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Vive le premier mai ! Vive le communisme !

mercredi 29 avril 2009, par Robert Paris

Léon TROTSKY

Vive le 1er Mai ! Vive le Communisme !

Aux travailleurs de tous les pays

1er mai 1919

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Messages

  • ça fait un peu longtemps que je ne reçois plus tes messages.
    L’histoire de toute société jusqu’à nos jours n’a été que l’histoire de la lutte des classes.
    Mais comment expliquez-vous ce fossé entre la bougeoisie "affairistes" et le les jeunes travailleurs prolétarisé ? plus de 4 millions de jeunes chomeurs en Espagne et plus d’1 million en France. Je crois que la classe bourgeoise a encore une fois de plus fait preuve de faiblesse face aux problèmes majeures du monde. mais cela ne m’a pas surpris car l’Etat pour l’instent font leurs salle boulot.bil bko

    • Cette phrase fondamentale de Karl Marx : "L’histoire de toute société jusqu’à nos jours a été l’histoire de la lutte des classes" est d’une incroyable richesse. Tot d’baord, il n’y a pas que deux classes (exploiteurs et exploités). Généralement, et pas seulement aujourd’hui, les classes dirigeantes n’ont tenu le pouvoir que lorsque cette infime minorité a mis en place une classe intermédiaire un petit peu plus nombreuse que la classe dominante : la petite bourgeoisie. Cette dernière profite un petit peu de la société dominante mais ce n’est pas elle qui dirige même si elle vote ou si elle croit que la société fonctionne pour la satisfaire.

      La classe dirigeante mène tous les jours la lutte des classes pour extraire son profit de la classe exploitée. Le chômage ne la dérange pas du tout : il baisse le niveau des salaires et celui des luttes.

      La classe exploitée se bat aussi tous les jours mais pas forcément avec la conscience de se sintérêts et encore moins de ses intérêts à long terme, de ses intérêts généraux, de ses intérêts de classe.

      La peite bourgeoisie s’agite beaucoup mais elle ne sait pas où aller, quelle société vouloir. Elle est obligée de soutenir la société capitaliste.

      Tout cet édifice s’effondre quand la classe dominante n’est plus capable de faire fonctionner le système (condition objective de la révolution), quand la classe intermédiaire, durement frappée ne joue plus son rôle de modérateur et quand la classe exploitée se révolte (condition subjective de la révolution).

      Aujourd’hui nous avons le début des conditions objectives du renversement du système (il ne fonctionne plus) mais pas encore les conséquences explosives socialement. cela va venir.

      robert paris à bil

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