Le corps sans vie de Laurent, neurochirurgien de 36 ans, avait été découvert sur son lieu de travail, le 2 novembre dernier. Sous tension depuis le suicide du praticien et la médiatisation du mal-être de son personnel, la direction du CHU de Grenoble est épinglée pour sa gestion déshumanisée, dans un rapport du ministère de la Santé rendu public ce lundi.
Ces derniers mois, de nombreux salariés - l’hôpital compte 8 000 agents - éreintés tant psychologiquement que physiquement par leur charge de travail et les tensions quotidiennes, ont préféré quitter l’établissement ou se mettre en arrêt maladie.
Le corps sans vie de Laurent, neurochirurgien de 36 ans, avait été découvert sur son lieu de travail, le 2 novembre dernier. Sous tension depuis le suicide du praticien et la médiatisation du mal-être de son personnel, la direction du CHU de Grenoble est épinglée pour sa gestion déshumanisée, dans un rapport du ministère de la Santé rendu public ce lundi.
Ces derniers mois, de nombreux salariés - l’hôpital compte 8 000 agents - éreintés tant psychologiquement que physiquement par leur charge de travail et les tensions quotidiennes, ont préféré quitter l’établissement ou se mettre en arrêt maladie.