La CGT voudrait faire croire à une victoire de la grève :
"Le budget recrutement 2010 sera dépassé au-delà des 2.300 recrutements prévus", a annoncé, sans donner de chiffres, Laurent Russeil, secrétaire général adjoint de la CGT, premier syndicat dans l’entreprise publique.
Le budget 2010 prévoyait initialement 1.800 recrutements pour 5.400 départs envisagés, avant d’être porté à 2.300 sous la pression des syndicats. Un porte-parole de la SNCF a confirmé à l’AFP que "le volume d’embauches serait de nouveau discuté, au-delà des 2.300 recrutements prévus".
Interrogé sur le bilan de la grève, le responsable CGT a estimé "qu’une grève n’est jamais inutile". "Ce sera aux cheminots dans les assemblées générales en région de décider ce qu’ils veulent faire", a-t-il indiqué.
Le mouvement de grève, le plus long depuis le conflit sur les régimes de retraites en 2007, a été lancé le 6 avril par la CGT et Sud-Rail, les deux premiers syndicats de l’entreprise publique.
Mais il a été lancé par des gens qui ne voulaient pas organiser les cheminots en vue de la victoire mais seulement faire avancer les intérêts de leur boutique syndicale pour la mettre en meilleure position...
La CGT voudrait faire croire à une victoire de la grève :
"Le budget recrutement 2010 sera dépassé au-delà des 2.300 recrutements prévus", a annoncé, sans donner de chiffres, Laurent Russeil, secrétaire général adjoint de la CGT, premier syndicat dans l’entreprise publique.
Le budget 2010 prévoyait initialement 1.800 recrutements pour 5.400 départs envisagés, avant d’être porté à 2.300 sous la pression des syndicats. Un porte-parole de la SNCF a confirmé à l’AFP que "le volume d’embauches serait de nouveau discuté, au-delà des 2.300 recrutements prévus".
Interrogé sur le bilan de la grève, le responsable CGT a estimé "qu’une grève n’est jamais inutile". "Ce sera aux cheminots dans les assemblées générales en région de décider ce qu’ils veulent faire", a-t-il indiqué.
Le mouvement de grève, le plus long depuis le conflit sur les régimes de retraites en 2007, a été lancé le 6 avril par la CGT et Sud-Rail, les deux premiers syndicats de l’entreprise publique.
Mais il a été lancé par des gens qui ne voulaient pas organiser les cheminots en vue de la victoire mais seulement faire avancer les intérêts de leur boutique syndicale pour la mettre en meilleure position...