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L’humanité frappée mortellement mais c’est le grand capital qui est en soins palliatifs

mercredi 27 janvier 2021, par Robert Paris

édito

Le peuple du monde est plus que jamais frappé par la pandémie, mais c’est le capitalisme mondial, pourtant responsable de ce bain de sang, qui est mis sous perfusion de milliers de milliards de dollars

Toute la société ne parle plus que de la pandémie alors que l’évènement historique le plus impressionnant, c’est la chute du capitalisme et que, d’ailleurs, la catastrophe covid provient certainement de la chute économique et non l’inverse !

Malgré des aides étatiques folles aux capitalistes, l’économie se met progressivement à l’arrêt. Ce n’est pas la pandémie qui la tue. Ce ne sont pas les confinements non plus. Le nom de la maladie du capitalisme n’est pas covid. Il s’appelle suraccumulation du capital et chute brutale de l’investissement productif par rapport à la masse totale des capitaux.

D’ailleurs, le capitalisme n’est pas à proprement parler malade. Il a achevé son cours. Il a atteint son plus haut succès en même temps que ses limites. La chute vient d’une tout autre origine qu’un virus, qu’une crise sanitaire, et de bien avant 2019, de douze ans avant et même plus.

Covid n’est que l’enrobage, le camouflage, le moyen de casser les réactions des peuples tout en justifiant la mise en place d’une dictature. La chute qui est à la racine de cet effondrement historique du capitalisme mondial n’est pas celle de la consommation, n’est pas celle du commerce, n’est pas celle de l’activité sociale. C’est celle de l’investissement productif du grand capital. Cela ne signifie pas que l’exploitation du travail humain ne soit plus rentable mais c’est seulement que, dans le cadre de la propriété privée des moyens de production, il y a désormais trop de grand capital pour qu’on puisse trouver des investissements rentables pour une telle somme considérable de capitaux. Le grand capital a donc atteint ses limites et ce n’est qu’artificiellement, par des aides des Etats et des banques centrales, qu’il parvient encore à augmenter. Or, dans les fondements même du capitalisme, il y a le fait que l’enrichissement provient de la plus-value, c’est-à-dire de la richesse supplémentaire tirée du travail humain et qui provient du fait qu’une bonne partie des richesses est réinvestit dans de nouvelles production. Du moment que le grand capital n’en est plus capable, il n’a plus qu’à quitter la scène, il est mort. Car du capital qui ne produit plus de plus-value n’est même plus du capital, seulement de la richesse !

Bien sûr, certains pourraient rappeler que les capitalistes sont pourtant plus riches que jamais, qu’il y a bien plus d’argent dans leurs coffres, que jamais les milliardaires n’ont été aussi riches. Mais cela n’est pas contradictoire : les Etats, les institutions centrales leur distribuent des sommes folles mais leur richesse ne provient pas du réinvestissement de la plus-value extraite du travail humain, ce qui a été tout au long de l’existence du capitalisme, même dans ses phases de crise, le fondement même du système.

Que le capitalisme ait atteint ses limites d’accumulation de capital ne signifie pas bien entendu que les capitalistes n’ont plus assez de place dans leurs coffres-forts, qu’ils ne peuvent plus devenir plus riches ou qu’ils ne le veulent plus. Non, cela signifie que le système économique et social en place ne trouve plus les moyens de placer ces capitaux nouveaux dans des investissements productifs. Et, de ce simple fait, cela signifie que la société distribue des richesses aux capitalistes mais que ces richesses sont fictives puisqu’elles n’ont pas été produites ! Cela signifie aussi que ces palliatifs financiers ne pourront pas durer éternellement et que, plus ils durent, plus grave sera la chute.

En tout cas, on peut comprendre que la situation actuelle n’est nullement une crise économique de type classique contrairement à ce que l’on nous a longtemps dit. Et ce n’est pas parce que ce serait une « crise sanitaire » !

Rappelons que la grippe espagnole et d’autres calamités comme le premier SRA n’ont pas entraîné d’effondrement économique du système capitaliste.

Redisons le une fois de plus, ce n’est pas covid qui fait s’effondrer le capitalisme. Tous les trusts qui chutent actuellement, ferment des sites, licencient, se cassent la figure, ont commencé à le faire avant le covid. Qu’il s’agisse de trusts automobiles, aéronautiques, pharmaceutiques et autres…
Nous sommes arrivés au plus haut niveau des capacités du capitalisme et pourtant il chute. Ce n’est pas accidentel, ce n’est pas un problème technique. Cela ne sera pas soigné par la disparition de la pandémie. L’effondrement capitaliste ne dépend pas de covid, contrairement à une affirmation sans cesse répétée par les commentateurs divers.

Par contre, la vie des peuples du monde dépend du fait que les gouvernants et classes possédantes ont bel et bien l’intention de les laisser crever et mettent la presque totalité de leurs moyens à faire durer l’économie capitaliste. Ils paient plus d’argent pour faire durer le capitalisme un mois de plus que pour soigner les peuples pendant dix ans !!!

Et cet argent, distribué aux capitalistes par les Etats et les banques centrales, des sommes de plus en plus colossales, ne sert pas du tout à « relancer l’économie » comme ils le prétendent mais seulement à payer les profits d’un capital qui n’est plus que prédateur, profiteur, sangsue des richesses publiques sans être producteur, créateur de richesses, investisseur dans des productions nouvelles.

Pendant ce temps-là, les mêmes Etats prétendent qu’ils ne peuvent pas dépenser plus pour payer des personnels de santé, des hôpitaux, des matériels médicaux de toutes sortes, pour financer des masques, des appareils respiratoires, des tests, etc. Ils ne dépensent dans la santé que pour donner des sommes colossales aux trusts pharmaceutiques, sous prétexte de vaccins, de tests et autres ! Ils ne se préoccupent nullement, pas plus que pour le reste des médicaments, que ces vaccins, ces tests, ces soins soient réellement efficaces et ne soient pas dangereux. Les Etats capitalistes qui ont, par exemple, laissé des années des médicaments qui tuent sur le marché, comme ils ont laissé par exemple des vaccins dangereux ou inutiles, ou du lait pour enfants qui tue, ne vont pas se préoccuper davantage du covid qui tue !!!

Si nous sommes décidés à défendre notre santé et celle de nos enfants, il faudra nous décider à prendre en mains les rênes de la direction de toute la société et l’arracher à la règle capitaliste qui ne fait plus que détruire la société humaine.

Le bon sens de bien des gens les trompe. Ils se disent : les capitalistes ne vont pas laisser leurs entreprises chuter et ils vont finir par redresser la situation économique puis sociale, même s’il est possible qu’actuellement ils la laissent chuter. Ils croient que les capitalistes font tout ce qu’ils veulent et qu’il suffit qu’ils souhaitent faire durer le capitalisme pour que cela soit possible.

En fait, les capitalistes ne sont pas plus maîtres de l’effondrement du système qu’ils n’ont la maîtrise réelle d’une pandémie, une fois celle-ci lancée !!!

Bien sûr, les travailleurs révolutionnaires, en prenant le pouvoir aux capitalistes, ne feraient pas non plus des miracles et n’auraient pas la capacité d’arrêter par un décret la propagation d’une pandémie, ni de développer l’économie que les capitalistes ne peuvent plus faire fonctionner.

Mais il y a bien des choses que les travailleurs, ayant pris le pouvoir en chassant les classes possédantes, pourraient faire alors que les capitalistes et leurs gouvernants ne pourront ni ne voudront jamais faire :

1°) Faire en sorte que le profit d’une infime minorité ne soit pas l’objectif numéro un de toute la société même quand la plus grande partie de la population est en train de crever ! Et qu’à l’inverse cet objectif numéro un devienne le bien-être de l’immense majorité, sa santé, son éducation, sa sécurité, ses moyens de vivre, etc.

2°) S’assurer que ce qui est proposé comme moyens médicaux, comme tests, gants, masques, vaccins, appareils respiratoires soient réellement conçus pour la santé et pas pour celle des profits des trusts du secteur.

3°) Interdire les licenciements, les suppressions d’emplois, les fermetures, les expulsions, les attaques antisociales et antidémocratiques.

4°) Empêcher l’utilisation de la pandémie pour accroître le caractère dictatorial des Etats.

5°) Cesser d’autoriser que l’argent public serve les intérêts de l’infime minorité des possesseurs du grand capital.

6°) Mettre en place une société où le travail de tous comme les biens publics ne servent que l’intérêt public.

Ces changements révolutionnaires sont rendus indispensables et irrémédiables par l’effondrement du capitalisme et par les violences qui en découlent, dont la pandémie n’est qu’un des exemples, mais qui s’intitulent aussi dictature policière et militaire, fascismes, génocides et guerres.

Quand la société ne peut plus produire des richesses nouvelles, il faut que la classe exploitée renverse le pouvoir. C’est une loi générale de l’histoire et le capitalisme ne fait là que suivre ses prédécesseurs. L’humanité, elle, a toujours un bel avenir possible, même si le capitalisme, lui, n’est plus que barbarie sanglante.

L’économie mondiale n’a pas recommencé à chuter en 2019-2020 mais en 2017 !!!

Le capitalisme mondial sous perfusion des banques centrales...

Messages

  • Il s’agit de choisir entre protéger l’avenir de l’humanité et faire durer un tout petit peu plus les profits du grand capital

  • Consignes des gouvernants capitalistes :

    1ère consigne : Pas question pour la classe capitaliste d’admettre que toute son économie et tout son système social vont chuter inexorablement, que les emplois supprimés ne réapparaitront pas, que les entreprises qui ferment ne rouvriront pas, que d’autres et encore d’autres les suivront, que tous les emplois seront détruits, que toute la société est en voie de destruction générale et inéluctable parce que le capitalisme a atteint sa limite et qu’il ne portera plus aucune société. Pour cacher cette destruction massive et la présenter comme une simple crise, il faut d’abord la présenter non comme le produit de contradictions mortelles et inhérentes au système et toujours de mettre en avant le Covid pour annoncer, interpréter, justifier toutes les chutes économiques et toutes les mesures drastiques que cela implique par une crise sanitaire et laisser ainsi entendre que la fin du Covid signifierait la fin de toutes ces catastrophes, ce qui ne peut être aisément contredit, étant entendu que Covid n’aura pas de fin… L’existence d’un effondrement du capitalisme prévu avant que Covid soit même connu doit toujours être niée, sous-estimée, oubliée, cachée pour le grand public. Les causes mêmes d’un tel effondrement, connues depuis 2007, doivent être enfouies sous des tonnes de commentaires qui mettent en avant les effets (comme les subprimes) pour mieux cacher les causes (le retournement du fonctionnement de la machine capitaliste depuis que son système a atteint ses limites de capacités de capitalisation, c’est-à-dire d’accumulation du capital par l’investissement productif et l’extraction de plus-value du travail humain).

    2ème consigne : il ne faut pas parler de chute, d’effondrement, de point terminal, de fin du capitalisme mais seulement de crise, laissant ainsi entendre qu’elle ne peut être suivie que d’une reprise et que ce qui importe ce seraient des mesures pour aider le mieux et le plus vite possible cette reprise, même si personne au sein de la classe capitaliste, aucun détenteur de capitaux en somme, n’y croit ni n’a l’intention de perdre son argent à miser dessus !

    3ème consigne : Les aides financières publiques massives doivent toujours apparaître justifiées par la nécessité de favoriser un jour une reprise économique ou à aider l’économie à chuter le moins possible ou encore à aider la population à préserver ses emplois et ses revenus, même si ces mesures ne peuvent pas y parvenir. En fait, ces mesures sont seulement des manières d’offrir momentanément leurs revenus aux prêteurs privés de capitaux, même si la plus-value extraite du travail humain par l’investissement du capital dans la production ne permet plus de distribuer de tels revenus. Bien sûr, ces cadeaux publics (à coups de milliers de milliards qui ne serviront nullement à préserver un seul emploi, à empêcher une seule fermeture d’entreprise, à réactiver un seul circuit économique réel, etc.) au capital privé ne peuvent pas être éternels et sans limite. Il s’agit seulement de faire durer un peu la situation, d’en cacher la signification et de permettre ainsi aux classes possédantes d’égarer les travailleurs, de les déboussoler, de les diviser et d’empêcher toute prise de conscience des réels enjeux de cette situation que l’on peut résumer ainsi : la mort définitive et inexorable du système capitaliste.

    4ème consigne : à chaque fois que des milliers de milliards sont dépensés pour les jeter sur les marchés financiers, les donner en cadeaux aux trusts et aux banques sans aucun engagement de la part de ceux-ci, il faut que la puissance publique présente cela comme une aide à toute la société, en particulier aux plus démunis, aux exploités, aux salariés, aux pauvres, une aide à l’emploi et à la préservation de la situation sociale, en empêchant les travailleurs de chuter dans la misère, même si rien (ou seulement des miettes) dans ces injonctions d’argent massives ne sert à un tel but.

    5ème consigne : faire croire à chaque couche sociale non capitaliste que l’Etat capitaliste a aidé les autres couches sociales non capitalistes, en somme opposer les salariés entre eux, les salariés aux petits bourgeois, les salariés aux chômeurs et les actifs aux retraités, les jeunes aux vieux, en laissant croire que les uns ont pris l’argent public qui devait servir à aider les autres.

    6ème consigne : démolir toute confiance de la classe exploitée dans ses propres forces, dans ses capacités de se défendre, dans sa cohésion, dans l’existence d’une base commune de tous les exploités pour agir ensemble dans une telle situation.

    7ème consigne : Pour cela la pandémie du Covid doit être exploitée à fond par la puissance publique comme par les patrons privés. Le Covid est un excellent moyen pour détruire tous les liens entre les salariés. Il suffit de créer de multiples situations diverses aux salariés empêchant tout rapprochement entre eux. Ainsi, une grande entreprise voit ses salariés divisés entre ceux qui font du télétravail ou en font partiellement, ceux qui sont au chômage technique (avec toutes les menaces à l’emploi qui pèsent dès que cette situation perdure et que le salarié ne peut même plus retourner dans l’entreprise et contacter ses camarades de travail !), ceux qui y étaient, ont repris le travail et ont été de nouveau au chômage technique, ceux qui n’ont pas repris le travail pour cause (ou plutôt sous prétexte) de nouvelles consignes de sécurité face au Covid, tel ou tel secteur étant réputé par exemple difficile pour protéger les salariés. Il va de soi que la consigne donnée aux patrons consiste à isoler ainsi les salariés remarqués dans la période précédente comme des troubles-fêtes des intérêts patronaux, par exemple des dénonciateurs de la concussion entre patrons et bureaucraties syndicales, des partisans de l’auto-organisation des travailleurs, des assemblées générales décisionnelles, des comités de grève, des gilets jaunes, etc. Ceux-là vont devoir être ciblés, isolés, mis à l’écart de mille manières sous prétexte de la pandémie, des nouvelles consignes de sécurité, des restrictions économiques, des suppressions de postes, etc. Bien sûr, une des manières consistera à accuser ces salariés de non respect des consignes de sécurité, ou encore à dire qu’ils ont mis en danger la pérennité et la santé économique de l’entreprise en refusant les efforts nécessaires dans la crise sanitaire, qu’ils ont ainsi rompu la solidarité avec leurs camarades de travail, etc. On opposera ainsi les salariés qui mettent en avant leur sécurité et ceux qui mettent en avant leur emploi, en traitant les uns de partisans du confinement et les autres de partisans du déconfinement, alors qu’en réalité sécurité et emploi de s’opposent que du fait des politiques patronales et gouvernementales.

    8ème consigne : les gouvernants et les patrons doivent dénoncer les salariés et les milieux populaires en les accusant d’être, par leur irresponsabilité, leur égoïsme, leur bêtise ou autres qualités, la cause de l’aggravation de la situation des entreprises, du développement de la pandémie, et des conséquences sociales et de santé que cela entraînera pour toute la classe ouvrière et même toute la population. On profitera pour cela de tous les faits divers tendant à faire croire que l’irresponsabilité n’est pas celle des gouvernants et des classes possédantes mais celle d’individus manquant de sérieux, refusant la règle sociale, individualistes, violents, en somme « des sauvages » comme les traite le nouveau ministre de l’Intérieur français. Bien sûr, on appellera ainsi sauvages tous les travailleurs qui ne se laissent pas faire, qui luttent à la manière des gilets jaunes, c’est-à-dire en remettant en cause toutes les autorités établies, en ne respectant pas les institutions de l’Etat capitaliste, en ne suivant pas les règles du dialogue social bidon instauré entre Etat, patrons et syndicats pour mieux piéger les travailleurs. Bien sûr, la répression violente doit être utilisée par l’Etat capitaliste à l’égard des révoltés précédemment cités et elle doit être justifiée aux yeux du public par la défense de la sécurité de tous ! On doit donc présenter comme un crime le fait de manifester, de se révolter, de lutter, de dénoncer, de ne pas se laisser faire, de propager des vraies nouvelles face aux mensonges officiels, etc.

    9ème consigne : il faut profiter du temps gagné grâce aux mesures précédemment citées pour désorganiser le camp des travailleurs, pour le diviser, pour le déboussoler, pour le démoraliser, pour le dissoudre en éléments individuels, pour casser tous les liens. Pour cela, les gouvernants utiliseront successivement confinement et déconfinement, mettant les salariés soit sous la menace de perdre leur emploi soit sous celle de perdre… la vie en allant au travail ! Les patrons se serviront de cette situation où les salariés sont pris entre deux chantages (à l’emploi et à la vie) pour casser les conditions de salaires, d’horaires, de charges de travail, de sécurité d’emploi et véritablement esclavagiser le salariat.

    Dixième consigne : il faut opposer globalement le monde du travail au reste des milieux populaires, en particulier à la petite bourgeoisie qui vit de son travail, aux petits commerçants, aux petits artisans, aux petits paysans , aux petits pêcheurs, aux petits transporteurs, aux chauffeurs de taxis, aux routiers, aux livreurs, etc. Il faut que les uns croient que les autres ont touché des aides fantastiques et que les autres en ont été volés. Il faut présenter comme des privilégiés, des voleurs, des irresponsables les uns aux autres afin de cacher les vrais privilégiés, voleurs et irresponsables de la classe capitaliste.

  • La naissance du capitalisme a révolutionné économie et société de manière sanglante. Sa mort en fera autant…

  • vaccins indisponible, ça permet de planifier des profits juteux pour des mois voire des années pour les labos.

    surtout, ça permet de dire que les labos sont des pourris alors que les gouvernements les ont aidés à ne pas livrer à temps les vaccins. Cela est bien pratique pour que la population soit contaminée et que la terreur se propage... En 1944-45 il a fallu une terreur pour que l’Europe défaite ne donne pas un nouveau octobre 1917. Il a fallu des terreurs en Italie, en Allemagne, en Espagne et la contre révolution stalinienne pour une terreur en Europe dans les années qui ont suivi Octobre.

    Là, pas besoin de dictature tout de suite, pas besoin de boucherie ni de bombardement ni de camps de la mort. Le virus fait le boulot, bousille des vies, rend tout plus compliqué. Les dirigeants politique font semblant de combattre la maladie. Ce qu’ils combattent c’est la révolution sociale

    le confinement casse les liens sociaux

    le travail à distance casse les liens dans l’entreprise

    les morts en masse cassent le peuple travailleur

    les interdits ouvrent la voie de la dictature féroce

    le covid camoufle l’effondrement du capitalisme

  • Le gouvernement français ne ferme les écoles que quand les variants y sont détectés, c’est-à-dire qu’ils ne le font que quand c’est trop tard, comme ils l’ont fait pour reconnaitre que les masques en toile ne sont pas efficaces, qu’il faut couper les communications avec les pays frappés,etc…

    Comme de reconnaitre que covid est dans l’air et sur les surfaces, tput est fait avec retard et les mesures ne sont prises que quand c’est trop tard pour être efficace !!!

  • On apprend que la vitamine D est en rupture de stock. Le gouvernement, apprenant qu’elle protège contre covid, n’en a pas programmé la production intensive !!!

  • Covid développe des variants pour se survivre mais le capitalisme, lui, n’en est plus capable…

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