Les Brics se sont opposé aux sanctions contre l’Iran et le dernier accord des USA avec l’Iran est certainement une tentative d’empêcher l’Iran d’adhérer aux BRICS. L’Iran veut faire partie du groupe des BRICS et de ses mécanismes financiers, déclarait le vice-ministre de l’Economie et des Finances de la République islamique, Behrouz Alisherí en 2013 :
"L’Iran qui soutient le groupe des BRICS, est appelé à devenir l’un de ses membres dans le cadre de son fonds de réserve.
Un accord pratiquement historique a été signé en janvier 2015 entre la Russie et l’Iran. L’accord intergouvernemental en question prévoit notamment l’élargissement des échanges de délégations, la coopération entre les états-majors des deux nations, la participation commune à des exercices militaires et à la formation du personnel, ainsi que l’échange d’expérience dans les activités visant l’instauration de la paix et la lutte contre le terrorisme. En effet, l’Iran partage avec la Russie et la Chine des positions communes sur le conflit syrien, en opposition totale avec les élites occidentales, qui ont parrainé et soutenu les barbares terroristes massacrant et martyrisant la population civile syrienne, et commis les pires crimes de guerre contre les représentants de l’Armée arabe syrienne. L’Iran a d’ailleurs exprimé il y a déjà un certain temps sa volonté de rejoindre les BRICS, ainsi que les mécanismes financiers de l’alliance. La nation perse est également observatrice auprès de l’Organisation de coopération de Shanghai (OCS), dont la Russie et la Chine sont membres fondateurs avec des pays ex-membres de l’URSS d’Asie centrale (Kazakhstan, Ouzbékistan, Kirghizistan, Tadjikistan).
Les Brics se sont opposé aux sanctions contre l’Iran et le dernier accord des USA avec l’Iran est certainement une tentative d’empêcher l’Iran d’adhérer aux BRICS. L’Iran veut faire partie du groupe des BRICS et de ses mécanismes financiers, déclarait le vice-ministre de l’Economie et des Finances de la République islamique, Behrouz Alisherí en 2013 :
"L’Iran qui soutient le groupe des BRICS, est appelé à devenir l’un de ses membres dans le cadre de son fonds de réserve.
Un accord pratiquement historique a été signé en janvier 2015 entre la Russie et l’Iran. L’accord intergouvernemental en question prévoit notamment l’élargissement des échanges de délégations, la coopération entre les états-majors des deux nations, la participation commune à des exercices militaires et à la formation du personnel, ainsi que l’échange d’expérience dans les activités visant l’instauration de la paix et la lutte contre le terrorisme. En effet, l’Iran partage avec la Russie et la Chine des positions communes sur le conflit syrien, en opposition totale avec les élites occidentales, qui ont parrainé et soutenu les barbares terroristes massacrant et martyrisant la population civile syrienne, et commis les pires crimes de guerre contre les représentants de l’Armée arabe syrienne. L’Iran a d’ailleurs exprimé il y a déjà un certain temps sa volonté de rejoindre les BRICS, ainsi que les mécanismes financiers de l’alliance. La nation perse est également observatrice auprès de l’Organisation de coopération de Shanghai (OCS), dont la Russie et la Chine sont membres fondateurs avec des pays ex-membres de l’URSS d’Asie centrale (Kazakhstan, Ouzbékistan, Kirghizistan, Tadjikistan).