santé Publique.
Le Pr Relyveld, chercheur de l’Institut Pasteur, est à l’origine de ce choix. Lors du Congrès international sur l’histoire de la vaccinologie (1995), il expliquait ainsi les raisons ayant amené l’Institut Pasteur à privilégier le phosphate de calcium : « L’utilisation du phosphate de calcium offre de nombreux avantages. Principalement parce qu’il est un constituant naturel de l’organisme, bien toléré, et facilement résorbé. Il a été démontré que, contrairement à l’aluminium, le phosphate de calcium n’accroît pas la production d’IgE spécifique ou totale chez l’homme ou l’animal, même après des injections répétées. (…) Des vaccins simples ou combinés adsorbés sur phosphate de calcium ont été utilisés pendant de nombreuses années en France comme dans d’autres pays, et les effets secondaires ont été faibles. Des schémas de vaccination ont été mis en œuvre pour simplifier des campagnes dans les pays en voie de développement. »
En janvier 1985, l’Institut Pasteur a été racheté par l’Institut Mérieux. L’Institut Mérieux a décidé de faire disparaître le phosphate de calcium des vaccins, malgré les alertes lancées par les chercheurs de l’Institut Pasteur.
Marc Girard (directeur scientifique en 1985 de Pasteur Vaccins – fruit de la fusion Pasteur / Mérieux) a admis que les critères économiques avaient prévalu dans cette volonté d’imposer l’aluminium comme seul adjuvant.

Des publications internationales (Grande-Bretagne, Israël, Portugal, Espagne et États-Unis notamment) montrent qu’il ne s’agit aucunement d’un « problème franco-français ».

A contrario, les études justifiant l’absence de risque induit par l’aluminium utilisé comme adjuvant vaccinal sont d’une grande inconsistance, comme le démontre une récente analyse parue dans les Annales Pharmaceutiques Françaises.
Extraits :
"Dans le prolongement de la réflexion menée par l’Académie nationale de pharmacie nous avons réévalué les 3 études de référence suggérant l’innocuité des adjuvants aluminiques. Une seule étude expérimentale a été menée grâce à l’26Al isotopique (Flarend et al., 1997). Cette étude, ignorant la capture cellulaire des adjuvants et menée pendant 28 jours sur seulement 2 lapins par adjuvant, a montré une rétention de 78 % de l’Al de l’adjuvant phosphate de 94 % de l’hydroxyde. Ces résultats sont incompatibles avec une élimination rapide de l’aluminium vaccinal par voie urinaire. L’étude de la distribution tissulaire a omis le muscle injecté, le ganglion de drainage, et l’os. Deux études théoriques ont calculé le risque de l’Al vaccinal chez le nourrisson, par référence au Minimal Risk Level (MRL) par voie orale extrapolé d’expériences animales. Keith et al. (2002) ont utilisé un MRL trop élevé (2 mg/kg/j), un modèle erroné d’absorption immédiate de 100 % de l’Al vaccinal, et n’ont pas tenu compte de l’immaturité du rein et de la barrière hémato-encéphalique. Mitkus et al. (2011) ne considérant que l’Al absorbé ont ignoré l’Al particulaire dont la capture par les cellules immunitaires joue un rôle dans la migration systémique et le potentiel neuro-inflammatoire de l’adjuvant. Son utilisation d’un MRL par voie orale est inapproprié et d’un niveau (1 mg/kg/j) bien trop élevé au regard des travaux expérimentaux récents. Les durées d’absorption calculées sont inexactes. Ces faiblesses conceptuelles et méthodologiques rendent souhaitable la réalisation de nouvelles études toxicocinétiques expérimentales de long terme afin que soit garanti l’innocuité des adjuvants à base d’aluminium."

Le 31 mars 2017, deux associations de malades ont organisé la 7ème journée scientifique sur l’aluminium vaccinal à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris. L’objectif : présenter, à travers onze interventions de chercheurs français et internationaux, les actualités scientifiques autour de cet adjuvant contenu dans de nombreux vaccins.

Le Pr Authier, neurologue à l’hôpital Henri Mondor de Créteil, a introduit la journée en rappelant un point essentiel : il ne s’agit pas de se positionner contre la vaccination, mais pour des vaccins sûrs.

L’Etat français et les labos n’ont pas besoin de soutien , ils savent se défendre à coup de millions d’euros en payant de la pub et des enquêtes frauduleuses pour couvrir leurs agissements profitables mais criminels.
Les vaccinations non toxiques dont auraient besoin des milliards d’êtres humains ne pourront se faire qu’en renversant le capitalisme pas en le cautionnant dans ses scandales permanents !
salutations révolutionnaires et communistes
Maxence

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