La dialectique, indispensable pour la politique révolutionnaire
10 mai 2020, 09:44, par Robert Paris
Un lecteur nous demande : à quoi vous sert donc votre philosophie dialectique dans les circonstances catastrophiques actuelles ?
Réponse : à voir que la catastrophe peut se changer brutalement en son contraire dialectique !
Effectivement, quelle philosophie tirer des événements actuels ?
1°) Le monde n’est jamais aussi solide qu’il le paraît…
2°) Les classes possédantes n’ont jamais été aussi loin de défendre non seulement la science mais n’importe quelle sorte d’idée philosophique ou intellectuelle.
3°) Faute de philosophie du monde (les classes possédantes n’en distribuent plus et les exploités n’en ont jamais produit), les exploités sont perdus.
4°) Il n’a jamais été aussi nécessaire cependant d’être capables de philosopher sur le monde.
5°) Cette philosophie doit être dialectique car jamais il n’a autant été nécessaire de comprendre que les contraires se complètent au lieu de s’éliminer.
6°) Exemple les virus qui entrent de force dans l’actualité sont à la fois vivants et non vivants
7°) Les non-malades sont des malades qui s’ignorent bien souvent, ils peuvent passer de malade à non-malade, et ainsi de suite.
8°) Le virus est sans cesse en train de changer, de muter, c’est—dire de se contredire dailectiquement.
9°) Le capitalisme est mort, parce qu’il ne peut plus fonctionner sur la base fondamentale de la valeur-travail qui a fait son succès, et en même temps son pouvoir est assez vivant... pour nous tuer.
10°) Le prolétariat a des possibilités plus grandes que jamais mais la relation du potentiel et du réel est tout ce qu’il y a de dialectique.
Le prolétariat est potentiellement révolutionnaire. Mais ses capacités peuvent être détournées (par exemple social-démocratie et syndicats allemands) et alors des capacités révolutionnaires peuvent se changer en un conservatisme contre révolutionnaire.
Un lecteur nous demande : à quoi vous sert donc votre philosophie dialectique dans les circonstances catastrophiques actuelles ?
Réponse : à voir que la catastrophe peut se changer brutalement en son contraire dialectique !
Effectivement, quelle philosophie tirer des événements actuels ?
1°) Le monde n’est jamais aussi solide qu’il le paraît…
2°) Les classes possédantes n’ont jamais été aussi loin de défendre non seulement la science mais n’importe quelle sorte d’idée philosophique ou intellectuelle.
3°) Faute de philosophie du monde (les classes possédantes n’en distribuent plus et les exploités n’en ont jamais produit), les exploités sont perdus.
4°) Il n’a jamais été aussi nécessaire cependant d’être capables de philosopher sur le monde.
5°) Cette philosophie doit être dialectique car jamais il n’a autant été nécessaire de comprendre que les contraires se complètent au lieu de s’éliminer.
6°) Exemple les virus qui entrent de force dans l’actualité sont à la fois vivants et non vivants
7°) Les non-malades sont des malades qui s’ignorent bien souvent, ils peuvent passer de malade à non-malade, et ainsi de suite.
8°) Le virus est sans cesse en train de changer, de muter, c’est—dire de se contredire dailectiquement.
9°) Le capitalisme est mort, parce qu’il ne peut plus fonctionner sur la base fondamentale de la valeur-travail qui a fait son succès, et en même temps son pouvoir est assez vivant... pour nous tuer.
10°) Le prolétariat a des possibilités plus grandes que jamais mais la relation du potentiel et du réel est tout ce qu’il y a de dialectique.
Le prolétariat est potentiellement révolutionnaire. Mais ses capacités peuvent être détournées (par exemple social-démocratie et syndicats allemands) et alors des capacités révolutionnaires peuvent se changer en un conservatisme contre révolutionnaire.