L’autre caractéristique importante des élections du 6 mai est la montée brutale de l’ultra-droite, sautant ensemble à un étonnant 20,5% des voix. Autrefois représenté par un seul parti, LAOS, qui a marqué un modeste 6% il y a trois ans, l’ultra-droite des trois grands partis – les Grecs indépendants, le Laos et l’Aube néo-nazi d’or – a gagné respectivement 10,6%, 2,9% et 7% des voix. LAOS a payé pour son soutien au gouvernement avec moins de 3% requis pour entrer au Parlement.
Toutefois, les 7% obtenus par Golden Dawn, une ouvertement néo-nazie et raciste anti-immigrés parti, est choquant. Il s’agit de la première fois qu’un tel parti entre dans le parlement avec l’appui de masse de la Grèce célèbre pour son mouvement de résistance contre les nazis en 1941-45.
Les nazis, l’autre force qui pourrait bien s’exprimer quand Syriza aura déçu...
L’autre caractéristique importante des élections du 6 mai est la montée brutale de l’ultra-droite, sautant ensemble à un étonnant 20,5% des voix. Autrefois représenté par un seul parti, LAOS, qui a marqué un modeste 6% il y a trois ans, l’ultra-droite des trois grands partis – les Grecs indépendants, le Laos et l’Aube néo-nazi d’or – a gagné respectivement 10,6%, 2,9% et 7% des voix. LAOS a payé pour son soutien au gouvernement avec moins de 3% requis pour entrer au Parlement.
Toutefois, les 7% obtenus par Golden Dawn, une ouvertement néo-nazie et raciste anti-immigrés parti, est choquant. Il s’agit de la première fois qu’un tel parti entre dans le parlement avec l’appui de masse de la Grèce célèbre pour son mouvement de résistance contre les nazis en 1941-45.
Les nazis, l’autre force qui pourrait bien s’exprimer quand Syriza aura déçu...