L’échec de la police à écraser la grève par une attaque sournoise, exploitant la démobilisation de la lutte par les syndicats, a aggravé le conflit. Des centaines de grévistes sont venus pour repousser l’attaque de la police contre les travailleurs portuaires, et les piquets refusent maintenant de laisser passer quiconque, après avoir d’abord obéi aux ordres syndicaux pour permettre aux véhicules médicaux et de transport de franchir les lignes de piquetage. Des arbres ont été abattus pour bloquer les routes principales, et les dirigeants syndicaux ont averti Le Monde que les travailleurs d’une station d’essence voisine stockaient également des explosifs.
L’échec de la police à écraser la grève par une attaque sournoise, exploitant la démobilisation de la lutte par les syndicats, a aggravé le conflit. Des centaines de grévistes sont venus pour repousser l’attaque de la police contre les travailleurs portuaires, et les piquets refusent maintenant de laisser passer quiconque, après avoir d’abord obéi aux ordres syndicaux pour permettre aux véhicules médicaux et de transport de franchir les lignes de piquetage. Des arbres ont été abattus pour bloquer les routes principales, et les dirigeants syndicaux ont averti Le Monde que les travailleurs d’une station d’essence voisine stockaient également des explosifs.