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Les crimes de la papauté au cours de l’Histoire

lundi 8 mai 2023, par Robert Paris

Pour donner quelques exemples édifiants de vies de papes, en voici quatre successifs… Le récit n’est pas le nôtre mais celui de wikipedia…

Le pape Paul II

Il entame son pontificat en destituant un certain nombre d’humanistes nommés par ses prédécesseurs. Soupçonnant que ces derniers complotent contre lui, Paul II dissout l’académie romaine, saisit bon nombre de ses membres et les accuse de trahison. Plusieurs partisans de l’humanisme sont torturés puis tués sans qu’aucune conspiration contre le pape ait été fomentée. À défaut de cette inculpation, les humanistes sont condamnés pour hérésie, étant accusés de cultiver des idées et des rituels païens.

Il meurt officiellement d’une crise cardiaque, dans des circonstances dites « indéterminées » de source officielle, la papauté dit que c’est d’une indigestion de melon, attestée par son médecin… En fait, probablement éliminé par ses adversaires cardinaux dont son successeur Sixte IV.

Le pape Sixte IV

Sous son pontificat, il fait l’objet de jugements controversés dus à l’emprise que ses neveux prennent sur lui. Il est soupçonné de simonie par ses contemporains et pratique un népotisme éhonté. De fait et « contrairement à ce qu’il avait solennellement promis au moment de son élection », il nomme cardinal de nombreux jeunes gens, célèbres par leur beauté ; il promeut des parents indignes à de hautes fonctions ecclésiastiques parmi lesquels son neveu Raphaël Riario, cardinal à 16 ans en 1477, qui était son amant, ainsi que d’autres neveux comme Giovanni della Rovere (préfet de Rome à partir de 1475), Girolamo Riario, les cardinaux Giuliano della Rovere (futur pape Jules II) ou Pietro Riario.

Il nomme cardinaux ses neveux, Giuliano della Rovere, futur Jules II, Pietro et Girolamo Riario qu’il associe à l’exercice du gouvernement politique, prêtant le flanc aux accusations de népotisme. Leonardo et Giovanni Riario, frères des précédents, sont quant à eux nommés préfets de Rome.

Par la bulle Exigit sinceræ devotionis du 1er novembre 1478, il accorde aux souverains espagnols, Ferdinand II d’Aragon et Isabelle de Castille, l’autorisation de nommer des inquisiteurs de la foi. D’après certains auteurs, il y a eu en l’espace de 15 ans, 125 000 procès et environ 13 000 condamnations à mort, qui furent exécutées par les autorités civiles. Sur 100 000 femmes poursuivies pour actes de sorcellerie, la moitié le fut par l’Inquisition et sur ces 50 000 dernières, environ 100 furent condamnées à la peine capitale. Le 11 février 1482, il valide le choix des cinq nouveaux Grands inquisiteurs dont Torquemada en tant qu’inquisiteur de Castille par les rois catholique d’Espagne ; il confirme l’étendue des pouvoirs de Torquemada en 1483 et 1486 en Aragon et en Catalogne.

Le caractère sommaire des jugements rendus par les tribunaux inquisitoriaux espagnols, la brutalité des méthodes et des tortures employées choquèrent en Espagne comme à l’extérieur du royaume. Ainsi, le pape Sixte IV, pourtant connu pour sa grande sévérité à l’égard des Juifs, dès 1481, écrivit « pour se plaindre de la trop grande rigueur des inquisiteurs de Séville » :

« Sans tenir compte des prescriptions juridiques, ils ont emprisonné nombre de personnes en violation des règles de justice, leur infligeant des tortures sévères et leur imputant, sans le moindre fondement, le crime d’hérésie, confisquant leurs biens à ceux qu’ils condamnaient à mort, si bien que pour fuir une telle rigueur un grand nombre d’entre eux se sont réfugiés auprès du Siège Apostolique, en protestant de leur orthodoxie. »

Rome recevait un flot constant de demandes de réhabilitation émanant de personnes condamnées par les tribunaux inquisitoriaux espagnols ou de leurs familles, et, par trois fois, Torquemada dut envoyer un émissaire auprès du Saint-Siège pour se justifier sur ses pratiques.

En 1476, il décrète à travers sa bulle de Salvater noster que les indulgences peuvent s’acheter pour réduire le temps de purgatoire. Il est ainsi à l’origine du commerce des indulgences dans l’Église de Rome.

Par ailleurs, il prend la décision de taxer les prostituées et les prêtres concubinaires de Rome, ce qui rapporte au Saint-Siège chaque année près de 20 000 ducats (par les prostituées), soit des sommes considérables3. N’étant pas parvenu à emprunter de l’argent aux Médicis qui lui sont opposés, le scandale des Pazzi qui le soutiennent éclate. Et son neveu Raphaël est emprisonné quelque temps.

Le pape Innocent VIII

Il est connu pour la bulle Summis desiderantes affectibus qui étendit le rôle de l’Inquisition à la chasse aux sorcières, pour son soutien à l’Inquisition espagnole menée par Torquemada.

Sous son pontificat, il recule les limites de l’opprobre par une vénalité effrénée des charges. Corruption, vénalité, népotisme (jugé « aussi somptueux qu’éhonté »), faux privilèges, fausses bulles, intrigues sont des mesures courantes. Il est le premier pape à reconnaître ses enfants illégitimes, cependant nés avant qu’il ne devienne clerc pour lesquels il organise des noces au Vatican. Il marie son fils aîné Franceschetto Cybo à la fille de Laurent de Médicis, qui en échange use de ses relations pour créer cardinal son fils Giovanni, alors âgé de treize ans. Ce dernier deviendra pape en 1513 sous le nom de Léon X. Son frère Maurizio Cibo est gouverneur de Pérouse, et père du cardinal Lorenzo Cibo . Le prédicateur Jérôme Savonarole fustigea ses ambitions mondaines.

En Italie, il fait appel à Florence, dirigée par Laurent le Magnifique, pour obtenir des finances. En remerciement, il marie son bâtard Franceschetto à la fille de Laurent, Maddalena, ce qui fait murmurer ses contemporains, et il élève à la dignité de cardinal le fils de Laurent, Giovanni, âgé seulement de 13 ans — le futur Léon X.

Ce pape superstitieux a attaché son nom à la chasse aux magiciens et sorcières. Il publie la bulle Summis desiderantes affectibus (5 décembre 1484), autorisant l’Inquisition à agir en matière de sorcellerie, pratiquée à la fois par les hommes et les femmes. Plus précisément, elle autorise Henri Institoris et Jacques Sprenger à instruire le procès de deux sorcières présumées en Allemagne. À leur retour, les deux dominicains publient le fameux Malleus Maleficarum (Le Marteau des sorcières) en 1486 avec le soutien d’Innocent VIII, mais qui en raison de ses excès et de ses aberrations, est peu après interdit par l’Église elle-même en 1490.

Il approuve la très dure répression menée par l’Inquisition espagnole dirigée par Torquemada contre les marranes, juifs convertis et soupçonnés de continuer à pratiquer leur religion originelle. Il le confirme dans ses fonctions de Grand Inquisiteur et supprime la possibilité pour les accusés de faire appel auprès de l’évêque de Séville.

Il accorde le titre de « Rois catholiques » à Ferdinand II d’Aragon et Isabelle de Castille et leur confère le droit de nommer les successeurs du grand Inquisiteur.

Lorsque l’humaniste Pic de la Mirandole suggère de réunir à ses propres frais un congrès de philosophes pour instituer un projet de paix universelle où il se propose de prononcer un discours sur la dignité de la personne humaine, le pape s’y oppose et les thèses de Pic de la Mirandole sont condamnées.

Le pape Alexandre VI, Borgia

Il est connu pour ses mœurs dissolues, dans une époque pontificale et vaticane de même acabit. Son pontificat est marqué en 1493 par la bulle Inter cætera, qui partageait le Nouveau Monde entre l’Espagne et le Portugal.

Le 11 août 1492, il est élu pape à la majorité canonique des deux tiers des cardinaux réunis en conclave. Il a acheté certains votes pours e faire élire, la simonie demeurant une pratique commune jusqu’à la Contre-Réforme tridentine. Il est couronné le 26 août de la même année

Le 6 juin 1494, le traité de Tordesillas conclu entre les rois catholiques et Jean II de Portugal confirme, à l’exception de quelques modifications, la bulle coloniale papale Inter cætera qui divise le Nouveau Monde en attribuant le Brésil au Portugal et le reste de l’Amérique latine à l’Espagne, les autres nations ayant été écartées.

L’année 1500, proclamée année sainte par le souverain pontife, va renforcer les finances avec les revenus du pèlerinage. Et la vente du chapeau de cardinal rapporte de gros revenus au pape et à ses bâtards7. Offrir la pourpre à un candidat rapportait gros. L’assassiner ensuite encore davantage, tous les biens d’un cardinal revenant de droit au pape. Enfin, il y avait l’apport régulier des indulgences

Homme d’Église sans vocation, Rodrigo Borgia n’observe pas les exigences du célibat sacerdotal. Il ne cache d’ailleurs pas son attirance pour les femmes. Il fut le père de six enfants reconnus (il en aurait eu sept8 ou huit de trois ou quatre maîtresses différentes).

En 1470, alors qu’il est déjà ordonné prêtre, Rodrigo Borgia fait la connaissance de Vannozza Cattanei, jeune patricienne romaine de dix ans sa cadette5, qui va lui donner quatre enfants (Jean ou Juan, César, Lucrèce, et Geoffroi ou Joffre), tout en continuant de mener une vie conjugale avec ses époux successifs qui sont des obligés de Borgia. Geoffroi est promis à Sancia, une fille naturelle d’Alphonse II, roi de Naples. Il a déjà eu un fils, Pedro Luis de Borja, légitimé par Sixte IV. Durant son pontificat, il engendre d’autres fils dont la ou les mères restent inconnues : Jean, né en 1498, futur duc de Camerino et de Nepi, et Rodrigue Borgia, né en 1502 ou 1503. Il entretient également une relation avec la jeune Giulia Farnèse (sœur du cardinal Alexandre Farnèse, le futur pape Paul III), mais sans qu’aucun enfant naisse manifestement de leur union.

Selon l’historien Ferdinand Gregorovius, il aurait eu également deux autres filles, nées de mères inconnues, Girolama de Borja et Isabelle.

En 1494, un parti de prélats à la tête duquel se trouve Giuliano Della Rovere, le futur pape Jules II, tente de faire déposer ce pontife qu’ils accusent, non sans raison, de simonie et de corruption de toutes sortes. Sa vie privée fait aussi scandale : François Guichardin rapporte un épisode au cours duquel un Borgia aurait attiré au château Saint-Ange le jeune et beau Astorre Manfredi, seigneur de Faenza, qu’il viole et fait jeter dans le Tibre.

Le népotisme et les scandales suscitent de bruyantes remontrances de la part du moine dominicain Jérôme Savonarole. Sans scrupules, Alexandre VI fait arrêter Savonarole, qui est torturé et exécuté le 23 mai 1498.

Alexandre VI va encore plus loin dans la débauche et se rend célèbre par les fêtes somptueuses organisées à l’occasion du mariage de sa fille Lucrèce avec Alphonse Ier d’Este, le 31 octobre 1501, pendant lesquelles ses convives ont été invités à faire preuve de la plus grande virilité auprès d’une cinquantaine de danseuses dévêtues. La compétition a été arbitrée par les propres enfants d’Alexandre VI, César et Lucrèce, ce qui déclenche l’un des plus grands scandales de la chrétienté15. Selon le prélat Jean Burckhart, témoin muet, mais indigné, la débauche du pape Alexandre et de sa progéniture atteint son paroxysme en cette nuit orgiaque du 31 octobre 1501. Les dépêches envoyées aux cours d’Europe par leurs ambassadeurs, et figurant dans de nombreuses archives diplomatiques, confirment l’incroyable témoignage de Burchard.

Alexandre VI laisse la chrétienté en proie à un grave malaise qui va s’amplifier avec les années. Même parmi les historiens chrétiens, il ne trouve pas de véritable défenseur. Le nom de Borgia, notamment par la vie de son fils César, qui a inspiré Le Prince de Machiavel, est devenu synonyme d’ambition et d’absence de scrupules. Rome, sous le pape Alexandre VI, ne connaît « ni loi, ni divinité ; [mais] l’or, la violence et l’empire de Vénus ».

À la suite de l’arrivée de Christophe Colomb dans le Nouveau Monde, la monarchie espagnole demanda au pape Alexandre de confirmer qu’elle était bien propriétaire des terres nouvellement découvertes. Les bulles publiées par le pape Alexandre VI : Eximiæ devotionis (4 mai 1493), Inter Cætera (4 mai 1493) et Dudum siquidem (23 septembre 1493), accordèrent à l’Espagne, sur les terres nouvellement découvertes dans les Amériques, des droits semblables à ceux que le pape Nicolas V lui avait précédemment conférés par les bulles Romanus pontifex et Dum Diversas. Morales Padron (1979) conclut que ces bulles donnaient le droit d’asservir les indigènes. Minnich (2005) affirme que ce « commerce d’esclaves » était autorisé pour faciliter les conversions au christianisme. D’autres historiens et des chercheurs du Vatican sont en désaccord total avec de telles accusations et affirment que jamais le pape Alexandre VI n’a donné son approbation à la pratique de l’esclavage. Par la suite, d’autres papes, comme Benoît XIV dans Immensa Pastorum (1741) et Grégoire XVI dans In Supremo Apostolatus (1839), ont renouvelé la condamnation de l’esclavage.

Thornberry (2002) affirme qu’Inter Cætera s’appliquait au Requerimiento qu’on devait lire aux Indiens d’Amérique (qui ne comprenaient pas la langue des colonisateurs) avant de commencer les hostilités contre eux. On leur laissait le choix entre accepter l’autorité du pape et de la couronne espagnole ou courir le risque d’être attaqués et subjugués. En 1993, l’Institut de droit autochtone a appelé le pape Jean-Paul II à révoquer Inter Cætera et à faire amende honorable pour « cet évènement si triste dans l’histoire ». Appel qui a été suivi par un autre similaire en 1994 émanant du Parlement des religions du monde.

Les crimes de la papauté au cours de l’Histoire

Au Canada, le pape reconnaît un "génocide" perpétré par l’Eglise catholique dans les pensionnats pour autochtones Indiens et couvert jusque-là par le silence papal :

https://www.francetvinfo.fr/monde/canada/canada-le-pape-reconnait-un-genocide-dans-les-pensionnats-pour-autochtones-geres-par-l-eglise-catholique_5285077.html

Le massacre de la Saint-Barthélemy :

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article403

La papauté, toute dégoulinante de sang de grands massacres :

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article6668

La papauté, ordonnateur du massacre des croisades :

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article3289

La papauté, ordonnateur des massacres de l’Inqusition :

https://www.geo.fr/histoire/inquisition-ce-quil-faut-retenir-sur-cette-institution-de-leglise-196346

La papauté, ordonnateur des massacres des Cathares :

https://www.cath.ch/newsf/france-leglise-demande-pardon-aux-cathares/

Les pires crimes et scandales de la papauté (colonialisme, fascisme, guerre…) :

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article4633

Le pape, ancien soutien de la dictature sanglante d’Argentine :

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article2656

Maurice Lachatre, « Histoire des Papes »

Introduction

https://www.google.fr/books/edition/Histoire_des_papes/3nE9AQAAMAAJ?hl=fr&gbpv=1&dq=Maurice+Lachatre+Histoire+des+Papes+volume&printsec=frontcover

Le début

https://fr.wikisource.org/wiki/Histoire_des_papes,_rois,_reines,_empereurs_%C3%A0_travers_les_si%C3%A8cles/II

Volume I

https://www.google.fr/books/edition/Histoire_des_papes_crimes_des_pontifes_r/5bUOAAAAIAAJ?hl=fr&gbpv=1&dq=Maurice+Lachatre+Histoire+des+Papes&printsec=frontcover

Volume II

https://www.google.fr/books/edition/Histoire_des_papes/7XE9AQAAMAAJ?hl=fr&gbpv=1&dq=Maurice+Lachatre+Histoire+des+Papes&printsec=frontcover

Volume III

https://www.google.fr/books/edition/Histoire_des_papes/Bcc_AAAAYAAJ?hl=fr&gbpv=1&dq=Maurice+Lachatre+Histoire+des+Papes&printsec=frontcover

Volume V

https://www.google.fr/books/edition/Histoire_des_papes_crimes_des_pontifes_r/5bUOAAAAIAAJ?hl=fr&gbpv=1&dq=Maurice+La+chatre+Histoire+des+Papes&printsec=frontcover

Volume VI

https://www.google.fr/books/edition/Histoire_des_Papes/ft8pmwEACAAJ?hl=fr

Volume VII

https://www.google.fr/books/edition/Histoire_des_papes_crimes_meurtres_empoi/a73mUf-8-fUC?hl=fr&gbpv=1&dq=Maurice+La+chatre+Histoire+des+Papes&printsec=frontcover

Volume VIII

https://www.google.fr/books/edition/Histoire_des_papes/73I9AQAAMAAJ?hl=fr&gbpv=1&dq=Maurice+Lachatre+Histoire+des+Papes&printsec=frontcover

Volume IX

https://www.google.fr/books/edition/Histoire_des_papes/j4cPAAAAQAAJ?hl=fr&gbpv=1&dq=Maurice+Lachatre+Histoire+des+Papes&printsec=frontcover

Lire encore :

https://www.google.fr/books/edition/Histoire_des_papes_myst%C3%A8res_d_iniquit%C3%A9/UrsGAAAAQAAJ?hl=fr&gbpv=1&dq=Maurice+Lachatre+Histoire+des+Papes+volume&pg=PP6&printsec=frontcover

D’autres écrits

Les crimes des papes :

https://www.google.fr/books/edition/Les_crimes_des_papes_depuis_Saint_Pierre/oPQtUZiqst8C?hl=fr&gbpv=1&dq=Les+crimes+des+papes+depuis+saint+Pierre+jusqu%27%C3%A0+Pie+VI&printsec=frontcover

Les Borgia :

https://www.google.fr/books/edition/La_famille_Borgia/2K0yDwAAQBAJ?hl=fr&gbpv=1&dq=les+victimes+de+la+papaut%C3%A9&printsec=frontcover

Quelques autres figures :

https://www.topito.com/top-papes-dingues-histoire

Et encore d’autres :

https://blog.slate.fr/chasseur-d-etrange/2010/01/29/enquete-sur-les-pires-papes-de-la-chretiente-pie-xii-et-benoit-xvi-sont-des-enfants-de-coeur/

Voir aussi ceux-là :

https://www.vanityfair.fr/actualites/diaporama/ces-papes-qui-ont-commis-les-sept-peches-capitaux/38156

Crime pédophile :

https://www.letemps.ch/monde/pape-poursuivi-crime-contre-lhumanite

Secrets du Vatican :

https://www.cairn.info/revue-pouvoirs-2017-3-page-75.htm

Nouveaux crimes :

https://www.google.fr/books/edition/Omerta/BQ6vDwAAQBAJ?hl=fr&gbpv=1&dq=les+victimes+de+la+papaut%C3%A9&printsec=frontcover

Lire encore :

https://www.google.fr/search?hl=fr&q=crimes+papaut%C3%A9+site%3Ahttp%3A%2F%2Fwww.matierevolution.fr+OR+site%3Ahttp%3A%2F%2Fwww.matierevolution.org&btnG=Recherche&meta=

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