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La Guadeloupe est en révolte ! Le gouvernement réprime !

samedi 20 novembre 2021

La Guadeloupe est en révolte !

Le gouvernement réprime !

UGTG :

CAMARADES, TRAVAILLEURS DU CHUG ET DE L’EPSM DU SITE DU CHUG
Tel un animal blessé, Gérard COTELLON Directeur Général du CHUG vient de publier un Communiqué de Presse où il se plaint d’une explosion des arrêts de travail du personnel du CHUG. Et, pour parfaire dans la connerie, il menace les Médecins prescripteurs de poursuite ; nous serions donc responsables des dysfonctionnements du CHUG consécutifs à ces arrêts… Ainsi, après nous avoir tewbolizé la tête des agents ; obligeant les plus précaires à se laisser vacciner… Après nous avoir menacés de sanction du fait de notre participation « libre et éclairée » à la grève et à la contestation de ces décisions de suspension et de non-paiement de salaire…Après avoir mobilisé son escadron de Cadres qui le doigt au calot refusent de nous octroyer nos congés programmés, nos repos, et bientôt nous imposeront le passage généralisé aux 12 heures… Incapables de réorganiser le CHUG avec toutes ces absences qu’ils ont générées, avec toutes leurs violences…
YO O ZABWA !!
Oui, Camarades, Collègues du CHUG et de l’EPSM du site du CHUG , COTELLON et ses Collègues Dirigeants des établissements publics et privés de Guadeloupe sont aujourd’hui contraints de se rendre à l’évidence de leur docilité et de leur méchanceté… La santé, les soins, le traitement des souffrances et des maladies sont des activités humaines, pratiquées par des professionnels humains dans un climat nécessitant
sérénité, empathie, et le respect…
Seulement c’était trop demandé à ces soldats de la vaccination forcée, à ces sbires de l’ordre macroniste, à ses Cadres de direction et à ces Médecins défroqués, de reconnaitre que :
PIKI FÒSÉ KA BA MOUN BOUTON !!
 PIKI FÒSÉ KA PÉTÉ TÈT !!
 PIKI FÒ SÉ KO PÈKLI !!
Alors maintenant ils cherchent à sortir de leur bêtise et voudraient que nous les sanctionnés sans fautes, nous les suspendus sans salaire, sans possibilité de contestation soyons tenus pour responsables de la dislocation de l’offre de soins, de l’accès aux soins, de la qualité des soins… Awa – yo ké péyé krim a yo… Le crime organisé de l’inaccessibilité aux soins !!!
Camarades, Collègues du CHUG et de l’EPSM du site du CHUG, nous, UTS-UGTG persistons à vous encourager à utiliser tous les droits prévus par les règlementations, droit de grève, droit au congé pour maladie, et droit de retrait, à refuser toute modification de notre rythme de travail, le passage aux 12 heures, la mobilité interservices, autant de désorganisation de notre vie, autant de situations déstabilisantes, destructrices de nos équilibres.
CAMARADES, TRAVAILLEURS DU CHUG ET DE L’EPSM DU SITE DU CHUG, après 4 ans de stress post incendie, 2 ans de guerre contre la Covid-19, des années de galère pour la titularisation, pour l’accès à la formation, pour l’obtention d’équipements et de matériels de soins, pour des médicaments, pour le paiement de nos heures supplémentaires, comment COTELLON et ses konboch peuvent-ils encore vouloir obtenir de nous un quelconque sacrifice supplémentaire, simultanément à l’exclusion de plusieurs centaines de nos Collègues coupables d’être non-vaccinés ?
AWA COTELLON, BOUCHAUT, MAN WILHELM PÈD FIL’A YO AVÈ BOBIN LA !!
L’UTS-UGTG constate malheureusement que ce sont également les patients qui commencent à payer au prix de leur vie ces exactions au droit à la santé et au droit à la vie ; ce seront des consultations et interventions différées, des ruptures de prise en charge de soins et en santé mentale, des conditions d’hygiène et de séjour dégradées, des actes de soins pratiqués par « des soignants » non qualifiés, et encore des pertes de chance, Mais là, il appartient aux patients et à leur famille de s’en inquiéter et d’agir en conséquence…Nous, NOU JA LAS BAY !! C’est à notre tour d’obtenir le respect de tous nos droits… et ce autant par la lutte syndicale que par la lutte judiciaire
CAMARADES, TRAVAILLEURS DE LA SANTÉ, DES ÉTABLISSEMENTS ET SERVICES PUBLICS ET PRIVÉS DE LA SANTÉ DE GUADELOUPE, POUR NOTRE SANTÉ, POUR NOTRE LIBERTÉ, POUR NOS ÉQUILIBRES ET CEUX DE NOS ENFANTS, NOUS VAINCRONS.
Tous les jours depuis notre mobilisation dans le parking, des services rejoignent la lutte. Tous les jours, notre seule présence au piquet, réconforte et renforce les plus hésitants… Tous les jours la résistance se construit… NOU KÉ GANNYÉ !!
SÉ YO KI MÉLÉ…
SI TRAVAYÈ SISPANN… SÉ TRAVAY KÉ SISPANN !!
KA NOU KA FÈ
CAMARADES, TRAVAILLEURS DE LA SANTÉ, DES ÉTABLISSEMENTS ET SERVICES PUBLICS ET PRIVÉS DE LA SANTÉ DE GUADELOUPE, NOTRE INTÉGRITÉ MENTALE, PSYCHOLOGIQUE, PHYSIQUE EST NOTRE PRINCIPAL PATRIMOINE, JAMAIS NOUS NE L’HYPOTHÈQUERONS POUR QUE COTELLON ET SES AMIS SOIENT DÉCORÉS.
SONJÉ SA NOU TINI POU FÈ :
• NE PAS PARTICIPER À LEUR OPÉRATION DE DIVISION…DIVISER C’EST S’AFFAIBLIR ;
• NE PAS RÉPONDRE SEUL À AUCUNE CONVOCATION, ÉCRITE OU VERBALE CONCERNANT LA VACCINATION OU TOUTE PROCÉDURE ADMINISTRATIVE OU JUDICIAIRE
• N’ACCEPTER AUCUN COURRIER EN MAINS PROPRES
• NOUS INFORMER DE TOUTE DÉCISION DONT VOUS ÊTES DESTINATAIRES
• RENFORCER LE CAMP DES RÉSISTANTS DANS LES SERVICES, ENTRE COLLÈGUES, SUR LE PIQUET DE GRÈVE, ET AVEC ENCORE PLUS DE DÉTERMINATION ET D’ENGAGEMENT, DÈS RÉCEPTION D’UNE LETTRE DE SUSPENSION
• NOTRE PRINCIPAL ATOUT, NOTRE PRINCIPALE FORCE ET NOTRE PRINCIPALE RIPOSTE RÉSIDENT DANS LA GRÈVE ET QUELLES QUE SOIENT LES PRESSIONS, INTIMIDATIONS QUE L’ENCADREMENT TENTE D’EXERCER CONTRE NOUS, ILS NE PEUVENT NOUS INTERDIRE D’EXERCER CE DROITCONSTITUTIONNEL
• EN GRÈVE, NOUS NE SOMMES NI EN ABSENCE IRRÉGULIÈRE NI EN ABANDON DE POSTE. NOTRE POSITION EST COUVERTE PAR LE PRÉAVIS DE GRÈVE DU 02 SEPTEMBRE 2021
• LE PIQUET DE GRÈVE EST NOTRE BIK DE LA LIBERTÉ ET DE LA RÉSISTANCE
• EN VUE DES PROCÉDURES JUDICIAIRES EN COURS NOUS VOUS INVITONS À NOUS COMMUNIQUER VOTRE LETTRE DE SUSPENSION SUR LE PIQUET DE GRÈVE
• NOU KA SANBLÉ TOUS LES JOURS DÈS 6H POU PALÉ À 11H

AU NOM DE LA LOI DE LA REPUBLIQUE !
Ils n’ont que cette expression à la bouche. Au nom de la loi de la république !
C’est donc en vertu de cet adage, qu’ils ont décidé de nous punir. De nous punir
d’avoir osé braver le maître, d’avoir osé nous dresser pour dire notre inquiétude, nos
incertitudes, nos doutes et DIRE NON, AN PA DAKÒ !
Wi, Camarades, Zanmi, Fanmi, Travayè, Chomè, Jenn, Rètrété, c’est bien de cela
qu’il s’agit. Comment des descendants de kalinagos assassinés, violés, spoliés,
esclavagisés et d’Africains déportés, violés, assassinés et réduits en esclavage, osent
défier le maître ; celui qui sait tout et qui leur a tout donné. Celui qui les a retirés de
la préhistoire pour les amener à la lumière, à la civilisation, à la vie, AU NOM DE LA
LOI DE LA REPUBLIQUE !
Wi, Camarades, Zanmi, Fanmi, Travayè, Chomè, Jenn, Rètrété, sé sa menm. Pour
EUX, les ROCHATTE, DENUX, MACRON, CASTEX, VERAN et tous les autres valets du
système colonial, nous ne sommes qu’une bande d’ignares, de paresseux,
d’emmerdeurs qu’ils convient de mater y compris par la force si nou pa ka tann.
Dayè, sé sa YO ka fè é toujou fè, … AU NOM DE LA LOI DE LA REPUBLIQUE !
Wi, Camarades, Zanmi, Fanmi, Travayè, Chomè, Jenn, Rètrété, ce sont les mêmes
qui ont érigé l’esclavage et la traite négrière en loi à travers le code noir, … AU NOM
DE LA LOI DE LA REPUBLIQUE !
Ce sont les mêmes qui ont indemnisé les esclavagistes en 1849, pérennisant le
racisme et la discrimination pour l’éternité, … AU NOM DE LA LOI DE LA
REPUBLIQUE !
Ce sont les mêmes qui ont tué au total plus d’une centaine de Guadeloupéens en
1910, en 1925, en 1930, en 1952, en 1967, en 1985, … sans jamais qu’un militaire
français ne soit condamné, … AU NOM DE LA LOI DE LA REPUBLIQUE !
Ce sont les mêmes qui ont volontairement empoisonné la Population Guadeloupéenne au chlordécone et qui, aujourd’hui, osent nous parler de « responsabilité partagée dans le cadre d’un aveuglement collectif »,… AU NOM DE LA LOI DE LA REPUBLIQUE !
Ce sont les mêmes qui maintiennent notre Pays et note Peuple dans un sous-développement latent, sous la domination des descendants d’esclavagistes pour mieux nous asservir, pour mieux nous domestiquer, ... AU NOM DE LA LOI DE LA REPUBLIQUE !
Mais pourquoi, AU NOM DE LA LOI DE LA REPUBLIQUE ! N’y a-t-il pas d’eau
potable en qualité, en quantité et en régularité à tous nos robinets ?
Mais pourquoi, AU NOM DE LA LOI DE LA REPUBLIQUE, la Guadeloupe, pays
soumis à des risques naturelles graves, n’est-elle pas dotée d’équipements médicaux
et de personnels au moins équivalents au standard d’un établissement en France ?
Mais pourquoi, AU NOM DE LA LOI DE LA REPUBLIQUE, le chômage des jeunes de
moins de 25 ans atteint-il plus de 60% en Guadeloupe, record d’Europe ?
Mais pourquoi, AU NOM DE LA LOI DE LA REPUBLIQUE, le seuil de pauvreté est-il
de 1020 euros en France alors qu’il est en Guadeloupe de 790 euros ?
Mais pourquoi, AU NOM DE LA LOI DE LA REPUBLIQUE, y a-t-il en Guadeloupe
plus de 23.000 familles déclarées pauvres, plus de 34% de la population ?
Mais pourquoi, AU NOM DE LA LOI DE LA REPUBLIQUE, la population
guadeloupéenne est-elle frappée par autant de maladies chroniques telles que le
diabète, l’obésité, l’hypertension artérielle, les maladies cardiovasculaires, le cancer dela prostate, etc…, loin devant les régions de France ?
Mais pourquoi, AU NOM DE LA LOI DE LA REPUBLIQUE, ne bénéficions-nous pas
de toutes les aides et autres prestations sociales, des mêmes montants, au point que
le gouvernement français a même promulgué une loi dite « d’égalité réelle » pour tenter de masquer les inégalités existantes ?
Mais pourquoi, AU NOM DE LA LOI DE LA REPUBLIQUE, nos plaintes dénonçant
les atrocités et les crimes commis dans le cadre de la gestion de cette crise sanitaire,
finissent dans la poubelle du procureur ?
Mais pourquoi, AU NOM DE LA LOI DE LA REPUBLIQUE, n’y a-t-il pas de négociation collective dans les branches professionnelles comme le prévoit la loi ?
Mais pourquoi, AU NOM DE LA LOI DE LA REPUBLIQUE, les ROCHATTE, CASTEX,
DENUX, VERAN, MACRON, CHALUS, COURTOIS, …., n’appliquent-ils pas les lois de
la république pour régler ces désordres ?
Mais pourquoi, AU NOM DE LA LOI DE LA REPUBLIQUE ? …
Mais pourquoi, AU NOM DE LA LOI DE LA REPUBLIQUE ? …
Nous l’avons compris, la loi relative à la vaccination obligatoire des soignants et autres professionnels, et au pass sanitaire, n’est nullement un ensemble de mesures sanitaires de protection de la santé, mais un arsenal d’outils de domination, d’humiliation, de domestication des femmes et des hommes.
Il s’agit de nous priver de toute liberté de penser, de créer, de dire, de faire, de choisir ce que nous voulons, pour nous et pour nos enfants.
Il s’agit de nous priver de tout esprit critique et de nous faire renoncer, petit à petit, à notre dignité, à notre liberté, à la vie tout simplement.
FANM É NONM PA SI LATÈ POU VIV KON ZANNIMO AN KALÒJ !
LWA A YO PA BON POU NOU !
TRAVAYÈ – PÈP GWADLOUP – DOUBOUT !
GWADLOUP SÉ TAN NOU !!!
LKP, Lapwent, 26.10.21

Le compte-rendu de la bourgeoisie :

Routes et accès au CHU bloqués, mais aussi immeubles et véhicules incendiés, et écoles fermées : l’Etat a riposté vendredi à la dégradation de la situation en Guadeloupe, qui a pour origine la mobilisation anti-pass sanitaire, en instaurant un couvre-feu entre 18H00 et 05H00 avec effet immédiat.
Le préfet de Guadeloupe Alexandre Rochatte a annoncé cette mesure jusqu’au 23 novembre "compte tenu des mouvements sociaux en cours dans le département et des actes de vandalisme", ont annoncé ses services.
Dans un communiqué, le plus haut représentant de l’Etat dans l’île dit tenir compte des "incendies de biens publics, barrages sur les routes, jets de pierres sur les forces de l’ordre, tirs de mortier", et interdit également la vente d’essence en jerrican.
Plus tôt dans la journée, le gouvernement avait décidé d’envoyer "dans les prochains jours" 200 policiers et gendarmes pour renforcer les forces de l’ordre, alors que les violences et les blocages se multiplient.
Vendredi soir, de nouveaux feux se déclaraient sur des barricades à Colin et Montebello, à Petit-Bourg (NDLR : commune de la Basse-Terre) selon Routes de Guadeloupe, après une nouvelle journée de tensions. Des barrages ont été dégagés par les forces de l’ordre et certains reconstitués un peu partout sur l’archipel. Si, en zone pointoise, la journée a été "plus calme" que la nuit, selon une source policière, des affrontements ont de nouveau eu lieu en zone gendarmerie afin de dégager des axes routiers.
"On a réduit pas mal de barrages dans la journée. Au départ, On était sur une quarantaine près d’une cinquantaine sur l’ensemble de la Guadeloupe continentale essentiellement sur les grands axes comme la RN2, la RN 1 en Basse-Terre, et la RN4, la RN 5 et les Grands Fonds (NDLR : routes sinueuses dans les terres) en Grande-Terre", indiqué le commandement de la gendarmerie selon lequel "4 ou 5 gendarmes ont été blessés » depuis jeudi soir. "Des blessures légères mais qui sont quand même inacceptables", a commenté cette source.
 Gendarmes "assiégés" -
Le procureur de la République de Pointe-à-Pitre, Patrick Desjardins, a par ailleurs annoncé l’ouverture de deux enquêtes pour "dégradation par incendie en bande organisée et vols avec dégradation en bande organisée", concernant "des attaques de magasins", dont cinq bijouteries pillées à Pointe-à-Pitre.
Quatre immeubles de la ville, qui compte de nombreuses habitations en bois, sont partis en fumée dans la nuit, suite à ces pillages, ont indiqué à l’AFP les pompiers et une source policière.
La mobilisation lancée il y a cinq jours par un collectif d’organisations syndicales et citoyennes contre le pass sanitaire et l’obligation vaccinale des soignants contre le Covid-19 se double désormais de violences commises par des émeutiers.
Après une nuit de jeudi à vendredi particulièrement violente, les écoles sont restées fermées vendredi et, en raison de très nombreux barrages routiers, l’activité tourne au ralenti. Devant le CHU, les seuls véhicules autorisés à entrer restent les ambulances.
Les centres de dialyse de la Guadeloupe ont d’ailleurs alerté sur "un danger de mort" pour près de 800 patients dont les barrages pourraient empêcher l’accès aux soins.
Les gendarmeries du Lamentin et de Morne-à-L’Eau notamment ont été "assiégées" par des personnes parfois "encagoulées", des gendarmes blessés "par jets de pierres" et des véhicules incendiés, selon des sources policières et le Parquet.
"Désormais, il y a un mélange des personnes sur les barricades. Beaucoup de jeunes, en colère par rapport à la situation de la Guadeloupe. L’obligation vaccinale, c’est la goutte d’eau qui a fait déborder le vase", estime Maïté M’Toumo, secrétaire générale de l’UGTG, en demandant "l’ouverture de négociations avec le gouvernement".
 "Situation complexe" -
Au CHU, "les barrages routiers pénalisent énormément le personnel qui vient de tous horizons. On est obligé d’attendre que tout le monde soit présent pour démarrer et d’attendre que la relève soit présente pour continuer", explique à l’AFP Anne-Gaëlle Pascale, cadre de santé au bloc opératoire du CHU.
"Il y a du filtrage à l’entrée, notamment pour les internes dont certains sont empêchés de passer. L’un d’entre-eux a même été agressé par une personne cagoulée", affirme à l’AFP Cédric Zolezzi, directeur adjoint du centre hospitalier, en déplorant l’absence "de dialogue".
La situation est d’autant plus complexe que depuis début novembre, "on est en personnel restreint" avec l’instauration de l’obligation vaccinale des soignants, rappelle Anne-Gaëlle Pascale. Ainsi, en chirurgie, 50% des effectifs habituellement au planning sont absents.
Selon la direction du CHU, un peu plus de 87% des agents du centre hospitalier possèdent un pass sanitaire, mais certains personnels sont suspendus pour pass non valide, à quoi s’ajoute "une vague d’arrêts maladie", "sur consigne syndicale", accuse Cédric Zolezzi.
Côté éducation, la rectrice de région académique, Christine Goff-Ziegler, a condamné jeudi "l’ensemble des actes de vandalisme et les entraves à la circulation" ou "à l’accès des établissements", dont les élèves "sont les premières victimes".

https://actu.orange.fr/france/la-situation-se-tend-en-guadeloupe-le-gouvernement-envoie-200-policiers-et-gendarmes-en-renfort-CNT000001GBNSV.html

https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/mobilisation-contre-le-pass-sanitaire-le-prefet-de-guadeloupe-instaure-un-couvre-feu-des-ce-soir-en-raison-d-actes-de-vandalisme_4851395.html

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