Quand la bourgeoisie voulait faire crever de faim autant qu’étouffer sous les calomnies le révolutionnaire Karl Marx…
9 octobre 2016, 06:02
Voici un exemple de courrier de Marx, taxé par ses calomniateurs de "richissime profiteur" :
« Ma femme est malade, la petite Jenny est malade, Léni a une sorte de fièvre nerveuse. Je ne peux et je ne pouvais appeler le médecin, faute d’argent pour les médicaments. Depuis huit jours, je nourris la famille avec du pain et des pommes de terre, mais je me demande si je pourrais encore me les procurer aujourd’hui » (à Engels, 4 septembre 1852).
L’un de ses enfants, Edgar, meurt d’ailleurs de sous-alimentation.
Voici un exemple de courrier de Marx, taxé par ses calomniateurs de "richissime profiteur" :
« Ma femme est malade, la petite Jenny est malade, Léni a une sorte de fièvre nerveuse. Je ne peux et je ne pouvais appeler le médecin, faute d’argent pour les médicaments. Depuis huit jours, je nourris la famille avec du pain et des pommes de terre, mais je me demande si je pourrais encore me les procurer aujourd’hui » (à Engels, 4 septembre 1852).
L’un de ses enfants, Edgar, meurt d’ailleurs de sous-alimentation.