Pourquoi patronat et gouvernement ne cèdent pas devant les grèves et manifestations ?
2 juin 2016, 15:07
Dimanche soir, le chef de la Confédération générale du travail (CGT) Philippe Martinez est passé sur l’émission BFM-Politique pour discuter du mouvement de grève contre la loi travail.
L’interview de Martinez a été une série d’affirmations voilées mais sans équivoque qui démontraient que la CGT soutient le gouvernement PS et veut un accord.
« J’ai eu pour la première fois en deux mois un appel du Premier ministre. C’est plutôt mieux quand il n’est pas dans une posture ! », a déclaré Martinez. Prié par les journalistes de dire au public ce qu’il avait discuté avec Valls, cependant, Martinez a carrément refusé.
« Conversation secrète », a-t-il répondu.
Martinez refuse d’informer la population sur ses discussions secrètes avec Valls, mais ses commentaires montrent qu’il prépare une capitulatoin. Il a abandonné les appels précédents par les responsables syndicaux pour un « retrait » de la loi, appelant plutôt à une « rediscussion ».
Martinez a insisté à plusieurs reprises sur le fait que la CGT n’entrerait pas en conflit politique avec le PS. Il a déclaré qu’il n’était pas dans un « bras de fer avec Valls ». Il a souligné que la CGT est « dans son rôle » en tant que syndicat.
Dimanche soir, le chef de la Confédération générale du travail (CGT) Philippe Martinez est passé sur l’émission BFM-Politique pour discuter du mouvement de grève contre la loi travail.
L’interview de Martinez a été une série d’affirmations voilées mais sans équivoque qui démontraient que la CGT soutient le gouvernement PS et veut un accord.
« J’ai eu pour la première fois en deux mois un appel du Premier ministre. C’est plutôt mieux quand il n’est pas dans une posture ! », a déclaré Martinez. Prié par les journalistes de dire au public ce qu’il avait discuté avec Valls, cependant, Martinez a carrément refusé.
« Conversation secrète », a-t-il répondu.
Martinez refuse d’informer la population sur ses discussions secrètes avec Valls, mais ses commentaires montrent qu’il prépare une capitulatoin. Il a abandonné les appels précédents par les responsables syndicaux pour un « retrait » de la loi, appelant plutôt à une « rediscussion ».
Martinez a insisté à plusieurs reprises sur le fait que la CGT n’entrerait pas en conflit politique avec le PS. Il a déclaré qu’il n’était pas dans un « bras de fer avec Valls ». Il a souligné que la CGT est « dans son rôle » en tant que syndicat.