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Editorial 06-07-2009 - Non à l’expulsion des sans-papiers de la Bourse du travail par la CGT

mercredi 8 juillet 2009, par Faber Sperber, Robert Paris, Tiekoura Levi Hamed

LA VOIX DES TRAVAILLEURS

« Travailleurs de tous les pays unissez-vous »

Karl Marx

LA VOIX DES TRAVAILLEURS S’ASSOCIE A TOUS LES TRAVAILLEURS ET MILITANTS, Y COMPRIS CEUX DE LA CGT, QUI DÉNONCENT L’EXPULSION, PAR LA CGT ASSOCIÉE AUX FLICS, DES SANS-PAPIERS DE LA BOURSE DU TRAVAIL A PARIS.

Les faits

La situation

La CGT expulse les sans-papiers

Les débats des militants après l’expulsion

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EDITO :

L’été, c’est le moment de visiter les colos !

C’est juste après une visite au Gabon françafricain que la marionnette a fait trois petits tours dans les confettis de l’empire colonial, en Martinique puis en Guadeloupe, visite rapide par prudence, parce que le terrain est encore chaud.

En visiteur généreux, il apporte quelques cadeaux : des millions pour ses hôtes les patrons-békés. Par contre, pour la population travailleuse, pas d’emplois, pas de hausse des salaires. Que de la pacotille : une "autonomie éventuelle de la Martinique", manière de recrédibiliser les "élites" locales qui serait assortie d’une réduction des aides de la métropole ! Les 1200 gendarmes accompagnant ce déplacement étaient là pour rappeler que le bâton n’est pas très loin de la carotte. Rien d’étonnant puisque, malgré les Etats généraux, il n’est pas question d’en finir avec la monopolisation des richesses par les familles békés.

En Guadeloupe, la mobilisation est encore telle que la manœuvre des Etats généraux ne pouvait même pas être cautionnée par le LKP qui appelait à la mobilisation dès lundi avec une grève reconductible de 24 heures, accompagnée de « rendez-vous de solidarité » devant les entreprises en grève. Cet appel timide est en deçà de ce que la population a déjà entrepris avec les barrages des stations service. Des revendications qui étaient sorties du mouvement du début de l’année aux Antilles, rien n’a encore abouti. Les prix des denrées mises sur une liste ont peut-être baissé, mais on ne les trouve plus ; les salaires ont augmenté, subventionnés temporairement par l’Etat, mais les grands patrons ne paient pas d’augmentation et le chômage explose.

Les signataires de l’ « accord de sortie de grève » estiment eux-mêmes avoir été roulés dans la farine. Alors qu’ils avaient le rapport de force avec eux, les syndicats ont négocié à la baisse pour n’effrayer personne. Et après la victoire en chantant, ils geignent que ces méchants patrons et gouvernants ne respectent pas leur parole.

De l’autre côté de l’Atlantique, les « il ne faut pas généraliser la grève » de la CGT nous montrent les limites des dirigeants syndicaux qui se disent « réalistes et constructifs », pour l’unité syndicale mais contre l’unité ouvrière, pour négocier dans le dos des travailleurs les fermetures, des suppressions d’emplois sous prétexte de « sauver de la fermeture », pour négocier la casse des retraites sous prétexte de « sauver le système de retraite ». Résultat : le SMIC au minima, la retraite envisagée à 67 ans, des attaques renouvelées contre la Sécu et l’Hôpital public, des milliers de suppressions d’emplois dans la fonction publique et de nouvelles mesures pour aider les patrons à mettre au chômage partiel et à licencier. Quant à l’emprunt de Sarkozy, le projet soumis aux syndicats est plus que claire : cent milliards d’endettement supplémentaire (avec profits aux gros prêteurs) dont 85 milliards à 19 banques (encore !), 3,7 milliards aux patrons de la construction, 6 milliards aux patrons de l’Automobile et 1,7 milliards aux patrons de la recherche. Enfin, 12,8 milliards aux patrons des autres sociétés privées. Pour trouver des solutions il va falloir bientôt, comme la population Antillaise, lever le poing et relever la tête !

S’il est une histoire que nous devons partager avec le peuple Antillais c’est celle de luttes comme la Commune de Paris en 1871 qui affichait : « Citoyens, Ne perdez pas de vue que les hommes qui vous serviront le mieux sont ceux que vous choisirez parmi vous, vivant votre vie, souffrant des mêmes maux. Défiez-vous autant des ambitieux que des parvenus ; les uns comme les autres ne consultent que leur propre intérêt et finissent toujours par se considérer comme indispensables. Défiez-vous également des parleurs, incapables de passer à l’action ; ils sacrifieront tout à un beau discours, à un effet oratoire ou à mot spirituel. Évitez également ceux que la fortune a trop favorisés, car trop rarement celui qui possède la fortune est disposé à regarder le travailleur comme un frère. Enfin, cherchez des hommes aux convictions sincères, des hommes du peuple, résolus, actifs, ayant un sens droit et une honnêteté reconnue. Portez vos préférences sur ceux qui ne brigueront pas vos suffrages ; le véritable mérite est modeste, et c’est aux électeurs à choisir leurs hommes, et non à ceux-ci de se présenter. Citoyens, Nous sommes convaincus que si vous tenez compte de ces observations, vous aurez enfin inauguré la véritable représentation populaire, vous aurez trouvé des mandataires qui ne se considèrent jamais comme vos maîtres. »

Aux Antilles comme en métropole, « la lutte contre l’exploitation » doit se doter, face à une crise qui ne fait que de commencer, comme en 1871, de comités des exploités désignant clairement ses adversaires : les exploiteurs qui monopolisent la terre, les richesses et le pouvoir.

Messages

  • Il est midi, en effet, lorsque des bruits de lutte retentissent dans la cour du bâtiment. Une cinquantaine d’hommes masqués, matraque à la main et brassard rouge au bras droit, s’introduisent en force avant de poursuivre les occupants pour les sortir de l’enceinte du bâtiment.
    Comme tous les mercredis matins, la Bourse du travail a été pratiquement désertée par les sans-papiers, partis pour manifester dans la capitale. Seuls quelques-uns occupent encore les locaux comme sentinelle arrière.

    Mais il suffit de quelques secondes pour que s’engagent des affrontements d’une rare violence. Face aux coups de matraque des « services d’ordre » de la CGT, les occupants balancent des chaises et autres ustensiles qu’ils ont sous la main. Rapidement, les hommes masqués utilisent les gaz lacrymogènes sans oublier, d’un seul homme, de se protéger eux-mêmes avec des lunettes de piscine. La résistance est vite brisée.

    En face, les sans-papiers, surpris par la violence de l’intervention, tentent de fuir dans les étages. Mais ils sont rapidement ramenés par les militants syndicaux. La CGT a pris le contrôle de la Bourse, et en filtre les entrées et les sorties. En une vingtaine de minutes, en tout et pour tout, les derniers résistants sont jetés dehors. Les plus dociles quittent, sans entrave, le bâtiment au milieu des hommes qui gardent leur masque pour ne pas être identifiés.

    Initiative purement CGT ou de concert avec la police ? A voir un agent de police en uniforme, sur le coup des 13 heures, parlementer avec les forces CGT dans l’enceinte du bâtiment, la question semble légitime. S’agit-il d’une action émanant de la seule CGT ou d’une expulsion fomentée avec les forces de l’ordre ? Derrière la porte de la Bourse, des sans-papiers de retour de manif. n’ont pas manqué de tambouriner pour rentrer. Mais le cordon des CRS, arrivés en moins d’une demi-heure sur les lieux, avec une quinzaine de cars, les a écartés avant de boucler le quartier. « Nous avons été surpris par ces événements », lâchera finalement un policier en civil, arrivé sur le tard dans les bâtiments, pour évacuer un occupant blessé, et pris en charge par trois sapeurs-pompiers de Paris.

    Environ 800 sans-papiers occupaient, depuis le 2 mai 2008, l’annexe Eugène Varlin de la Bourse du travail, aux abords de la place de la République. Début 2008, la CGT avait d’abord incité certains sans-papiers, souvent adhérents, à déposer des dossiers de régularisation de leur situation dans le cadre de la nouvelle législation sur l’immigration. Des associations de sans-papiers, aujourd’hui regroupées au sein de la coordination 75, se sont alors senties exclues. Et, elles avaient décidé d’occuper les locaux en réclamant que tous les dossiers soient régularisés.

    Avec ce coup d’éclat, la CGT vient donc de les en déloger par la force. Et, derrière les portes closes, en ce début d’après-midi, les manifestants sans-papiers font front aux CRS. Sur le boulevard du Temple, à quelques encablures de l’annexe Varlin, ils sont encerclés. Impossible de s’en approcher. L’attente s’est installée tandis que les expulsés entonnent des slogans et des appels à la République. A un moment, un mouvement de foule s’engage, et aussitôt les CRS balancent les gaz lacrymogènes. Une femme s’affaisse, plus loin, sur le trottoir, cherchant à respirer.

    L’usure aura-t-elle raison des sans-papiers, à la rue ? « Nous devons rester et attendre que la mairie de Paris nous propose une solution d’hébergement », lançait pour tout espoir un membre de la coordination 75, à la force de son porte-voix.

    Marc Torl, journaliste

    Mediapart

  • Centre de rétention de Vincennes, le 1er juillet 2009.

    "Il y a des gens qui ont tenté de se suicider. Deux jours de suite. C’est
    pour cela qu’on a fait le mouvement. Celui d’hier il avait un vol ce
    matin. Il s’est pendu avec les draps. On est quarante ou cinquante dans le
    centre.
    C’est le deuxième jour de la grève de la faim. On ne mange pas depuis deux
    jours. On a commencé avant-hier soir à minuit après une ultime tentative
    de suicide. En 25 jours, il y a eu 5 tentatives de suicide. L’ambiance
    était horrible au centre. Ca devenait fou, on regardait ça tous les jours
    et on s’habituait, c’est fou on ne doit pas s’habituer à des gens qui
    s’automutilent et se suicident tous les jours. Il fallait réagir à ça. On
    était en train de devenir des monstres, on réagissait plus. On s’est dit
    il faut réagir autrement, ne pas s’habituer. On s’est dit qu’un jour il y
    allait avoir un mort, qu’on allait se retrouver avec un cadavre. On s’est
    réuni dans la cour. La grève de la faim a commencée à minuit. On a décidé
    de restituer les sacs du petit-déjeuner qu’ils nous donnent le soir. On
    les a tous posés sur la table de ping-pong dans la cour.
    Le lendemain, les policiers ont réagit quand ils ont vu qu’on ne mangeait pas. Les flics
    nous on dit : vous mangez pas ? On a dit non, on vous parlera après notre
    réunion et on dira nos revendications. On s’est donc réunis vers 18h30
    hier jusqu’à 22h00. La réunion a eu lieu dans la cour. Les flics ont fait
    quelques tentatives d’intimidations du style « si vous restez tranquilles,
    tout se passera bien, sinon, c’est la répression ». Ca ne nous a pas fait
    peur. On est restés sereins. On a discuté d’autres trucs dans la réunion
    mais c’est la grève de la faim qui a été décidée parceque notre mouvement
    est pacifique.
    Aujourd’hui, on a demandé du sucre pour notre grève, ils ont dit qu’ils
    nous répondraient plus tard, deux heures après ils nous ont appelé et ils
    ont dit ok, mais en fait après il y a une femme, je sais pas qui c’est,
    qui a dit que non, qu’on doit prendre la nourriture qu’ils nous donnent.

    On a prévenu des associations pour notre mouvement. On attend du soutien
    maintenant.On a écrit une liste de revendications :

    1) apporter une solution rapide et efficace aux retenus traumatisés par
    les tentatives de suicide.

    2) Améliorer les conditions de rétention : nourriture, hygiène,
    comportements de la police et de l’administration. Parce qu’ils réagissent
    de manière agressive. On n’a pas le choix pour les heures de repas, pour
    acheter des clopes… Les consultations avec l’infirmière sont souvent
    retardées ou refusées. Pareil avec la Cimade. Pour les visites, ils
    essaient de décourager les gens en les faisant attendre. Ils nous disent
    que c’est plein et qu’il faut attendre et quand on arrive aux visites on
    se rend compte qu’en fait il y n’avait qu’une personne.

    3) Prendre en considération les retenus gravement malades et leur offrir
    des soins à l’extérieur. Il y a des gens qui ont des traitements et qu’ils
    ne peuvent plus suivre ici.

    4) Libérer les retenus qui ont une famille, des enfants en France, mariés
    ou vivant avec une résidente française.

    5) Offrir plus d’avocats commis d’office. En général, il y a un seul
    commis d’office pour 5 ou 6 retenus. Il n’a que quinze minutes pour
    regarder le dossier.

    6) Donner le choix aux retenus qui souhaitent quitter la France par leurs
    propres moyens, dans la dignité. Par rapport à la famille là bas, ou pour
    des raisons politiques, y’a des gens qui préfèrent repartir par leur
    propres moyens. les juges ne veulent jamais donner des assignations à
    résidence. Moi c’est mon cas par exemple, j’ai demandé au juge et il a
    refusé.

    7) Remédier aux conditions de mouvements, de déplacements avant et après
    les audiences. On est réveillé à 6 h pour un audience à 10h, on attend 4 à
    6h dans une pièce sale, qui sent l’urine.

    8) Donner plus de temps aux retenus qui sortent libres pour préparer leur
    départ au pays. Légalement on a que 8 jours, on ne peut rien préparer en 8
    jours.

    9) Arrêter les contrôles massifs et abusifs dans la rue qui portent
    atteinte à la liberté.

    10) Respecter le règlement intérieur : l’administration l’enfreind tout le
    temps. Les personnes sont expulsées sans être prévenues qu’elles vont
    l’être. Ils doivent nous le dire.

    11) fermer les centres de rétention et régulariser les sans papiers.
    Il fallait bien qu’on la mette quelque part quand même cette dernière
    revendication !"

    fermeturetention@yahoo.fr <http://fr.mc237.mail.yahoo.com/mc/c...>

  • Les travailleurs sans papiers ont menés une lutte pour la régularisation qui était encadré par la CGT, cette dernière a commencé à négocier avec les syndicats des PME avant même de débuter la grève. Et ses syndicats patronaux n’étaient d’ailleurs pas contre une certaine régularisation, et la Direction du mouvement à accepter cette condition de régularisation de cas par cas et avec des titres de séjour précaires laissant ainsi les travailleurs à la merci de leur patron pour le renouvellement, si le patron lui renouvelle pas le contrat de travail la préfecture lui retire le titre de séjour. Ceux qui prétendent être les défenseurs des sans papiers ont imposés certaines conditions pour les travailleurs sans papiers, pour qu’ils rentrent dans la lutte il leur faut au moins 3 mois de service dans la même boîte, et qu’ils soient au moins 5 personnes et à partir de là les travailleurs isolés se sont retrouvés uniquement autour des collectifs. Ils ont essayés de rentrer dans la lutte mais la préfecture a refusé toute négociation tous dossiers à part la CGT. Par la suite la CSP 75 a décidé l’occupation de la Bourse du travail. La préfecture a joué la division entre la CGT et les collectifs et elle à réussi.
    La cgt a obtenu 2000 régularisations avec des titres de séjours précaires, quant à la CSP elle en a obtenue une centaine. Aujourd’hui il reste un grand nombre de travailleurs sans papiers qui vivent toujours l’oppression et l’exploitation féroce. Pour que le gouvernement, le patronat reculent et cèdent pour une régularisation générale des travailleurs sans papiers il faut que le rapport de force change entre les exploités et les exploiteurs. Et pour cela il faut que les travailleurs s’organisent eux mêmes, sans papiers ou avec.

  • SUR LE DEBAT FILME ENTRE MILITANTS :

    Merci à Netoyens d’avoir mis en ligne cette vidéo. Elle cons­ti­tue une leçon de cho­ses en poli­ti­que sur ce que sont en train de deve­nir la gau­che de la gau­che et les orga­ni­sa­tions d’extrême-gau­che.

    Cette ana­lyse reste très per­son­nelle, cepen­dant il me sem­ble que quel­ques infor­ma­tions peu­vent ren­dre plus com­pré­hen­si­bles cette réu­nion et cette vidéo.

    Cette réu­nion du 1er Juillet 2009 avait à mon avis un but prin­ci­pal : ser­vir à blan­chir la direc­tion de la CGT. Pour­quoi, sinon, inter­dire de dis­cu­ter du sens qu’avait cette expul­sion des sans papiers-par la CGT ?

    En fait, cette réu­nion, sous cou­vert de la mise en avant de RESF, est aussi une opé­ra­tion avec la béné­dic­tion de tou­tes les orga­ni­sa­tions pré­sen­tes, entre autres du NPA, très lar­ge­ment repré­senté.

    Déjà, le 12 février, le NPA avait orga­nisé une con­fé­rence de presse qui avait per­mis à la CGT de dire aux sans-papiers occu­pant la bourse du tra­vail que leur pré­sence n’était pas sou­hai­tée, qu’ils devaient par­tir.

    Près de cinq mois après, le NPA est aidé par RESF, pour mieux brouiller les pis­tes des res­pon­sa­bi­li­tés. Cepen­dant, c’est bien les mili­tants du NPA qui hur­lent le plus fort lorsqu’un mili­tant de la CGT cher­che à dis­cu­ter et cri­ti­quer l’atti­tude de sa pro­pre orga­ni­sa­tion, la CGT.

    Les insul­tes et les mena­ces fusent lors­que ce mili­tant CGT dit que tou­tes les orga­ni­sa­tions de gau­che (dont les pré­sen­tes : PC, PdG, NPA, LO, syn­di­cats etc.) sont comme la sienne cou­pées en deux par rap­port à cette expul­sion, cer­tains mili­tants étant écœu­rés. La dis­cus­sion est close (« cou­pez, cou­pez, ne fil­mez plus ! ») lorsqu’à la fin de son inter­ven­tion il va lire un com­mu­ni­qué signé CGT, con­dam­nant cette expul­sion CGT. L’hys­té­rie sert à mas­quer beau­coup de cho­ses ….

    Fré­dé­ric Kletz

    • cher camarades je ne suis pas choque pare la réaction de la cgt ils ent fait leurs travailles .
      la CGT ne pas la pour fair gagne les luttes mes pour les casse oui ils ne faux surtout pas demande a un coq de faire des œufs .je panses que les syndicats et sa engage que moi ci en les suis ils vent nous menais doris danse le piégé .
      les luttes faux que les travailleurs est confiance en eu même pas danse les syndicats .
      je parle au travailleurs sans papier ou avec papier .
      moi tout de même se qui me choque le plus cest la réaction des organisations ouvriers comme
      lutte ouvrier ou NPA qui en cautionne les actes de la CGT .
      et je dit au finale vive la lutte des travailleurs sans papier vive les travailleurs en luttes vive
      les producteurs de lait attention au syndicats diriges vous même vos luttes et abat les organisation réformistes . dac dac

    • bonsoir cher dac dac je suis MOSHE c’est avec un grand plaisir que j’ai lu tes quelques lignes qui dit tout mais vraiment tout sur les organisations sindicales des pays riche comme dans les <> sur les organisations politique réformiste du monde entier .là ou ton texte m’a profondément plu c’est que tu dit en deux mots c’est a dire que tout les militantd engagé doivent dans ce monde qui meurt dire que nous devont nous organisé entre nous et decidé et ne pas laissé et les sindicats et d’autre oorganisation tradionnel du vieu
      monde décidé a notre place. je ne sais pas si j’ai trouvé les bon mots mais merci pour ta contribution sur des sujets aussi importat sur le site

    • Cher MOSHE, j’ai beaucoup aimé tes quelques "vers", ta poésie". Ca parait clair que si les travailleurs s’entre’ aident ; s’il y avait de la cohésion entre les travailleurs ; que s’il n’ y avait pas cet esprit de " faire disparaitre l’autre" ou encore" prendre la place de l’autre", la lutte des prolétaires serait merveilleuse. Mais cela est impossible tant qu’il existe l’instinct dans l’homme. Et puisque nul ne peut vivre sans instinct, il serait alors difficile. Mais il faut rêver ! Il faut rêver en grand ! Un jour viendra nos fruits bénéficérons l’ombre de ces travaux. Il faut quand même rêver avoir un jour les travailleurs unis sous un même toît dans des maisons de fraternité dans le monde. Révolution sans frontière !

    • ce ne sont pas les rebelles qui portent la faute de rébellion ni des conséquences de la rebellions.generalment désagréables pour ce lui qui ne manque de rien.les responsables dune rebellions des actes de rebelles ce sont ceux qui croient qu on peut impunément et éternellement maltraiter des êtres humains sans qu ils se soulèvent.
      b traven la révolte des  pondus

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