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Le monde est bien en état de tempête

dimanche 6 octobre 2019

Le monde est bien en état de tempête

Le monde est bien en état de tempête : à Hongkong, en Equateur, en Irak, en Algérie, au Soudan, en Egypte, en Indonésie, en Haïti, en Guinée (Conakry), en France…

Hongkong

Equateur

Irak

Algérie

Soudan

Egypte

Indonésie

Haïti

Guinée (Conakry)

France

La suite

Et le système capitaliste ? Il se meurt !

Messages

  • Macron est pour les révolutions soudanaise, hongkongaise, algérienne, tunisienne… mais pas française !!!

  • Le gouvernement équatorien arrête des centaines de personnes et déploie des militaires contre une grève nationale...

    Face à l’engrenage de la violence et à la longue liste des « martyrs », les contestataires en Irak se disent prêts à défier les forces de sécurité « jusqu’à la chute du régime ». Depuis le 1er octobre, au moins 104 personnes ont été tuées – dont huit policiers – et 6 100 autres blessées – dont 1 200 membres des forces de sécurité –, selon les chiffres annoncés, dimanche, par le ministère de l’intérieur.

    En Algérie, la révolte continue malgré les manœuvres du pouvoir. “Nous sommes à la veille du trente et unième anniversaire du soulèvement du 5 octobre 1988. Ce jour-là, des jeunes et de très jeunes Algériens sont sortis crier leur rejet d’un ordre qui leur fermait toute perspective d’épanouissement personnel”, souligne Liberté dans un éditorial. Ainsi, la marche de ce vendredi 4 octobre revêt une dimension particulière. Elle coïncide avec la commémoration de la révolte du 5 octobre 1988, quand les Algériens sont descendus dans la rue pour réclamer la fin du parti unique, la garantie des libertés démocratiques, et des réformes profondes du système politique. Une révolte qui a permis de gagner quelques acquis démocratiques dont le multipartisme, mais qui a été réprimée dans le sang.

    Des Soudanais ont porté plainte contre la banque française BNP Paribas qu’ils accusent de ne pas avoir respecté l’embargo au Soudan, permettant ainsi au pouvoir en place de se financer. Ce n’est pas la première fois que l’établissement est inquiété sur ce sujet. Ce n’est pas la première fois que la plus importante banque française en termes d’actifs (2 140,2 milliards d’euros fin 2018), classée deuxième banque européenne d’après ce critère par S&P Global Market Intelligence, est mise en cause pour l’aide apportée à Omar el-Béchir.

  • Port-au-Prince, capitale d’Haïti, et plusieurs autres grandes villes du pays ont été pratiquement fermées ces trois dernières semaines suite à de nouvelles manifestations anti-gouvernementales de masse. Celles-ci éclatent à intervalles réguliers depuis juillet de l’année dernière. Les jeunes démunis des quartiers populaires sont sortis dans les rues par dizaines de milliers pour dénoncer leurs conditions de vie infernales.

    Les récentes manifestations ont vu l’érection de barrages routiers et des affrontements avec la police en réaction à l’utilisation aveugle par celle-ci de gaz lacrymogènes, de canons à eau et de tirs à balles réelles. Selon une organisation haïtienne de défense des droits humains, au moins dix-sept personnes sont mortes depuis le début de la dernière vague de manifestations à la mi-septembre.

    Les manifestants dénoncent entre autres : le manque chronique de carburant qui a forcé la fermeture des écoles depuis plusieurs semaines, perturbé les services hospitaliers et provoqué des coupures de courant généralisées ; la chute brutale de la monnaie haïtienne (la gourde) par rapport au dollar américain et une inflation de près de 20 pour cent qui a mis les denrées de base hors de portée de la majorité de la population ; et la dilapidation des fonds publics par les politiciens à tous les niveaux du gouvernement – y compris la présidence, les divers ministères, le sénat et la chambre basse du parlement.

    La principale revendication des manifestants, cependant, est que le président haïtien Jovenel Moïse soit démis de ses fonctions et traduit en justice pour son rôle dans des assassinats extrajudiciaires d’opposants à son gouvernement et son implication dans un vaste réseau de corruption. Selon un rapport de 600 pages publié en juin dernier par la Cour Supérieure des Comptes du pays, deux sociétés contrôlées par Moïse se sont vu attribuer des contrats de construction de routes publiques d’une valeur supérieure à un million de dollars, pour lesquels aucun travail réel n’a jamais été effectué. Les contrats ont été attribués sous l’égide de l’ancien président, le néo-duvaliériste Michel Martelly qui, avec l’appui de Washington, a aidé à truquer les élections de 2016 pour porter Moïse au pouvoir.

    L’argent pour les faux contrats routiers provenait du fonds PetroCaribe, qui a été constitué sur une période de dix ans à partir de 2007 grâce à la revente par le gouvernement haïtien de pétrole subventionné obtenu du Venezuela. Le montant total ayant transité par ce fonds est estimé à plus de deux milliards de dollars. Attribué par le Venezuela à Haïti et à un certain nombre d’autres pays des Caraïbes, en dépit de l’opposition féroce du gouvernement américain, cet argent était destiné à financer des programmes sociaux et des projets d’infrastructures publiques. Mais il a été largement pillé par l’élite politique haïtienne et ses amis du milieu des affaires.

    Outre Moïse, un certain nombre de personnalités politiques de premier plan, dont l’ancien président Martelly, ont été accusées de détournement du fonds PetroCaribe, dont il ne reste que très peu.

    Les manifestations de juillet 2018 qui ont déclenché le cycle récurrent de manifestations anti-Moïse ont elles-mêmes été déclenchées par une augmentation allant jusqu’à 50 pour cent du prix de l’essence à la pompe. Cette augmentation a été faite sur ordre direct du FMI. Le gouvernement vénézuélien ayant été contraint de mettre fin au programme d’aide en raison de l’aggravation de la crise économique intérieure, le FMI a insisté pour qu’Haïti cesse de subventionner le prix du pétrole et exerce une pression accrue sur les masses du pays le plus pauvre de l’hémisphère occidental

  • Le président de l’Équateur se retire de la capitale face aux manifestations de masse croissantes

    Face à la poursuite de la grève et à la mobilisation massive de la population contre le programme d’austérité imposé par le FMI, le Président de l’Équateur, Lenín Moreno, a transféré son gouvernement de la capitale Quito à la ville côtière de Guayaquil, où il dirige actuellement une répression policière.

    Ce retrait de la capitale andine de l’Équateur, sans précédent dans l’histoire du pays, témoigne de l’intensité des troubles sociaux et politiques alors que l’Équateur entame une deuxième semaine de manifestations contre le programme d’austérité draconien dévoilé par le gouvernement de Moreno le 1er octobre.

    Mardi, des manifestants indigènes ont défilé dans les rues de Quito et ont occupé le congrès national ainsi que d’autres bâtiments gouvernementaux.

    Mardi tard dans la soirée, M. Moreno a décrété un couvre-feu partiel près de « zones stratégiques », comme des édifices gouvernementaux, qui seront surveillés par les forces armées. Des troupes fortement armées ont été déployées dans les rues de Quito, déployant des barricades en fil de rasoir pour bloquer les manifestants.

    Le gouvernement a réagi à la résistance par des mesures de plus en plus dictatoriales. Il a suspendu le droit de réunion et de grève et a déployé l’armée après avoir déclaré l’état d’exception mercredi dernier. La Cour suprême a ratifié la règle d’urgence, bien qu’elle ait été réduite de 60 à 30 jours. La répression a entraîné la mort d’une personne, blessant des dizaines de manifestants attaqués à l’aide de balles en caoutchouc, de gaz lacrymogène et de coups de bâton, ainsi que 570 arrestations. Plusieurs détenus, dont le dirigeant du syndicat des chauffeurs de taxi, risquent trois ans de prison pour « services publics paralysants ».

    Les écoles sont restées fermées depuis jeudi. Il y avait des barrages routiers mardi dans 17 des 24 provinces. Dimanche, un manifestant du nom de Raúl Chilpe a été tué par un conducteur qui tentait de franchir un barrage routier dans la province d’Azuay.

  • Les manifestations de masse gagnent le monde...

    Il y avait le Soudan, l’Algérie, l’Irak, l’Equateur, Hong Kong, Haïti...

    Il y a maintenant le Liban, le Chili, la Catalogne, la Guinée, l’Egypte, le Chili...

  • Chili : sept morts dans les émeutes, le président déclare le pays « en guerre »

    De violentes manifestations secouent le pays depuis vendredi, particulièrement la capitale Santiago, après l’annonce de l’augmentation des prix du métro.

    Emeutes, état d’urgence, couvre-feu… Le Chili vit depuis vendredi l’une des plus violentes contestations sociales que le pays ait connues depuis des décennies. Dimanche 20 octobre, un bilan faisait état de sept morts au cours de ces troubles.

    « Nous sommes en guerre contre un ennemi puissant, implacable, qui ne respecte rien ni personne et qui est prêt à faire usage de la violence et de la délinquance sans aucune limite », a déclaré le président, Sebastian Piñera à la presse.

    Pour la deuxième nuit consécutive, une mesure de couvre-feu a été décrétée à Santiago entre 19 heures et 6 heures locales. L’« état d’urgence » est également en vigueur dans plusieurs régions, dont celle de la capitale, Santiago de 7 millions d’habitants. Il a été étendu dimanche soir à plusieurs grandes villes du sud et du nord du pays.

  • Et c’est bel et bien une tempête sociale, pas nationaliste, pas identitaire, pas ethnique, pas religieuse qui explose en Irak, en Algérie, au Soudan, en Equateur, au Chili... Partout, elle se heurte directement à la réalité du pouvoir : à l’armée !!!

    Malgré le déploiement de l’armée, décrété samedi 19 octobre par le président conservateur Sebastien Pinera, des milliers de Chiliens ont continué d’exprimer leur colère dans la rue dimanche face aux inégalités d’un système politique et économique...

  • Le Chili, présenté comme le plus prospère d’Amérique latine, explose

    Vendredi, les manifestations se sont multipliées et les 136 stations du métro de Santiago ont été fermées. Des dizaines de stations ont été incendiées, de même que le siège d’Enel, une entreprise privée italienne qui contrôle 40% de la distribution d’énergie au Chili, et les bureaux du journal pro-Pinochet El Mercurio à Valparaíso.

    Samedi et dimanche, les couvre-feux ont été défiés par des milliers de manifestants et, à Santiago, des manifestants tenant des photos de victimes sous la dictature de Pinochet ont encerclé temporairement les tanks.

    Samedi à 22 heures, quelques heures après avoir invoqué l’état d’exception et qualifié les manifestants d’« authentiques délinquants qui ne respectent rien », Piñera a déclaré avoir « entendu avec humilité la voix de mes compatriotes » et a annoncé l’annulation de la dernière hausse tarifaire de 30 pesos pour le métro de Santiago. (Le prix du métro à l’heure de pointe avait déjà augmenté de 100 pesos, soit près de 15 pour cent, depuis février 2018)

    L’état d’urgence, cependant, se poursuivra indéfiniment, et le couvre-feu a également été invoqué dimanche soir. Selon une déclaration faite dimanche par le ministère de l’Intérieur, 1462 personnes ont été arrêtées et 15 civils blessés.

    Cinq civils sont morts lorsqu’un supermarché de Santiago a pris feu au milieu des manifestations et de la répression. En même temps, des sections entières de Santiago sont restées sans électricité le dimanche, tandis que les écoles étaient fermées aujourd’hui.

    La principale confédération syndicale, le Centre unitaire des travailleurs (CUT), qui est contrôlé par le Parti communiste stalinien (CP), s’est efforcé de supprimer toute action des travailleurs au-delà d’ordonner aux travailleurs du métro de ne pas travailler en raison de « conditions dangereuses ». Au lieu de cela, les responsables syndicaux ont marché dans une mascarade vers le Palais présidentiel de la Moneda pour faire appel à la conscience de Piñera pour mettre fin à l’état d’urgence.

    Le PC et le Frente Amplio (Front large) de pseudo-gauche ont pris la décision symbolique de refuser de participer à une réunion convoquée par Piñera ce week-end. Cependant, leurs interventions se sont concentrées sur des appels similaires à Piñera et la justification ouverte de la répression.

    Beatriz Sánchez, cheffe du Frente Amplio a tweeté : « Avec beaucoup de douleur, je vois une manifestation juste et soutenue par la majorité, capturée par un vandalisme inacceptable et injustifiable ». Le député du Frente Amplio, Giorgio Jackson, a écrit : « Comme beaucoup d’autres, j’ai mal au ventre et je me sens frustré et impuissant de voir des images de pillages et d’incendies injustifiables dans les villes. »

    Pour sa part, Daniel Jadue, le maire du PC de Recoleta, une ville du nord de Santiago, a déclaré : « Les mobilisations légitimes ne peuvent pas se terminer par du vandalisme et des pillages inexplicables. Cela ne fait que confirmer le point de vue d’une administration Sebastián Piñera qui cherche à justifier son incompétence par la violence contre les citoyens. »
    Ces déclarations justifiant la répression exposent les sentiments de larges couches de la classe moyenne supérieure représentées par ces partis et syndicats, qui voient avec hostilité les manifestations de masse contre les inégalités. Ces déclarations révèlent d’ailleurs le caractère réactionnaire de leurs appels universels à mettre en valeur l’armée par des coupes budgétaires mineures et la « démocratisation ».

    La réponse de la « gauche » officielle a enhardi des éléments fascistes purs et durs au Chili à lancer des appels à la mobilisation contre les travailleurs et les jeunes. Faisant référence à la dictature de Pinochet, l’Association des officiers retraités de la marine a publié dimanche une déclaration dans laquelle elle affirmait que « nous avons une préparation et une vaste expérience dans l’organisation et la gestion d’un pays en crise » et appelait à une action qui « aiderait les forces armées et la police à rétablir l’État de droit au Chili. »

  • Santiago est devenu le théâtre d’une révolte généralisée qui s’est exprimée à travers des blocages d’axes routiers, des pillages de supermarchés ou encore des incendies de bâtiments publics et privés. La journée s’est conclue par des mesures gouvernementales jamais prises depuis la fin de la dictature d’Augusto Pinochet, en 1990 : état d’urgence, couvre-feu et déploiement de l’armée dans les rues. Ce faisant, le gouvernement chilien a jeté de l’huile sur le feu. Samedi, l’explosion sociale s’est répandue comme une traînée de poudre dans tout le pays.

  • Ce qu’il y a de commun dans ces révoltes. Ce sont celles des plus démunis, des femmes et de la jeunesse. Elles contestent l’ordre social et liens des plus riches avec le pouvoir politique.
    On assiste à une mondialisation de la révolte. Les peuples ne se laissent plus faire. Ils ne se laissent même pas diriger.

  • L’augmentation du prix des transports publics est à l’explosion sociale au Chili ce que la taxe carbone a été au mouvement des Gilets jaunes en France : la goutte d’eau qui fait déborder le vase. Cet embrasement sans précédent dans l’histoire démocratique du Chili est l’expression d’un ras-le-bol généralisé contre un système qui privatise à tout-va, creuse les inégalités et ne prodigue presque aucune aide sociale. À l’unisson dans leurs revendications, les Chiliens protestent ainsi contre des abus subis depuis de nombreuses années : la précarité du système de retraite et de santé, l’augmentation du prix des médicaments, la hausse des coûts de l’électricité ou encore les intoxications répétées dans les « zonas de sacrificio » [« zones de sacrifice »] très industrialisées et fortement polluées.

  • L’explosion inattendue du samedi 19 octobre s’est poursuivie et intensifiée dimanche et lundi. La colère contre la misère sociale dans laquelle des millions de Chiliens sont plongés ne faiblit pas. Elle semble même se renforcer après les annonces de Sebastian Piñera, président du Chili et homme d’affaires à la tête d’une fortune estimée à 2,7 milliards de dollars. Il a déclaré : « Nous sommes en guerre contre un ennemi puissant, prêt à la violence sans limite. » En focalisant son discours sur les actes de vandalisme sans aborder les revendications sociales qui ont motivé les mobilisations pacifiques, le président milliardaire du Chili n’a fait qu’alimenter la colère et gonfler les rangs des manifestants. Dans le sillage de l’Équateur, de l’Argentine, de la Bolivie ou encore du Pérou qui ont connu de massifs mouvements sociaux ces dernières semaines, le peuple chilien semble s’être réveillé.

    La révolution sociale a de beaux jours devant elles. Les classes possédantes sont un résidu du passé...

  • Le mouvement, qui paralyse le Liban avec la fermeture des banques, des institutions publiques et de nombreux magasins, a démarré de manière spontanée jeudi après l’annonce d’une taxe sur les appels effectués via WhatsApp. Partout, sous une nuée de drapeaux libanais, des foules compactes ont repris les slogans du Printemps arabe qui rythment désormais leur révolte : "Révolution, révolution", "le peuple veut la chute du régime"...

  • Désormais, le monde entier perçoit que les inégalités croissent au point de créer un gouffre immense qui entraîne des révolutions sociales !!!

    2019 est-elle une année de révolte sociale partout dans le monde ?

    De quelques pays isolés – Algérie, Soudan, France, Porto Rico, Haïti, Tchad, Hong Kong – la contestation a gagné l’Egypte, l’Irak, le Liban, l’Equateur, le Chili, la Bolivie et bien d’autres.

  • Au Chili, c’est le prix du métro. Au Liban, c’est une taxe sur les appels téléphoniques via Internet. En Russie, c’est une réforme des retraites peu avantageuse. En Equateur, c’est l’arrêt brutal des subventions aux carburants. En France, c’est une taxe sur le carburant… C’est bel et bien la révolte sociale qui met partout le feu aux poudres et pas l’identitaire, pas la religion, pas la race, pas l’ethnie !!!

  • Les protestataires irakiens rejettent en bloc les mesures sociales annoncées. Ils veulent, disent-ils, une nouvelle Constitution et une classe politique entièrement renouvelée, alors que l’Irak est classé douzième pays le plus corrompu au monde.

    Le premier ministre, Adel Abdel Mahdi, a plaidé pour réformer le système d’attribution des postes de fonctionnaires et abaisser l’âge des candidats aux élections, dans un pays où 60 % de la population à moins de 25 ans.

    Pour les manifestants, les gouvernements successifs depuis la chute du dictateur Saddam Hussein en 2003 ont amené le système à bout de souffle alors qu’en seize ans, la corruption a officiellement coûté 410 milliards d’euros à l’Etat, soit deux fois le PIB de l’Irak, deuxième producteur de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP).

  • Au Liban, Hariri démissionne : le peuple travailleur l’a fait chuter !!! Ce n’est bien entendu qu’une nouvelle manoeuvre de politicien pour reprendre barre sur la politique du pays mais cela montre la force du mouvement !

  • Soulèvement social en Irak, au Liban, en Equateur, au Chili, en Algérie, au Soudan, en France… Partout dans le monde la lutte des classes reprend ses droits…

    Face à l’effondrement du capitalisme en perspective, la révolution prolétarienne mondiale a commencé !!!

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