Accueil > 02 - Livre Deux : SCIENCES > Formation et filiation de l’homme > L’intelligence est-elle déterminée génétiquement ?

L’intelligence est-elle déterminée génétiquement ?

samedi 20 avril 2013, par Robert Paris

Les tests actuels d’"intelligence" excluent complètement cet humain de toute forme d’intelligence !!! Les concepteurs de ces tests et ceux qui les présentent comme des critères indiscutables doivent manquer quelque peu... d’intelligence !

L’intelligence est-elle déterminée génétiquement ?

Le journal Molecular Psychiatry vient de publier un article de chercheurs de l’université d’Edinburgh qui affirme que l’intelligence est hautement héréditaire et polygénique. Pour tâcher de ne pas susciter de réaction trop violente, les auteurs, les professeurs Ian Deary et Peter Visscher, indiquent que : « Ces résultats laissent aussi beaucoup de place pour les influences environnementales et des interactions entre les gènes des personnes et leurs environnements ».

La capacité du cerveau est-elle fondée sur un déterminisme génétique rigide. En somme, sommes-nous prédéterminés par notre ADN pour être intelligents ou pas et pour avoir telle ou telle forme d’intelligence ?

Le premier élément qui va à l’encontre de l’idée de déterminisme génétique de l’intelligence est le fait que les descendants des génies peuvent avoir une intelligence très moyenne ou très faible.

Le deuxième argument allant dans le sens inverse d’un tel déterminisme rigide est la souplesse cérébrale. Il suffit d’exercer fréquemment et efficacement une capacité pour la développer de manière très conséquente, ce qui sous-entend que la génétique n’est pas déterminante. Et cette malléabilité du cerveau est en fonction tout au long de la vie. Elle marche dans les deux sens. Si on s’entraîne, on peut améliorer notablement notre capacité cérébrale dans n’importe quel domaine. Si on cesse de s’entraîner, on peut perdre très vite notre rapidité acquise à réagir dans un domaine d’activité donné. L’évolution est notable physiologiquement. On peut augmenter la taille d’une zone, le niveau hiérarchique d’importance des cellules nerveuses, des réseaux neuronaux et des zones fréquemment activées. On peut augmenter l’épaisseur des zones par exemple qui coordonnent les bras ou la vision, en forçant son talent dans ces domaines.

Un troisième argument est le fait que l’héritage de la naissance est très faible. Le bébé possède environ cent milliards de neurones et seulement 10% d’entre eux sont déjà connectés. Les 90% restants vont se construire progressivement, en fonction des contacts avec l’environnement, des activités et des sentiments perçus.

Un quatrième argument est le fait que le déterminisme génétique et biologique n’agit pas de manière figée et ne permet pas de prédire les conséquences car il en résulte une multiplicité des possible, que ce soit dans le domaine de capacités physiques ou dans celui des capacités intellectuelles, si tant est que l’on puisse séparer les deux domaines.

Un cinquième argument, c’est que les études allant dans le sens inverse et qui sont défendues par la socio-biologie inversent les conséquences de leurs études. Par exemple, ils comparent des tests intellectuels réalisés dans diverses populations séparées génétiquement et en déduisent la supériorité des populations du monde occidental capitaliste sur les peuplades ayant vécu dans l’isolement de la forêt tropicale ou des aborigènes. C’est omettre que les mêmes études réalisées sur des populations issues des mêmes peuples mais vivant dans le monde capitaliste occidental et qui y sont parfaitement intégrées ne présentent aucune divergence des tests. Ces tests dits de « quotient intellectuel » sont fondés sur les critères d’adaptation au monde occidental et à ses valeurs et non sur des tests universels d’intelligence, pour la simple raison que cela n’existe pas. Pour vivre dans l’enfer vert de la forêt tropicale, il faut bien d’autres capacités intellectuelles que pour s’en sortir dans l’enfer des métropoles capitalistes. Le test ne permet que de vérifier ce qu’on a enseigné comme adaptation en testant ceux à qui on l’a enseigné, par les études mais aussi y compris au travers de la vie sociale… La génétique n’y est pour rien. Chercher des résultats de QI sur les Noirs américains est absurde car on ne fait que mesurer l’effet de la différence sociale entre deux milieux socio-économiques et non l’effet des gènes raciaux qui n’existent pas, ni encore la prédétermination intellectuelle des gènes…

Sixième argument  : certains scientifiques parlent d’intelligence prédéterminée génétiquement à 50% comme si on pouvait diviser en deux parties séparées l’influence des gènes et les autres influences (vécu de la petite enfance, influence sociale, éducation, autres influences physiologiques ou psychologiques). C’est un peu comme si on disait de quelqu’un qu’il est à moitié influencé dans sa marche à pied par le pied droit et à moitié par le pied gauche comme s’il ne fallait pas la collaboration des deux pour marcher…

D’où sortirait ce nombre de 50%, les auteurs se gardent de l’expliquer sérieusement. C’est juste une manière de se concilier les adversaires, tous ceux par exemple qui considèrent que l’éducation est déterminante…

Il faut signaler que cette étude compare les études de variations sur l’ADN à l’intelligence, mesurée exclusivement par des tests de vocabulaire. Ils se gardent de comparer également avec d’autres études pour les mêmes sujets : tests psychologiques, tests sociaux pour s’assurer qu’ils n’ont pas seulement mesuré un effet commun d’une autre cause… Ils se gardent d’étudier en parallèle, par exemple, les facteurs liés à l’environnement familial et scolaire.

Ils se gardent de prendre des critères issus d’autre chose que le monde intellectuel occidental de la société capitaliste…

Dire que l’intelligence dépend des gènes n’a rien d’extraordinairement étonnant. On peut également dire que les muscles dépendent de l’ADN. Mais cela ne nous fera pas oublier que cela dépend aussi de l’effort physique et de l’entraînement sportif… On peut dire, si l’on veut que la musculature est génétique, mais cela intéresse moins que d’affirmer que l’intelligence est génétique car le but de cette dernière affirmation est d’attacher à l’hérédité et à la naissance une supériorité…

Même si ces scientifiques avaient démontré qu’un individu dépend uniquement de ses gènes pour son intelligence, ils ne démontreraient pas qu’il dépend ainsi de ses parents car, en héritant moitié de chaque parent, l’enfant constitue un nouvel être vivant complet et pas une moitié de père plus une moitié de mère.

De plus, il est curieux que les gènes donnent une intelligence qui permet à l’enfant aborigène de se tourner vers toutes les connaissances de la forêt et à l’enfant du monde capitaliste vers celles de l’époque actuelle... Drôle de détermination génétique qui ressemble bien plus à une détermination sociale...

Septième argument : le fait qu’il existe des maladies de déficience intellectuelle, liées à des facteurs génétiques comme la phénylcétonurie, ne veut pas dire que des différences d’intelligence entre des individus en bonne santé soient également liées à ces gènes. Il y a une grande différence entre une maladie d’origine génétique et un différentiel d’intelligence dans une population qui n’est pas malade.

Huitième argument et non le dernier : une étude menée sur une vingtaine d’années montre que l’environnement intellectuel dans lequel évolue un jeune enfant, par les livres ou les jouets éducatifs, contribue à façonner durablement... son cortex cérébral.

Dans le débat ancestral opposant l’inné et l’acquis, ce dernier vient de marquer des points. Grâce à des études portant sur vrais et faux jumeaux, le rôle de la génétique dans la croissance cérébrale est connu. Mais les chercheurs supposent également que le milieu dans lequel un enfant grandit impacte le développement du cerveau.

Depuis le dernier congrès annuel de la Society for Neurosciences, de nouveaux éléments semblent attester les intuitions des scientifiques. Martha Farah et ses collègues de l’University of Pennsylvania y ont présenté une étude au long cours au bout de laquelle ils ont montré que les enfants disposant de jouets éducatifs et de livres à l’âge de 4 ans avaient un cortex cérébral plus fin. Cela concerne deux régions de cette fine couche externe marquée par les nombreuses circonvolutions. Il s’y déroule les processus mentaux de haut niveau.

Les auteurs ont suivi depuis leur naissance jusqu’à la fin de leur adolescence 64 enfants, vivant dans des milieux sociaux défavorisés. Lorsqu’ils ont eu 4 et 8 ans, les chercheurs leur ont rendu visite à domicile pour évaluer l’environnement dans lequel ils évoluaient : nombre de livres, de jouets éducatifs mais aussi la chaleur et l’affection qu’ils recevaient de leurs parents.

Une dizaine d’années après leur second passage, les adolescents devaient passer une IRM pour visualiser le cerveau. C’est là que les scientifiques ont remarqué une corrélation entre l’épaisseur du cortex en deux régions et le nombre de stimulations des enfants à 4 ans. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, plus l’enfant a lu et joué, plus son cortex est fin. Ceci s’observait bien au niveau du sillon temporal inférieur, sollicité lors de tâches visuelles complexes telles que la reconnaissance des mots et donc la lecture.

D’où vient l’intelligence humaine ?

Sur la sociobiologie

Qu’est-ce que le cerveau dynamique ?

Comment fonctionne le cerveau humain pour nous permettre de connaître le monde ?

Comment se construit un cerveau humain ?

Est-ce que nous sommes de purs produits de notre matériel génétique ?

D’où vient l’intelligence humaine ?

Développement et génétique

Construction et déconstruction du cerveau

Quelques idées fausses sur l’intelligence humaine

Messages

  • Mirko VIDOVIC
    De l’Académie internationale

    Protomatière et matière

    TRANSMISSION DU POUVOIR PAR LE SAVOIR

    L’éveil du conscient n’est pas aussi l’éveil de la conscience.

    Le conscient vient de la nature instinctive des etres humains qui découvrent le monde dans lequel il s’est trouvé tributaire de tant de bienfaits qui ne sont pas l’émanation de sa volonté mais de ses sentiments d’ (in)sécurité. L’unicité est à la base de toutes les structurations de la matière*, ne s’effondre jamais et à l’apogée de l’équilibre évolutif se fait au rebours de la logique de la gravitation.

    La vie c’est - connaissance de la nature en fonction de laquelle est fait notre organisme qui doit sans cesse assurer sa survie à commencer par la respiration.

    Un etre humain, pour vivre en harmonie avec la nature, a besoin de sa mère qui de son savoir acquis à la base des instincts, sort l’expérience pour réveiller dans le conscient de son enfant la curiosité par rapport à tout ce que représente son environnement afin de susciter dans la sensation d’etre en sécurité - la joie de vivre. Sentiment de la plénitude.

    Serait impossible de vivre humainement sans la mémoire dans laquelle est stocké le vécu instinctif conscient pour avoir une ’base de données’ susceptible de nous orienter face à l’inconnu qu’est le devenir.

    Il y a un seuil dans l’éveil de la personne humaine en bas age - le passage de la découverte passive de son environnement et l’apprentissage des faits nouveaux. C’est à l’amorce de ce stade que l’etre humain acquiert son équilibre mental car c’est l’amorce de la distinction du vrai du faux, du bon et du mauvais, de l’agréable et du désagréable (le domaine du début de la différenciation entre le juste et l’injuste).

    Certains humains, bien que très rares, cas de la réussite d’un nouveau né abandonné ou perdu par sa mère et élevé par des animaux (comme dans l’anecdote des fondateurs de Rome), selon les cas de ces humanoides dénommés Victor et Marie-Angélique le Blanc, trouvés dans la nature ’à l’état sauvage’, en France, au 18è siècle, démontrent que la base de leur conscient très rudimentaire était immuable - l’expérience vécue en bas age qui leur servait à comprendre les faits nouveaux ou le bon sens était suppléé par l’instinct de survie d’un etre humain élevé sans chaleur humaine.

    On dit qu’un enfant reçoit la base de son éveil conscient ’dans le lait maternel’. Or, nombre des enfants n’ont pas la chance d’etre bénéficiaire ni du lait maternel, ni de la chaleur des bras de la mère - nombre d’orphelins appelés ’enfants de Ceausesku ont été accueillis dans les orphelinats et ont eu pour base de leur conscient la ’culture’ reçue dans ces établissements ou ils ont eu les moyens de la survie mais pas de l’amour.

    Normalement, un petit d’homme s’éveille dans l’environnement naturel de manière bien équilibré s’il bénéficie de l’amour maternel ou de l’amour de ceux qui l’élèvent, mais jamais ils n’en garderont ce sentiment de plénitude que l’on reçoit en abondance de la mère dans l’amour qui conditionne les connaissance et préparent un petit d’homme éveillé dans l’engrenage du savoir à la capacité du pouvoir - grace à l’éveil de la conscience humaine qui donne à tout le contenu de notre mémoire et à notre conscient la notion de l’exactitude. C’est d’autant plus important que tout etre humain consciencieux a la meme sensation de la vérité, ce qui fait un lien entre tous constituant de ce fait LA PERSONNE HUMAINE.

    L’éveil de la conscience se fait à l’age ’fragile’ ou se forme, à la base de l’héritage congénital, la memoire du vécu et de l’appris. Cet EVEIL DE LA PLENITUDE HUMAINE n’est pas le fruit de la transmission de la tradition, mais un don reçu génétiquement dans l’essentiel du ’viaticum congénital’ de chaque etre humain. Or, si la conscience n’est pas éveillée à l’age fatidique, il est pratiquement impossible de le faire durant la maturité des gens meme doctes et très instruits. Il fallait des millénaires de l’éveil de la Personne Humaine pour que la prophétie s’en rende compte.

    On ne s’attardera pas ici sur les diverses manifestations de la conscience humaine au sein meme des civilisation très cultivées (comme Zarathustra, Socrates, Galileo Galilei, Descartes, etc’. Le fait est qu’un etre humain qui a la conscience ouverte et agissante est un etre ’étrange’ et suspecté en son temps et aux yeux des gens puissants et - non consciencieux.

    Le premier etre parfait et en tout point de vue humain, et cela en naissant, fut - Jésus de Nazareth - qui, en arrivant en ce monde a effrayé les grands de ce monde par son originalité d’etre la perfection annoncée par les prophètes et démontré comme la réalisation de cette sage présomption, à laquelle pouvait etre préparé chaque etre humain et l’humanité toute entière. Son destin était la démonstration que ce que les yeux des doctes ne voyaient pas ou voyaient faux (géocentrisme d’Aristote), ne peuvent pas lire la vraie nature du monde en tant qu’ oeuvre de la Logique de Création au vu de son origine que seule la conscience humaine est en mesure de présenter en toute clarté. Cette clarté nous dit qu’il n’y a pas de matière morte.

    Par sa mort Jésus a démontré que la mort n’existait pas puisque la Création se soucie de la moindre part des particules, y compris du corps de l’homme. Venu de l’unicité absolu qui se multiplie à l’appel des primes structures dans la multiplication des unicités - les systématisées appellent d’autres unicités de la protomatière jusqu’ en etre accomplies dans son contenu par rapport à d’autres qui se forment, toujours en appel des primes particules uniques et iremplaçables. Jusqu’à la totalité de l’organisme que ces amas réciproques ont formé, gardent dans leur nature des particules uniques qui maintiennent l’équilibre tant qu’elles constituent - la vie : vivre c’est croitre. Et restent potentiellement disponible meme après la décomposition des particules n’étant plus capables de croitre - reviennent, unicité après unicité, dans leur ETAT NON DEFINI PAR LES COORDONNES ESPACE/TEMPS. On en sait très peu, mais ce que l’on en sait rend incontestable son existence par rapport à la matière que la protomatière génère.

    La bonne connaissance de l’histoire humaine nous démontre que l’Humanité est LA PERSONNE HUMAINE qui a eu sa manifestation dans le monde en fonction duquel est fait l’organisme humain qui grandit et croit de génération en génération en transmettant sa gamme génétique qui se multiplie en unicité et de ce fait s’accomplit grace aussi à la transmission des connaissances exactes - toujours des réponses exactes trouvées aux question importantes. ’In illa hora dabitur vobis quod loquimini !’.

    Les connaissances des savants ont été toujours précédées par le balbutiement des prophètes de tout bord. Cela n’aurait pas été possible si la CONSCIENCE HUMAINE n’apportait au contenu chargé de la mémoire la lumière qui éclaire l’esprit de tous les gens consciencieux (la méditation permet meme aux savants consciencieux de mener le dialogue avec le Créateur). C’est des prophètes que vient l’idée de la nécessité de créer les conditions sociales pour un EVEIL DE LA CONSCIENCE** des enfants en age très précis, connues théoriquement par les pretres qui ont le don de la conscience et pratiqué par les autres qui n’en ont pas.

    La conscience humaine est une réalité qui fait vivre le corps en se situant à la fois dans les deux éléments tributaires l’un de l’autre (la matière de la protomatière-mère). Quoi qu’il advienne de la vie du corps, la conscience demeure dans sa nature de génératrice de la vie et de son épanouissement. D’aucuns l’appellent Esprit Saint, d’autres ’esprit de sainteté’. Pour le moment, on n’en sait pas plus.

    Cette importante cérémonie de l’EVEIL DE L A CONSCIENCE de l’homme qui doit etre éduqué dans l’esprit sanctifiant (haute notion du vrai !) à etre dans la vérité marque le passage de la vie du nourrisson à la vie d’un etre humain pris à part - élu. L’apprentissage qui suivit cet éveil dure tout au long de la vie de l’homme, mais pour l’essentiel, et afin de faire ’permanence’ de la certitude que la conscience est la seule en mesure d’assurer l’impact véridique de certaines pratiques de l’éducation de la foi durant la tendre enfance jusqu’à l’AGE DE RAISON.

    N.B. La conscience humaine ne s’amorce pas par le ’transvasement’ de la conscience de l’éveilleur dans l’ame du l’éveillé. Chaque etre humain nait avec la potentialité de sa conscience propre (l’unicité en toute chose !) qui doit etre appelée au fonctionnement, et c’est un ’seconde naissance’ de la personnalité unique dans la conscience universelle par l’amorce et l’évolution de la potentialité de la conscience individuelle. Cela ne se fait pas par des ’éveilleurs’ qui n’ont pas, eux, la conscience éveillée et agissante. C’est la question cruciale pour le pouvoir créatif de l’intuition qui vient de la conscience ouverte. Certains savants nous ont appris que l’intuition peut s’activer en état de l’éveil ou meme durant le sommeil (Mendeleef, Bohr etc.).

    Chez les chrétiens ce rituel initiant l’ EVEIL DE LA CONSCIENCE s’appelle le BAPTEME au cours duquel le corps immergé est preparer à l’ouverture de la potentialité de la conscience si l’éveil se fait en application de la méthode de la libre acceptation des faits logique que l’éveillé assume et retient dans sa mémoire. De toutes les manières, ce bapteme est l’entrée du nouveau-né dans la COMMUNION DES AMES.

    La cérémonie de la maturité de l’ame entre l’enfance et l’adolescence s’appelle CONFIRMATION dbut de la responsabilité personnelle. Nombre de jeunes, meme bien initiés et réalisés dans l’intégrité des règles de l’éthique ne sont pas nécessairement - consciencieux. "Tout ce qui n’est pas produit d’une conviction est péché." (Jcq,2,18)

    La conscience est le témoin de la plénitude humaine. Cela se prépare de la naissance jusqu’à l’age de raison". Agir en accord avec notre conscience c’est etre un homme entier - selon le parfait exemple de Jesus de Nazareth.

    Heureuses sont les nations qui sont guidées par l’Esprit Saint qui se manifeste dans la conscience des élus.

    *****

    Notices :

    * L’unicité en toute chose doit etre prise en compte comme origine de la structuration de toutes les manifestations dans toute "l’épaisseur de l’évolution de la matière". L’unicité qui est à l’amorce de chaque etre humain devient la réalité émanant de la protomatière - entière dans la conscience en tant qu’amorce de la potentialité de la vie humaine : à partir de la potentialité de la conscience, la génèse de lépanouissement du corps humain en fonction des forces de la nature ou il se situe - de la conception jusqu’à la fin de la vie du corps humain - serait incompréhensible sans etre maintenue en vie humaine par sa conscience.

    La vie c’est l’émanation de l’énergie ininterrompue tout au long de l’existence du corps et durant toutes les phases et manières que nécessite la survie du corps. Le ralentissement de l’apport de l’énergie qui fait vivre le corps se termine par la diminution de la demande de l’organisme en l’énergie vitalisante et se termine par la mort. La mort se fait en meme temps dans toutes les cellules de l’organisme ce qui pose la question du devenir de la conscience humaine en tant que seule permanence de sa nature. Tout change, sauf la conscience.

    On ne peut que spéculer sur l’état et le destin des unicités qui ont contribué à la structuration du corps unique et personnel, en ce qui concerne ’l’épaisseur du monde matériel’. Or on en a une information qui vient de Jésus de Nazareth qui a dit à ses disciples : "C’est l’esprit qui génère la vie - le corps ne vaut rien" (J. VI,63).

    *****

    ** L’ouverture de la potentialité de la conscience humaine, en tant qu’ essentiel de la gamme génétique, se manifeste comme seule composante du ’viaticum’ de la prime structure de l’embryon humain immuable et permanente - la meme avant l’épanouissement du foétus et après la mort du corps qu’elle assistait durant son existence éphémère.

    Ayant pour essentiel la gamme instinctive comme la plupart des membres de la faune très foisonnante, l’organisme humain vient en ce monde assisté par sa conscience qui guide ses instincts comme la source de l’intuition sans laquelle le sens de la vie des hommes ne serait bien différent des autres membres de la faune.

    La conscience humaine est un don de l’Esprit Saint qui la guide tout au long de la vie humaine, si potentialité de la conscience est ouverte à l’éveil de l’individualité et épanouie grace à la transmission du pouvoir spirituel par le savoir et la connaissance de l’extrème précision dans tout ce qui est vérité. Afin que la conscience soit ouverte à l’Esprit Saint durant la survie du corps, il faut que l’esprit assimile et retienne un discipline rigoureuse du controle de soi-meme.

    L’abnégation est un comportement voulu, alors que l’impartialité et tout autre en tant qu’héritage génétique qui met en valeur la conscience - la vie en société équilibrée - l’art de ne pas s’extraire de la ’communion des saints’. Cela est une permanence qui rend effective la coordination de tous les éléments de l’organisme humain auquel la conscience survit.

    On ne peut que spéculer sur la destination des unicités crées de conscience individuelle dans la permanence de la protomatière qui génère et recueille les unicités en tant que prémisses des structures constituant ’l’épaisseur de la matière’.

    Car la matière morte n’existe pas, et de ce fait la mort est un non sens, dénommé parfois de ’néant’.
    Or, le néant est le non-sens par excellence.

    * * * * *

    • Vous écrivez de nombreuses contre-vérités :

      La vitese de la lumière prouve la parfaite conductivité de la protomatière.

      Le vide est le non-sens.

      Le conscient vient de la nature instinctive des êtres humains qui découvrent le monde.

      Le conscient en effet vient aux animaux, le vide est la base de tout et la vitesse de la lumière prouve que rien n’est instantané et donc que le vide résiste au passage de la lumière...

Un message, un commentaire ?

modération a priori

Ce forum est modéré a priori : votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par un administrateur du site.

Qui êtes-vous ?
Votre message

Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.