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Editorial 15-09-2009 On n’est jamais mieux servi que par soi-même

samedi 12 septembre 2009, par Faber Sperber

LA VOIX DES TRAVAILLEURS

« Travailleurs de tous les pays unissez-vous »

Karl Marx

Ouvriers de Continental en colère

La force, c’est nous, les travailleurs !

Avec la crise, les problèmes sont légions et il ne manque pas de beaux parleurs, au gouvernement comme en dehors, ayant des remèdes à tout : l’Etat devrait faire ceci, les banques devraient faire cela, les financiers ne devraient pas se comporter mal ni les traiders toucher des primes indécentes, les entreprises devraient toucher des aides encore plus grosses mais soi-disant pour bien les utiliser... etc. Dans toutes ces prétendues « solutions », fruits des idées embrumées que des dirigeants politiques ont pu laisser mûrir au soleil de leurs universités d’été, les seuls qui ne devraient rien faire (en attendant la reprise) ce serait la classe ouvrière. C’est pourtant bien la première concernée : par les fermetures ou les menaces de licenciements, par le stress au travail (pas seulement à France Telecom) ou par la vie chère. Elle n’aurait qu’à attendre des bonnes mesures prises par des « décideurs » autres que nous, mais, nous, ne devrions surtout pas en parler entre nous et encore moins nous réunir pour décider de ce que nous pensons, de ce que nous voulons et de ce que nous allons faire. Il y en a assez que d’autres décident à notre place !

Au niveau des luttes, les travailleurs, nous dit-on, n’auraient aussi qu’à espérer auprès des responsables syndicaux, locaux, régionaux ou nationaux, qu’à compter sur l’aide des élus locaux, qu’à faire appel aux grands partis ou qu’à supplier ou qu’à exiger des aides du gouvernement. On a vu, tous ces derniers mois, les limites des luttes menées de cette manière. Les travailleurs licenciés ne se sont pas laissés faire, mais ils ont été promenés ici et là par les syndicats et les politiciens de tous bords sont venus leur apporter un soutien verbal qui n’a pas été plus loin. Ces gens-là n’ont en tout cas servi à rien pour faire en sorte que les mouvements ne soient pas isolés, ce qui était l’essentiel. Ils n’ont rien suggéré comme méthode par laquelle les travailleurs pourraient vraiment se faire craindre des possédants et du gouvernement. Attendre après ces dirigeants-là, c’est s’entêter à traire un bouc ! Tant que la classe ouvrière ne dirige pas elle-même ses luttes, elle ne risque pas de changer le rapport de forces, de faire reculer ses adversaires et encore moins de les faire payer.

Des actions morcelées sont annoncées à la SNCF, la Poste, TDF, RFI, sans compter les entreprises qui licencient ou encore les enseignants/chercheurs qui sortent d’un mouvement et vont sûrement devoir y revenir. Il faudrait être sourd pour ne pas entendre la contestation partout et croire qu’on est les seuls à avoir envie de se battre contre notre patron. Les luttes isolées et les journées d’action des centrales syndicales n’ouvrent pas de perspective pour l’ensemble des travailleurs. On ne peut pas gagner en ne se battant que dans les entreprises qui ferment. De telles luttes ne peuvent permettre de développer la vraie force des travailleurs. Pas étonnant que les dirigeants syndicaux ne veuillent pas que les luttes atteignent la classe ouvrière tout entière car alors les patrons et le gouvernement seraient débordés. Patrons et gouvernants pourraient céder beaucoup d’argent pour peu que les travailleurs fassent craindre la généralisation de leurs luttes et le développement d’une conscience de leurs intérêts collectifs.

L’Etat et les patrons ont préféré faire bonne figure face aux explosions de colère du moment qu’elles restaient isolées. Car tant que cela en reste là, c’est la peur du chômage qui monte plutôt que la conscience de la force des travailleurs. Et, tant que l’essentiel de l’opinion est du côté des ouvriers licenciés, le gouvernement craint de jeter de l’huile sur le feu en réprimant trop durement. Donc, pour le moment, les classes dirigeantes rongent leur frein, laissent dire et un peu faire. Quitte à attaquer plus tard, dès qu’ils auront réussi à émousser l’émotion de l’opinion à l’égard des ouvriers qui sont jetés à la rue...

Les patrons ont beaucoup plus à craindre que les travailleurs, car ils ont beaucoup plus à perdre ! Les classes dirigeantes n’apparaissent fortes que parce que ceux qui prétendent nous représenter se mettent à genoux devant elles, comme La Boétie le disait déjà au 16ème siècle : « Ils ne sont grands que parce que nous sommes à genoux ».

Nous, les travailleurs, sommes une classe qui existe dans le monde entier et se bat déjà à l’échelle internationale. Nous sommes indispensables à l’ensemble de l’activité économique, des transports et des communications. Rien ne fonctionnerait sans notre activité. Et nous sommes surtout capables de nous réunir pour décider de l’avenir que nous entendons donner à la société humaine. Il faut cesser d’attendre les décisions des gouvernants, des possédants, des financiers et des politiciens à leur service. Nous sommes la force. Décidons nous-mêmes de notre avenir !

Messages

  • Nous, les travailleurs, sommes une classe qui existe dans le monde entier et se bat déjà à l’échelle internationale. Nous sommes indispensables à l’ensemble de l’activité économique, des transports et des communications. Rien ne fonctionnerait sans notre activité. Et nous sommes surtout capables de nous réunir pour décider de l’avenir que nous entendons donner à la société humaine. Il faut cesser d’attendre les décisions des gouvernants, des possédants, des financiers et des politiciens à leur service. Nous sommes la force. Décidons nous-mêmes de notre avenir

  • noubli pas de signer au nom de charle je ne me souvient plus de pseudo litéraire.

  • J’AIME BIEN CE PASSAGE DE L’EDITOT ET JE PENSE QUE C’EST A NOUS DE LE DIRE A CHAQUE FOIS QU’ON A L’OCASION CAR C’EST LA REALITER MONDIAL ET L’ACTU L’EXIGE SUR TOUT DANS CE MONDE EN PERIL. <<>>

    • J’AIME BIEN CE PASSAGE DE L’EDITOT ET JE PENSE QUE C’EST A NOUS DE LE DIRE A CHAQUE FOIS QU’ON A L’OCASION CAR C’EST LA REALITER MONDIAL ET L’ACTU L’EXIGE SUR TOUT DANS CE MONDE EN PERIL. <<< Nous, les travailleurs, sommes une classe qui existe dans le monde entier et se bat déjà à l’échelle internationale. Nous sommes indispensables à l’ensemble de l’activité économique, des transports et des communications. Rien ne fonctionnerait sans notre activité.>>

  • Comme La Boétie, voici Saint-Just :

    « Les malheureux sont les puissances de la Terre, ils ont le droit de parler en maîtres aux gouvernements qui les négligent. »

    • Débrayages à France Télécom

      Après le suicide d’un salarié de France Telecom, le 24ème en 18 mois, des débrayages ont eu lieu à Annecy-le-Vieux, où travaillait le salarié, Grenoble, Lyon et Bordeaux.

      Si la pression constante pour augmenter la productivité a poussé des salariés au désespoir et au suicide, les réactions de solidarité des travailleurs de France Télécom montrent que c’est la colère qui pourrait s’exprimer dorénavant.

  • France Télécom a annoncé jeudi avoir réalisé au troisième trimestre un chiffre d’affaires supérieur aux attentes des analystes - l’annonce provoquant une envolée du titre sur le marché.

    Comme quoi, les suicides n’altèrent pas l’image du groupe auprès des actionnaires !

  • France Télécom - Répondre à son ordinateur... ou riposter collectivement à la direction ?

    Les conditions de travail à France Télécom sont désormais sur la place publique et les suicides ont commencé à engendrer des protestations collectives contre la politique de la direction. C’est dans ce contexte que la direction de France Télécom a recruté un cabinet, Technologia, chargé d’adresser un questionnaire à chacun des quelque 90 000 salariés, pour tenter de désamorcer la spirale du mécontentement.

    Les salariés peuvent donc confier à Technologia leur situation psychologique liée au travail, leur sentiment d’être « tendu(e) ou sous pression », leur « blues ». Ils ont droit d’incriminer leur travail, trop intense, en quantité excessive, qu’on leur demande d’exécuter trop vite, ce qui les empêche de le faire correctement, d’autant que des ordres contradictoires viennent les bousculer. À la rubrique « contraintes professionnelles », ils peuvent même pointer « une situation de sous-effectif ». Il leur est aussi proposé de dire que la situation se détériore, de pester contre les changements de postes et la mobilité géographique qui leur sont imposés, de dénoncer les problèmes de nuisance sonore et d’ambiance thermique de leur poste de travail. Ils peuvent aussi déverser leur bile sur leurs collègues de travail, et même incriminer leurs chefs coupables d’agressions verbales, de menaces ou de chantages. Ils peuvent dire leur sentiment d’être dévalués professionnellement pour satisfaire les critères d’évaluation de la hiérarchie. Ceux qui sont incités à vendre le plus possible de produits pour augmenter le chiffre d’affaires peuvent déclarer être amené(e) à faire des choses qu’ils ne partagent pas sur le plan moral, etc. Et à la question 40, ils ont le droit d’affirmer, en un « clic » rageur s’ils le veulent, leur sentiment d’être exploité(e). Par qui ? Cela reste dans le flou. Si les « responsables » et les « Ressources humaines » sont souvent mentionnés, la direction de France Télécom n’apparaît jamais en tant que telle au fil des questions. Mais pourquoi s’en étonner ?

    Le questionnaire lui-même montre qu’en fait la direction connaît très bien les raisons du malaise. Et si elle veut « libérer la parole » de chacun de ses salariés, c’est en espérant que celle-ci restera strictement confidentielle... par rapport aux collègues de travail de chacun, de façon à éviter une réponse collective. Car entre les intérêts des actionnaires gratifiés chaque année de plusieurs milliards d’euros de bénéfices et les aspirations des salariés à travailler tranquillement sans flicage permanent, avec l’embauche d’effectif suffisant, tout s’oppose. La question est de savoir si les salariés de France Télécom se contenteront de répondre à un questionnaire individualisé (même s’il est identique pour tout le monde) ou s’ils participeront, de plus en plus nombreux et regroupés, à des rassemblements comme ceux qui ont commencé d’émerger, pour imposer leurs volontés à la direction, à commencer par l’embauche de personnel. C’est une question qui, évidemment, n’est pas abordée dans le questionnaire.

  • Même si les syndicats acceptent de participer à des réunions de négociations avec les responsables de morts d’homme, ce n’est pas la collaboration de classe qui peut soigner des maux de la lutte des classes. Car tous les Lombard de la planète, c’est bien la lutte des classes qu’ils mènent. Et consciemment ! Et en prenant tous les risques de morts d’hommes, de femmes et d’enfants !!!

    N’en déplaise aux réformistes de tous poils qui sont toujours à pleurer sur le sort des prolétaires, ces derniers ont tout à fait la force de faire autre chose que de se plaindre par une enquête ou auprès de leur syndicat chéri ...

    Ils ont la force de décider par exemple d’arrêter le travail pour non pas protester, non pas demander, quamander, supllier que les patrons deviennent humains. impossible : le profit n’est pas humain.

    Non, pour s’organiser, pour décider. Décider que toute demande de changement de poste de changement d’emploi de changement d’affectation d’un salarié devra être co-signée par l’organisation des travailleurs. C’est qui l’organisation des travailleurs. des comités de travailleurs élus et révocables qu’il faut nommer partout, sur tous le sites.

    Robert Paris

  • Editorial 15-09-2009 On n’est jamais mieux servi que par soi-même
    23 octobre 17:58, par Robert Paris
    Technologia, le cabinet d’audit commandé ar France Telecom est le même que celui de Renault.

    En même temps que les enquêtes commençaient à Telecom, les entretiens individuels Technologia ont recommencé à Renault. Une seule enquête annuelle n’a pas suffi ? Suffi à quoi ? A tranquilliser les salariés et à blanchir la direction. On peut imaginer que le but de cette enquête serait de s’assurer du stress des salariés. Ce n’est pas ce que dit son responsable Jean-Claude Delgènes, interviewé par la presse, qui déclarait : "Notre but n’était pas d’évaluer le stress des salariés (…) Notre mission commence, mais on peut d’ores et déjà observer une nette amélioration des conditions de travail. L’objectif était de remettre l’homme au cœur du processus et de rétablir le dialogue. C’est en bonne voie". Cette société, cabinet en expertise pour les patrons (pas pour les salariés) a trouvé un fromage à exploiter avec le stress et les suicides mais se moque complètement des salariés. Demander à Renault de s’occuper la lutte contre le stress, c’est demander à l’incendiaire de commanditer l’enquête !

    La preuve que ça rapporte, c’est que le patron de France-Telecom, Lombard, responsable par sa politique de nombreux suicides, a déclaré qu’il avait fait aussi appel à Technologia, très efficace … au service des patrons. Pourquoi croire à une direction, qu’elle soit de Renault ou des Telecom, qui prétend enquêter sur les causes de suicides dans une entreprise qui vise à les virer, aux Telecom car ils veulent se débarrasser d’anciens fonctionnaires et à Renault parce que le premier objectif de l’entreprise est d’obtenir des départs « volontaires » !

    Technologia n’a eu aucun effet. A preuve : Un ingénieur de 51 ans travaillant depuis six ans au Technocentre s’est suicidé. Avant même de savoir des détails, la direction s’est encore une fois défaussée de sa responsabilité. Il n’a pas fallu longtemps pour que Renault doive ravaler ses discours sur sa grande capacité à régler les problèmes de stress dans l’entreprise. Le porte-parole de Renault décrivait même, il y a peu, l’entreprise comme modèle désormais sur ce plan ! N’oublions pas que, malgré cette soi-disant prise en compte du stress comme accident et maladie dues au travail, les suicides du Technocentre ne sont toujours par reconnus comme tels par la direction, même s’ils se sont produits sur le lieu de travail et dans des conditions sans équivoque.

    Même si les syndicats acceptent de participer à des réunions de négociations avec les responsables de morts d’homme, ce n’est pas la collaboration de classe qui peut soigner des maux de la lutte des classes. Car tous les Lombard de la planète, c’est bien la lutte des classes qu’ils mènent. Et consciemment ! Et en prenant tous les risques de morts d’hommes, de femmes et d’enfants !!!

    N’en déplaise aux réformistes de tous poils qui sont toujours à pleurer sur le sort des prolétaires, ces derniers ont tout à fait la force de faire autre chose que de se plaindre par une enquête ou auprès de leur syndicat chéri ...

    Ils ont la force de décider par exemple d’arrêter le travail pour non pas protester, non pas demander, quamander, supllier que les patrons deviennent humains. impossible : le profit n’est pas humain.

    Non, pour s’organiser, pour décider. Décider que toute demande de changement de poste de changement d’emploi de changement d’affectation d’un salarié devra être co-signée par l’organisation des travailleurs. C’est qui l’organisation des travailleurs. des comités de travailleurs élus et révocables qu’il faut nommer partout, sur tous le sites.

    Robert Paris

  • Distribution de tracts à Cholet : les militants relaxés

    Le tribunal de proximité de Cholet a rendu sa décision cet après-midi. Les trois militants Lutte ouvrière poursuivis pour avoir distribué leur journal dans le centre-ville de Cholet ont été relaxés. Les faits remontaient au 18 avril dernier.

    L’arrêté du maire de Cholet, sur lequel reposait l’accusation, a été jugé illégal. D’abord parce qu’il n’a pas été apporté de preuve qu’il avait été rendu public. Ensuite parce que les raisons qu’il invoque (ordre public, limitation des déchets) sont jugées insuffisantes pour justifier une restriction de la liberté d’expression.

    L’affaire avait suscité de nombreuses réactions. Des partis politiques, syndicats et associations avaient publiquement manifesté leur soutien aux trois militants.la justice bourgeoise elles faite pour la défonce des intérêt de la classe dirigeantes.aujourd’hui les militant relaxes mais si demain la situation ce radicalise la bourgeoisie elles va utilise des moyen plus extrême

  • Depuis presque 1 mois, les employés de la bibliothéque/musée, du centre Beaubourg sont en grève contre la baisse des effectifs et surement pour beaucoup d’autre choses..

    Ci dessous un extrait de quotidien :

    Le conflit se poursuit à Beaubourg
    L’assemblée générale du personnel du Centre Pompidou a voté ce mercredi la reconduction de la grève.

    Le parvis de Beaubourg est désert, les touristes se sont donnés le mot. La grève a été à nouveau reconduite ce mercredi : c’est le 24e jour de grève pour le Centre (et le 19e à la Bibliothèque publique d’information, BPI), alors que doit se tenir ce mercredi un conseil d’administration de l’établissement consacré au budget 2010.

    Premier à être entré en grève, le Centre Pompidou est aussi le seul à ne pas encore en être sorti. Les personnels des autres musées nationaux, qui s’étaient mis en grève le 2 décembre contre les réductions d’effectifs à venir, ont accepté de suspendre leur mouvement après des négociations avec le ministère de la Culture.

    Le 10 décembre une première réunion a eu lieu au ministère, destinée à mettre en place des groupes de travail dans les musées et monuments concernés pour élaborer d’ici fin janvier un diagnostic global sur les moyens des établissements.

    « La question de la stratégie va se poser »
    Une deuxième réunion dite technique s’est tenue mardi. Elle n’a pas apporté grand chose, selon un syndicaliste de la CGT, le ministère n’ayant apporté aucun élément chiffré pour entamer les discussions.

    Selon un syndicaliste CGT du Centre, « la situation se durcit ». « Le blocage vient de très haut dans la hiérarchie de l’Etat », pour qui « il faut faire appliquer la loi, la fameuse Révision générale des politiques publiques (RGPP) ».

    Les syndicats s’inquiètent de l’application à compter du 1er janvier 2010 de la règle du non-remplacement d’un départ à la retraite sur deux, qui est de mise dans la fonction publique. Cette règle affecterait particulièrement le Centre Pompidou en raison de sa pyramide des âges. Sauf revirement de la direction, il y a 18 postes concernés au Centre (26 au début du conflit) et 8 à la BPI.

    La direction du Centre Pompidou estime à 300.000 euros par semaine le manque à gagner lié à la fermeture de l’établissement (billets, produits dérivés).

    Les billets achetés à l’avance seront remboursés, « timbre compris », indique-t-elle. Une nouvelle exposition, Via Design 3.0, n’a pu ouvrir ce mercredi, comme prévu. Quelque 80 manifestations autour du spectacle vivant et du cinéma ont également dû être annulées, selon la direction.

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