Le Congrès des États-Unis a rejeté une demande d’un peu moins de 2 milliards de dollars pour faire face à la crise du virus Zika. Sans nouveau financement, le gouvernement Obama a siphonné 589 millions de dollars des fonds précédemment alloués à la lutte contre l’épidémie d’Ebola de 2014 qui a ravagé l’Afrique de l’Ouest, tuant plus de 11.000 personnes.
Ce même Congrès a approuvé sans problème des centaines de milliards de dépenses militaires. Les 2 milliards de dollars proposés pour Zika équivalent au montant dépensé pour l’ achat d’ un sous-marin nucléaire de classe Virginia ou deux bombardiers furtifs. Mais il n’y a prétendument plus d’argent pour protéger les mères, les nourrissons et d’autres personnes des conséquences tragiques du virus Zika.
Cette indifférence criminelle du Congrès américain à la propagation du virus Zika est une condamnation non seulement de son leadership républicain, mais d’un système social qui subordonne les besoins vitaux de l’humanité aux profits et à l’accumulation de richesses par une petite oligarchie.
Le Congrès des États-Unis a rejeté une demande d’un peu moins de 2 milliards de dollars pour faire face à la crise du virus Zika. Sans nouveau financement, le gouvernement Obama a siphonné 589 millions de dollars des fonds précédemment alloués à la lutte contre l’épidémie d’Ebola de 2014 qui a ravagé l’Afrique de l’Ouest, tuant plus de 11.000 personnes.
Ce même Congrès a approuvé sans problème des centaines de milliards de dépenses militaires. Les 2 milliards de dollars proposés pour Zika équivalent au montant dépensé pour l’ achat d’ un sous-marin nucléaire de classe Virginia ou deux bombardiers furtifs. Mais il n’y a prétendument plus d’argent pour protéger les mères, les nourrissons et d’autres personnes des conséquences tragiques du virus Zika.
Cette indifférence criminelle du Congrès américain à la propagation du virus Zika est une condamnation non seulement de son leadership républicain, mais d’un système social qui subordonne les besoins vitaux de l’humanité aux profits et à l’accumulation de richesses par une petite oligarchie.