Quelles perspectives, quels obstacles, quels pièges, quel avenir pour la révolte sociale en Algérie et en Tunisie qui touche au coeur toutes les capitales de Ammam à Rabat et de Beyouth à Damas
14 janvier 2011, 11:59, par eugene
Aucune classe dirigeante n’a laissé vivre un peuple qui s’était révolté. Quand on commence à menacer le pouvoir, il faut aller jusqu’à le faire tomber et ne pas accepter de compromis.
Aucune classe dirigeante n’a laissé vivre un peuple qui s’était révolté. Quand on commence à menacer le pouvoir, il faut aller jusqu’à le faire tomber et ne pas accepter de compromis.
On ne menace pas un tigre, on le tue !