Dire qu’il faut que la classe ouvrière « change la vapeur » pose la question du rapport de force entre les classes. En effet, la réponse de la classe ouvrière n’est pas à la hauteur des attaques portées contre ses conditions de vie et de travail. Après le coup de massue lié à l’accélération brutale de la crise, on voit que le prolétariat n’est pas résigné, certes, mais qu’il manque de confiance et de perspectives. Quel axe d’intervention voyez vous justement pour permettre de développer la conscience ouvrière dans ce contexte ? C’est vrai que c’est à discuter.
Dire qu’il faut que la classe ouvrière « change la vapeur » pose la question du rapport de force entre les classes. En effet, la réponse de la classe ouvrière n’est pas à la hauteur des attaques portées contre ses conditions de vie et de travail. Après le coup de massue lié à l’accélération brutale de la crise, on voit que le prolétariat n’est pas résigné, certes, mais qu’il manque de confiance et de perspectives. Quel axe d’intervention voyez vous justement pour permettre de développer la conscience ouvrière dans ce contexte ? C’est vrai que c’est à discuter.