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Pourquoi la classe ouvrière de Chine fait trembler les classes possédantes ?

dimanche 11 novembre 2018

Pourquoi la classe ouvrière de Chine fait trembler les classes possédantes ?

Pourquoi ? Parce que la classe possédante est assise sur un volcan : une classe ouvrière jeune, pleine d’expériences de luttes, sans carcan réformiste, va faire face de plein fouet à l’effondrement capitaliste mondial !!!

Le renouveau de la mobilisation ouvrière en Chine

En Chine, les conflits sociaux étendent leur périmètre

Grève chez Sony et Coca-Cola

Le gouvernement chinois s’en tient à la répression violente du mouvement ouvrier

La lutte des travailleurs de Jasic Technologies

Les combats de la classe ouvrière en Chine

La Chine, dirigée par un parti stalinien dictatorial, est le plus industrialisé et le plus prolétarien

Les morts dans les mines ne se comptent plus

Les mauvais traitements patronaux sont légion

Grèves en Chine

Droit syndical en Chine

L’inflation galopante déclenche des troubles sociaux

Soulèvements prolétariens en Chine du sud

Les conflits sociaux se multiplient

Les conflits mènent parfois à de véritables émeutes

Les salariés combatifs et militants sont envoyés en camps de redressement et d’extermination, dans le goulag chinois

Le pouvoir chinois a toujours été contre la classe ouvrière

Témoignages de syndicalistes chinois

Luttes de classe en Chine

La Chine ébranle le monde... ?

Vive la grève des ouvriers chinois

Tiananmen était aussi une révolte ouvrière

La Chine en crise peur provoquer la crise et l’effondrement mondial…

Mais la Chine en crise peut aussi provoquer la révolution prolétarienne...

La Chine, plus conquérante et plus capitaliste que jamais, va de l’avant vers... la révolution prolétarienne !!!

Messages

  • Le 7 juin dernier, les camionneurs ont appelé par le biais des réseaux sociaux à la grève. Date prévue : le 10 juin. Or, le jour dit, ils ont annulé leur mouvement, non sans avoir lancé entre-temps des actions à travers dix provinces, impliquant des milliers de semi-remorques bardés de slogans comme « Halte au diesel cher » et bloquant les avenues en klaxonnant, selon des témoignages recueillis par le « China Labor Bulletin ». En dépit de la censure et de l’interdiction de se constituer en syndicat libre, les organisateurs ont réussi à faire entendre leurs doléances au-delà de leurs espérances.

    A la fin du mois d’avril, des milliers de grutiers avaient bloqué leurs engins dans vingt provinces en employant la même tactique. Dans le cas des grutiers comme des camionneurs, la police a donc agi avec prudence, craignant une explosion de violence chez ces professionnels poussés au désespoir et dont certains auraient pu lancer leurs véhicules contre des édifices publics ou dans la foule.

    Ces grèves sauvages l’illustrent : plusieurs catégories de travailleurs commencent à s’organiser contre le patronat et l’État. Leurs actions de défense syndicale deviennent une condition de survie, et les autorités, malgré la censure, ne peuvent plus les en empêcher. Signe d’un accroissement de la tension sociale, d’autres mouvements sociaux couvent. Après les grutiers et les camionneurs, la prochaine grève pourrait venir des livreurs de repas. Ils sont sept millions à travers la Chine, très mal payés et en colère.

  • La croissance de la production chinoise est en baisse. Le monde capitaliste serre les fesses !

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