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Quelle physique s’applique à l’échelle de Planck ?

18 avril 2022, 11:21, par JFP/Jean-François POULIQUEN

▬JFP¦¦18042022¦¦Bonjour Mr Paris.
▬J’adore ces petites phrases qui en disent long sur une non-unification de la physique quantique et la relativité :
►L’existence même d’une longueur minimum contredit la relativité restreinte où l’on montre que, si l’on passe à un système de coordonnées en mouvement, une longueur donnée subit une contraction de Lorentz. Il ne peut exister de longueur minimum en relativité restreinte ; et donc, aux dimensions de Planck, l’espace-temps n’est ni invariant de Lorentz, ni invariant par difféomorphisme, ni invariant par dilatation.◄
►En résumé, aux échelles de Planck, l’espace-temps n’est ni continu, ni ordonné, ni pourvu d’une métrique, ni quadridimensionnel, ni constitué de points.◄
►Pour achever cet inventaire, si l’espace et le temps ne sont pas continue, les quantités définies comme des dérivées spatiales ou temporelles n’ont pas de définition précise.◄
►Pour conclure, le vide, c’est-à-dire l’espace-temps vide ne peut se distinguer de la matière aux échelles de Planck.◄
▬Effectivement à cette échelle de Planck, on ne peut rien distinguer, ce qui veut aussi dire aussi que les différentes physiques ne peuvent prendre en compte cette échelle. Rien que cette belle et simple formule : (1-v2/c2)e1/2 de Larmor en 1897, Lorentz nous donne une sorte de vérité, car Lorent remplacera la puissance de 1/2 de la formule, par la racine carré de la formule, ce qui revient strictement au même. En poursuivant ses recherches à tâtons, Lorentz trouvera d’autres formules comme si la formule de Larmor n’était pas aboutit, et il en arrive et invente cette belle formule inverse qui est d’une intelligence extrême, comme 1/F, où la subtilité est à son apogée. et de là on aura bien les facteurs de Lorentz, c’est quand même superbement beau la tricherie, car en quelques années, on est passé de l’inconnu de Larmor, par transmission au Génie de Einstein passant par Lorentz.
▬Je pense que l’erreur de cette formule très belle, est qu’elle est linéaire, donc ne tient pas compte de palier, de tranche, de niveau, de couche, ainsi la valeur d’une vitesse, peut prendre toutes les valeurs possibles, ce qui est contradictoire avec les sous unités de Planck, car d’un coté on utilise des quanta, et de l’autre pas, et donc cela ne va pas ne peut pas fonctionner, du moins il y a contradiction en ne tenant pas compte du quantum de Planck. De là Einstein reprend le flambeau en donnant d’autres explications, et invente le temps propre pour chaque référentiels. Si on reprend ce que j’ai donné comme concepts, hé bien ni longueur ni temps ne se déforment, mais la réalité est que ce sont les fréquences d’atomes qui changent de fréquences fonction de la vitesse ou des masses, et ces fréquences devraient tenir compte des quanta de Planck. En gros une fréquence ne peut pas prendre toutes les valeurs...

▬Je ne suis pas tout à fait d’accord avec la description que l’on fait d’une particule, dite ponctuelle, en disant que l’on peut attribuer une position à un objet et donc d’ une particule, car justement ce que l’on nome particule élémentaire n’est absolument pas ponctuelle, mais s’étale dans l’espace-temps, et c’est seulement au moment de sa mesure/position que cette particule est dite ponctuelle, ceci veut dire que quand on détecte la particule, on fausse la description de la particule par la mesure, et ainsi à la détection la particule se rassemble en un point, mais initialement on ne sait pas ce que couvre exactement comme espace-temps ou volume la particule. Toutes les particules ne sont pas des objets ponctuels, mais s’étalent forcément dans un volume d’espace-temps, et ces objets deviennent ponctuels quand on essaie de les détecter. C’est donc la mesure qui fausse l’image d’une particule, car initialement avant détection, la particule s’étale dans l’espace-temps. Ceci à comme conséquence de vision d’une particule, est qu’elle soit formée par des entités plus petites, et c’est la mesure qui rassemble les entités inférieures de la particule, pour ne voir qu’une sorte de point.
▬Cette phrase est démentielle : ►Est-il possible de construire une horloge qui soit susceptible de mesurer des intervalles de temps plus courts que le temps de Planck ?◄
▬Pourquoi cette phrase est démentielle ? Le temps de Planck comme dit dans l’énoncé est de 5,4 fois dix puissance moins 44 secondes, et donc cela nous donne 44/45 chiffres pour définir le temps de Planck, et à l’heure actuelle le procédé admis pas la SI (Système international) est avec son césium 133 et ses 9192631770 périodes d’oscillations par seconde, ne correspond qu’à dix chiffres significatifs. Même si on augmentait le nombre de périodes d’oscillation par seconde avec d’autres matériaux, on irait sans doute à 15/16 chiffres significatifs, bien loin des 44 trouvé par calcul. Même si il est possible d’un découpage du temps de Planck par raisonnements et calcul, on ne pourra jamais savoir quel est ce découpage, comme on ne pourra jamais vérifier ce découpage. Pourtant on peut admettre que le temps, comme la distance de Planck, se déduisent de la plus petite énergie de Planck, et que cette énergie est en réalité le quantum de Planck, et on peut se poser la question si ce quantum de Planck qui est une quantité, est-ce que cette quantité est elle même constitué d’autres entités, car cette quantité est un paquet, et que ce paquet est-il un bloc, ou au contraire constitué par d’autre sous-paquets.Nous mesurons actuellement le temps de Planck ; par l’intermédiaire des multiples du temps de Planck !!! Pour avoir un matériau qui serait en fréquence de périodes du temps de Planck, il faudrait avoir un matériau à la fréquence de 1/5,391247e-44 = 1,8548584399861479171701834473546e+43 périodes par seconde. Nous ne pouvons pas avoir des matériaux qui ont la fréquence du temps de Planck.
▬On peut se poser la question de savoir ce qu’est vraiment le temps de Planck, car est-ce la durée d’une action minimum et donc du minimum d’énergie, est-ce encore la durée entre deux énergies minimum ? Ce laps de temps de Planck est-il continue ou discontinue, et d’autres questions encore ? Oui ce temps de Planck pose des questions, car est-il le temps du repos entre deux actions, et donc ce n’est pas l’action ou l’énergie minimum qui compte, mais le temps de repos entre deux actions ? Ce temps de Planck peut même se définir en deux notions, qui est portion de temps pour l’action et le temps de repos entre la prochaine action.
▬Voici une phrase qui rejoint mon concept de variation de fréquence d’atome, où ni temps/distance ne se déforment :
►L’existence même d’une longueur minimum contredit la relativité restreinte où l’on montre que, si l’on passe à un système de coordonnées en mouvement, une longueur donnée subit une contraction de Lorentz. Il ne peut exister de longueur minimum en relativité restreinte ; et donc, aux dimensions de Planck, l’espace-temps n’est ni invariant de Lorentz, ni invariant par difféomorphisme, ni invariant par dilatation.◄
▬Ce qui se déforme sous l’effet des vitesses et des masses, sont les fréquences d’atomes, où on en déduit des temps et des distances déformées propres. Notre propre référentiel sur terre, n’est pas un vrai référentiel absolu, où le temps serait une vraie notion absolue. Ces référentiels absolus existent pourtant bien dans l’univers, car fixe dans l’espace et très loin de toutes masses, où la gravitation n’est pas déformée, le temps comme la distance deviennent des absolus. Pour être dans un référentiel absolu, il faudrait sortir du système solaire, mais cela ne suffirait pas, car il faudrait sortir de notre galaxie, et cela ne suffirait toujours pas, car les galaxies forment des filaments entre elles, et être entre deux galaxies ne suffirait pas pour être dans un référentiel absolu. Pour être dans un référentiel absolu, il faudrait sortir de ces filaments de galaxies, où la gravitation de l’espace n’est plus déformée. La gravitation est une notion qui existe dans un espace complètement vide sans masse, et ce ne sont pas les masses qui forment la gravitation, mais ces masses justement déforment la gravitation initiale. Le temps absolu est une réalité sans qu’il y est besoin d’atomes pour calculer ce temps. Si on prenait ce césium 133 servant de référence pour calculer la seconde, ce même césium dans un référentiel absolu aurait un nombre de périodes augmentée par rapport à ce que l’on connaît sur terre. Le choix de ce matériau de césium, est simplement qu’il nous donne un nombre entier de périodes dans un laps de temps d’une seconde, donnant une fréquence, mais seulement sur terre et dans des conditions particulières.
▬J’aime bien cette phrase :
►En résumé, aux échelles de Planck, l’espace-temps n’est ni continu, ni ordonné, ni pourvu d’une métrique, ni quadridimensionnel, ni constitué de points.◄
▬Mais la phrase qui suit juste après est moins un peu moins bien :
►Pour achever cet inventaire, si l’espace et le temps ne sont pas continue, les quantités définies comme des dérivées spatiales ou temporelles n’ont pas de définition précise.◄
▬Pour ma part, l’espace se découpe comme on veux, car je ne vois pas pourquoi on ne pourrai pas le découper d’avantage, par contre le temps est une notion abstraite et inventée, mais ce temps, ou plus exactement des durées existent même discontinues. Le temps comme on le conçoit est linéaire et continu, mais il est pour moi discontinu, et de plus, ce temps n’est pas l’addition de segments de laps de temps minimum. Le laps de durée de temps de Planck, implique une longueur minimum d’espace, mais ceci n’est lié qu’à l’action minimum ou le quantum d’énergie de Planck. Mesurer le rien n’est pas possible, et pourtant ce rien qui est l’espace-temps est une existence, les sous-unités de Planck peuvent être encore plus petites, sans qu’il y est d’action ou énergie comme on le conçoit. D’ailleurs le quantum de Planck est un paquet, une quantité, mais une quantité utile à engendrer une action minimum, et rien ne nous dit que ce quantum ne soit pas un ensemble d’autres quantités plus petites. La quantité minimum sert de déclenchement à une actions minimum , mais avant d’arriver à cette quantité si faible soit-elle, qui est le quantum de Planck, rien ne nous dit que ce quantum ou cette quantité soit d’un seul bloc !!!
▬Voici par contre une phrase complètement débile et hors du temps en fin des extraits :
►Mais ce n’est pas tout. Puisque l’antimatière peut être décrite comme de la matière qui se déplace à contre-courant dans le temps, et puisque la différence entre mouvement et mouvement inverse ne peut être observée aux échelles de Planck, l’on ne peut distinguer la matière et l’antimatière à ces échelles.◄
▬Cette phrase presque en fin de l’extrait est me semble t-il totalement fausse, car le modèle de l’anti-matière ne dépend pas du tout du temps, mais des charges inverses à la dite matière. La configuration de l’atome de matière est d’un plus central et d’un moins externe qui est l’électron, qui donne une neutralité en charge, avec naturellement multiplication des charges pour des atomes différents, et le césium inversé en charge qui serait l’anti-césium, donnerait la même fréquence. Les anti-étoiles donneraient la même lumière, et sur les spectres de lumière, la signature de la matière ou de l’anti-matière n’existe pas. Nous observons des photons dans l’espace à partir d’objets qui rejettent ces photons, mais ces photons n’ont pas de signature de matière ou d’anti-matière. Cela sous-entend qu’il puisse exister des anti-étoiles, comme des anti-galaxies dans l’univers.
▬Il me semble évident de dire que l’on ne distingue pas la matière de l’anti-matière à l’échelle de Planck, même avec le vide quantique, mais de dire que l’anti-matière remonte le temps, cela est osé et n’a pas de sens...
▬Pour résumé comme vous le faites vous-même, aucune physique ne s’adresse aux unités et l’échelle de Planck, ceci prouve aussi que les unités de Planck ne sont pas vraiment utilisées dans cette physique quantique, et pourtant ces unités font partie intégrante de cette physique quantique. La raison simple est que l’on ne peu pas mesurer à ces échelles, et si il y a de vraies mesures, elles sont forcément faussées par les instruments eux-mêmes.
▬Je pense qu’il y a une erreur de prénom en début de votre article, car on trouve Edger Gunzig et Simon Diner, et où je pense qu’il faudrait trouver : Edgar Gunzig et Simon Diner, voir même Edgard Gunzig (avec un d).
▬Amicalement. Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN jfp.pouliquen@hotmail.fr

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