Il semblerait que, la nuit seulement, l’hémisphère droit, conseiller inconscient, par l’entremise des rêves, donne son avis à l’hémisphère gauche, réalisateur conscient…
Une étude publiée dans la revue JNeurosci a montré que notre cerveau droit serait à l’origine des cauchemars susceptibles de nous assaillir durant la nuit. Des disparités dans l’activité cérébrale ont été identifiées : le côté droit du cerveau serait davantage le siège de sentiments négatifs et de colère que le côté gauche.
En cause le déséquilibre entre les deux parties du cerveau est plus connu sous l’appellation scientifique d’asymétrie frontale alpha (FAA). Les personnes qui présentaient une plus grande activité cérébrale du côté droit pendant leur sommeil ressentaient plus de colère dans leurs rêves.
L’équipe de recherche explique que la fabrication des cauchemars serait notamment liée à la gestion de nos émotions. Les personnes à forte émotivité témoigneraient d’une asymétrie frontale alpha significative.
Il semblerait que, la nuit seulement, l’hémisphère droit, conseiller inconscient, par l’entremise des rêves, donne son avis à l’hémisphère gauche, réalisateur conscient…
Une étude publiée dans la revue JNeurosci a montré que notre cerveau droit serait à l’origine des cauchemars susceptibles de nous assaillir durant la nuit. Des disparités dans l’activité cérébrale ont été identifiées : le côté droit du cerveau serait davantage le siège de sentiments négatifs et de colère que le côté gauche.
En cause le déséquilibre entre les deux parties du cerveau est plus connu sous l’appellation scientifique d’asymétrie frontale alpha (FAA). Les personnes qui présentaient une plus grande activité cérébrale du côté droit pendant leur sommeil ressentaient plus de colère dans leurs rêves.
L’équipe de recherche explique que la fabrication des cauchemars serait notamment liée à la gestion de nos émotions. Les personnes à forte émotivité témoigneraient d’une asymétrie frontale alpha significative.