Ce que nous voulons et ... ce dont nous ne voulons plus
26 août 2009, 20:03, par MOSHE
Ce que nous voulons :
Nous instruire des luttes du passé afin que ces combats des opprimés n’aient pas eu lieu inutilement et pour que ceux de demain ne tombent pas dans les mêmes pièges ou les mêmes erreurs. Notre étude de l’histoire n’a rien de scolaire. Nous considérons que ces combats sont les nôtres même s’ils n’ont pas eu lieu dans "notre" pays ni à notre époque : qu’il s’agisse des travailleurs de la Commune de Paris en 1871, des travailleurs révolutionnaires russes de 1917, des travailleurs chinois de 1925-27, ou, plus près de nous, des travailleurs algériens de 1945, des travailleurs vietnamiens de 1946, des travailleurs malgaches de 1947, des "bouts de bois de dieu" africains de 1947, des travailleurs boliviens de 1952, des travailleurs hongrois de 1956, des noirs américains de 1964, des travailleurs tchécoslovaques de 1968, des travailleurs chiliens de 1973, des travailleurs libanais de 1975, des travailleurs iraniens de 1979, etc, etc ... Ce passé de luttes révolutionnaires de la classe ouvrière et de tous les prolétaires doit éclairer notre chemin. La classe ouvrière vit et se bat tous les jours et ces luttes ne sont pas à minimiser, mais il ne faut pas non plus effacer les éclairs impressionnants que sont les soulèvements révolutionnaires des masses, épisodes rares mais très éclairants des capacités des opprimés.
Ce que nous voulons :
Nous instruire des luttes du passé afin que ces combats des opprimés n’aient pas eu lieu inutilement et pour que ceux de demain ne tombent pas dans les mêmes pièges ou les mêmes erreurs. Notre étude de l’histoire n’a rien de scolaire. Nous considérons que ces combats sont les nôtres même s’ils n’ont pas eu lieu dans "notre" pays ni à notre époque : qu’il s’agisse des travailleurs de la Commune de Paris en 1871, des travailleurs révolutionnaires russes de 1917, des travailleurs chinois de 1925-27, ou, plus près de nous, des travailleurs algériens de 1945, des travailleurs vietnamiens de 1946, des travailleurs malgaches de 1947, des "bouts de bois de dieu" africains de 1947, des travailleurs boliviens de 1952, des travailleurs hongrois de 1956, des noirs américains de 1964, des travailleurs tchécoslovaques de 1968, des travailleurs chiliens de 1973, des travailleurs libanais de 1975, des travailleurs iraniens de 1979, etc, etc ... Ce passé de luttes révolutionnaires de la classe ouvrière et de tous les prolétaires doit éclairer notre chemin. La classe ouvrière vit et se bat tous les jours et ces luttes ne sont pas à minimiser, mais il ne faut pas non plus effacer les éclairs impressionnants que sont les soulèvements révolutionnaires des masses, épisodes rares mais très éclairants des capacités des opprimés.