Accueil > 01 - Livre Un : PHILOSOPHIE > Annexes philosophiques > Pour commencer l’étude de "Science de la Logique" de Hegel

Pour commencer l’étude de "Science de la Logique" de Hegel

lundi 13 septembre 2021, par Robert Paris

Dans Science de la logique, Hegel écrit :

« L’unique chose pour gagner le procès scientifique, c’est la connaissance de la proposition logique que le négatif est tout aussi bien le positif, ou que ce qui se contredit ne se dissout pas en zéro, dans le néant abstrait, mais essentiellement dans la seule négation de son contenu particulier, ou encore qu’une telle négation n’est pas toute négation, mais la négation de la Chose déterminée qui se dissout, et donc est négation déterminée ; que donc dans le résultat est contenu seulement ce dont il résulte »

(...)

« Ce n’est que récemment que les penseurs ont pris conscience de la difficulté de trouver un début en philosophie, et la raison de cette difficulté ainsi que la possibilité de la résoudre ont été beaucoup discutées. Ce par quoi la philosophie commence doit être soit médiatisée, soit immédiate, et il est facile de montrer qu’elle ne peut être ni l’une ni l’autre ; ainsi, l’une ou l’autre manière de commencer est réfutée.

Le principe d’une philosophie exprime bien sûr aussi un début, mais pas tant subjectif qu’objectif, le début de tout. Le principe est un contenu déterminé particulier - l’eau, l’un, le nous, l’idée, la substance, la monade, etc. Ou, s’il se réfère à la nature de la cognition et n’est par conséquent censé n’être qu’un critère plutôt qu’une détermination objective - la pensée, intuition, sensation, ego, subjectivité elle-même. Là aussi, c’est la nature du contenu qui est le point d’intérêt. Le début en tant que tel, en revanche, comme quelque chose de subjectif au sens d’être une manière particulière et inessentielle d’introduire le discours, reste inconscient, une question d’indifférence, et donc aussi le besoin de trouver une réponse à la question,Avec quoi faut-il commencer ? reste sans importance face à la nécessité d’un principe dans lequel seul l’intérêt de l’affaire en question semble résider, l’intérêt de ce qu’est la vérité, le fondement absolu.

Mais la perplexité moderne sur un commencement procède d’une exigence supplémentaire dont ceux qui sont concernés par la démonstration dogmatique d’un principe ou qui sont sceptiques quant à la recherche d’un critère subjectif contre la philosopher dogmatique, ne sont pas encore conscients, et qui est complètement niée par ceux-ci. qui partent, comme un coup de pistolet, de leur révélation intérieure, de la foi, de l’intuition intellectuelle, etc., et qui seraient exempts de méthode et de logique. Si la pensée abstraite antérieure ne s’intéressait au principe qu’en tant que contenu, mais au cours du développement philosophique a été poussée à prêter attention à l’autre côté, au comportement du processus cognitif, cela implique que l’acte subjectif a également été saisi comme un moment essentiel de vérité objective, et cela entraîne la nécessité d’unir la méthode avec le contenu,la forme avec le principe. Ainsi, le principe doit aussi être le commencement, et ce qui est le premier pour la pensée doit aussi être le premier dans le processus de la pensée.

§ 91

Ici, nous n’avons qu’à considérer comment le commencement logique apparaît ; les deux côtés d’où elle peut être tirée ont déjà été nommés, à savoir, soit comme résultat médiatisé, soit comme début proprement dit, comme immédiateté.

Ce n’est pas ici le lieu de traiter la question apparemment si importante dans la pensée actuelle, si la connaissance de la vérité est une connaissance immédiate ayant un commencement pur, une foi, ou si c’est une connaissance médiatisée. Dans la mesure où cela peut être traité au préalable, cela a été fait ailleurs. Il suffit ici d’en citer ceci, il n’y a rien, rien au ciel, ni dans la nature, ni dans l’esprit ou ailleurs qui ne contienne également à la fois l’immédiateté et la médiation, de sorte que ces deux déterminations se révèlent indissociables et inséparables et le opposition entre eux pour être une nullité. Mais quant à la discussion philosophique de celle-ci, elle se trouve dans toute proposition logique où se produisent les déterminations de l’immédiateté et de la médiation et par conséquent aussi la discussion de leur opposition et de leur vérité.Dans la mesure où cette opposition, liée à la pensée, au savoir, à la cognition, acquiert la forme la plus concrète de connaissance immédiate ou médiatisée, c’est la nature de la cognition en tant que telle qui est considérée dans la science de la logique, tandis que la forme plus concrète de la connaissance la cognition doit être considérée dans la philosophie de l’esprit. Mais vouloir que la nature de la cognition soit clarifiée avant la science, c’est exiger qu’elle soit considérée en dehors de la science ; en dehors de la science, cela ne peut pas être accompli, du moins pas de manière scientifique et une telle manière est seule ici en place. ®tandis que la forme la plus concrète de la cognition est à considérer dans la philosophie de l’esprit. Mais vouloir que la nature de la cognition soit clarifiée avant la science, c’est exiger qu’elle soit considérée en dehors de la science ; en dehors de la science, cela ne peut pas être accompli, du moins pas de manière scientifique et une telle manière est seule ici en place. ®tandis que la forme la plus concrète de la cognition est à considérer dans la philosophie de l’esprit. Mais vouloir que la nature de la cognition soit clarifiée avant la science, c’est exiger qu’elle soit considérée en dehors de la science ; en dehors de la science, cela ne peut pas être accompli, du moins pas de manière scientifique et une telle manière est seule ici en place. ®

Le commencement est logique en ce qu’il doit être fait dans l’élément de pensée qui est libre et pour lui-même, dans la pure connaissance. Elle est médiatisée parce que la connaissance pure est la vérité ultime et absolue de la conscience. Dans l’introduction, il a été remarqué que la phénoménologie de l’esprit est la science de la conscience, son exposition, et que la conscience a pour résultat la notion de science, c’est-à-dire la connaissance pure. La logique a donc pour présupposé la science de l’esprit manifesté, qui contient et démontre la nécessité, et donc la vérité, du point de vue occupé par la connaissance pure et de sa médiation. Dans cette science de l’esprit manifesté, le commencement se fait à partir de la conscience empirique et sensuelle et c’est la connaissance immédiate au sens strict du mot ; dans ce travail, on discute de l’importance de cette connaissance immédiate.D’autres formes de conscience telles que la croyance aux vérités divines, l’expérience intérieure, la connaissance à travers la révélation intérieure, etc., sont très mal adaptées pour être citées comme des exemples de connaissance immédiate comme le montrera un peu de réflexion. Dans le travail que nous venons de mentionner, la conscience immédiate est aussi la première et ce qui est immédiat dans la science elle-même, et donc la présupposition ; mais en logique, le présupposé est ce qui s’est avéré être le résultat de cette considération phénoménologique - l’Idée comme pure connaissance.Dans le travail que nous venons de mentionner, la conscience immédiate est aussi la première et ce qui est immédiat dans la science elle-même, et donc la présupposition ; mais en logique, le présupposé est ce qui s’est avéré être le résultat de cette considération phénoménologique - l’Idée comme pure connaissance.Dans le travail que nous venons de mentionner, la conscience immédiate est aussi la première et ce qui est immédiat dans la science elle-même, et donc la présupposition ; mais en logique, le présupposé est ce qui s’est avéré être le résultat de cette considération phénoménologique - l’Idée comme pure connaissance.

La logique est une science pure, c’est-à-dire une connaissance pure dans toute l’étendue de son développement. Mais dans ledit résultat, cette Idée s’est déterminée à être la certitude devenue vérité, la certitude qui, d’une part, n’a plus l’objet contre elle mais l’a intériorisée, la connaît comme elle-même - et d’autre part, a abandonné la connaissance de soi comme de quelque chose face à l’objet dont il n’est que l’anéantissement, s’est dépouillé de cette subjectivité et ne fait qu’un avec son auto-aliénation.

Maintenant à partir de là, détermination de la connaissance pure, tout ce qu’il faut pour que le début reste immanent à son développement scientifique est de considérer, ou plutôt de se débarrasser de toutes autres réflexions et opinions que ce soit, simplement pour reprendre, ce qui est là. avant nous.

Le savoir pur comme concentré dans cette unité a soustrait toute référence à un autre et à la médiation ; elle est sans aucune distinction et ainsi sans distinction, elle-même cesse d’être connaissance ; ce qui est présent n’est qu’une simple immédiateté.

La simple immédiateté est elle-même une expression de réflexion et contient une référence à sa distinction de ce qui est médiatisé. Cette simple immédiateté, donc, dans sa véritable expression, est l’être pur. Tout comme le savoir pur signifie connaître en tant que tel, de manière assez abstraite, l’être trop pur ne signifie rien d’autre que l’être en général : être, et rien d’autre, sans autre spécification ni remplissage.

Ici le commencement se fait avec l’être qui est représenté comme étant venu par la médiation, médiation qui est aussi une sublimation de lui-même ; et il y a présupposé un savoir pur comme le résultat d’un savoir fini, de la conscience. Mais si aucune présupposition ne doit être faite et que le commencement lui-même est pris immédiatement, alors sa seule détermination est qu’il doit être le commencement de la logique, de la pensée en tant que telle. Tout ce qui est présent est simplement la résolution, qui peut aussi être considérée comme arbitraire, que nous proposons de considérer la pensée comme telle.

Ainsi le commencement doit être un absolu, ou ce qui est synonyme ici, un commencement abstrait ; et ainsi il ne peut rien supposer, ne doit être médiatisé par rien ni avoir de fondement ; c’est plutôt être lui-même le fondement de toute la science. Par conséquent, il doit s’agir purement et simplement d’une immédiateté, ou plutôt simplement de l’immédiateté elle-même. De même qu’il ne peut posséder aucune détermination par rapport à quoi que ce soit d’autre, il ne peut pas non plus contenir en lui-même aucune détermination, aucun contenu ; car tout tel serait une distinction et une interrelation de moments distincts, et par conséquent une médiation. Le commencement est donc l’être pur

A cette simple exposition de ce qui n’est directement impliqué que dans la plus simple de toutes les choses, le commencement logique, nous pouvons ajouter les réflexions suivantes ; pourtant ceux-ci ne peuvent pas être destinés à servir d’élucidations et de confirmations de cette exposition - cela est complet en soi - car ils sont occasionnés par des idées et des réflexions préconçues et ceux-ci, comme tous les autres préjugés préliminaires, doivent être éliminés dans la science même où leur traitement doit être attendu avec patience.

L’idée que la vérité absolue doit être un résultat, et inversement, qu’un résultat présuppose une vérité préalable qui, cependant, parce qu’il s’agit d’une première, objectivement considérée est inutile et du côté subjectif n’est pas connue - cette idée a récemment donné lieu à l’idée que la philosophie ne peut commencer que par une vérité hypothétique et problématique et donc philosopher ne peut être au départ qu’une quête. Ce point de vue a été beaucoup souligné par Reinhold dans ses travaux philosophiques ultérieurs et il faut lui attribuer l’intérêt véritable sur lequel il se fonde, intérêt qui concerne la nature spéculative du début philosophique. La discussion détaillée de ce point de vue est en même temps l’occasion d’introduire une compréhension préliminaire de la signification du progrès en logique en général ; car cette vue a une influence directe sur l’avancée ;cela, il le conçoit comme tel que le progrès de la philosophie est plutôt une régression et un ancrage ou un établissement au moyen desquels nous obtenons d’abord le résultat que ce avec quoi nous avons commencé n’est pas simplement supposé arbitrairement, mais est en fait la vérité, et aussi le premier vérité.

Il faut admettre que c’est une considération importante - que l’on trouvera plus en détail dans la logique elle-même - que l’avancée est une retraite dans le sol, vers ce qui est primaire et vrai, dont dépend et, en fait, de qui vient, ce avec quoi le commencement est fait. Ainsi, la conscience sur son chemin à partir de l’immédiateté avec laquelle elle a commencé est ramenée à la connaissance absolue comme sa vérité la plus profonde. Ce dernier, le sol, est alors aussi ce dont procède le premier, ce qui apparaissait d’abord comme une immédiateté. Cela est vrai dans une mesure encore plus grande de l’esprit absolu qui se révèle comme la vérité suprême concrète et finale de tout être, et qui, à la fin du développement, est connu comme s’extériorisant librement,s’abandonnant à la forme d’un être immédiat - s’ouvrant ou se dépliant [sich entschliessend] dans la création d’un monde qui contient tout ce qui est tombé dans le développement qui a précédé ce résultat et qui par ce renversement de sa position relativement à son commencement se transforme en quelque chose qui dépend du résultat comme principe. L’exigence essentielle pour la science de la logique n’est pas tant que le commencement soit une pure immédiateté, mais plutôt que l’ensemble de la science soit en elle-même un cercle dans lequel le premier est aussi le dernier et le dernier est aussi le premier.L’exigence essentielle pour la science de la logique n’est pas tant que le commencement soit une pure immédiateté, mais plutôt que l’ensemble de la science soit en elle-même un cercle dans lequel le premier est aussi le dernier et le dernier est aussi le premier.L’exigence essentielle pour la science de la logique n’est pas tant que le commencement soit une pure immédiateté, mais plutôt que l’ensemble de la science soit en elle-même un cercle dans lequel le premier est aussi le dernier et le dernier est aussi le premier.

On voit donc que, d’autre part, il faut également considérer comme résultat ce dans quoi le mouvement retourne comme dans son fond. A cet égard, le premier est également le motif et le dernier un dérivé ; puisque le mouvement part du premier et par inférences correctes arrive au dernier en tant que sol, ce dernier est un résultat. De plus, le progrès à partir de ce qui forme le commencement ne doit être considéré que comme une détermination ultérieure de celui-ci, donc ce qui forme le point de départ du développement reste à la base de tout ce qui suit et n’en disparaît pas. Le progrès ne consiste pas seulement dans la dérivation d’un autre, ou dans la transition effectuée en un autre authentique ; et dans la mesure où cette transition se produit, elle est également sous-estimée à nouveau.Ainsi, le commencement de la philosophie est le fondement qui est présent et préservé tout au long du développement ultérieur, restant complètement immanent dans ses déterminations ultérieures.

Par ce progrès, donc, le commencement perd le caractère unilatéral qui s’y rattache comme quelque chose de simplement immédiat et abstrait ; il devient quelque chose de médiatisé, et par conséquent la ligne du progrès scientifique devient un cercle. Il s’ensuit aussi que parce que ce qui forme le commencement est encore peu développé, dépourvu de contenu, il n’est pas vraiment connu au début ; c’est la science de la logique dans toute sa portée qui en constitue d’abord la connaissance complète avec son contenu développé et qui fonde d’abord véritablement cette connaissance.

Mais parce que c’est le résultat qui apparaît comme le fondement absolu, ce progrès de la connaissance n’est pas quelque chose de provisoire, de problématique et d’hypothétique ; il doit être déterminé par la nature de l’objet lui-même et son contenu .®

Ce commencement n’est ni une hypothèse arbitraire et purement provisoire, ni quelque chose qui semble être arbitrairement et provisoirement présupposé, mais dont il est démontré par la suite qu’il en a été correctement fait le début ; pas comme c’est le cas avec les constructions qu’on est amené à faire à propos de la preuve d’un théorème de géométrie, où il n’apparaît qu’après coup dans la preuve qu’on a pris le bon chemin en dessinant seulement ces lignes et ensuite, dans la preuve lui-même, en commençant par la comparaison de ces lignes ou angles ; tracer de telles lignes et les comparer ne sont pas une partie essentielle de la preuve elle-même.

Ainsi le fondement, la raison, pourquoi le commencement est fait avec l’être pur dans la science pure [de la logique] est directement donné dans la science elle-même. Cet être pur est l’unité dans laquelle se retire la connaissance pure, ou, s’il reste à distinguer celle-ci comme forme de son unité, alors l’être est aussi le contenu de la connaissance pure. C’est pris de cette manière que cet être pur, cette immédiateté absolue a également le caractère de quelque chose d’absolument médiatisé. Mais il est également essentiel qu’elle ne soit prise que dans le caractère unilatéral où elle est pure immédiateté, précisément parce qu’ici c’est le début. Si ce n’était cette indétermination pure, si elle avait été déterminée, elle aurait été prise comme quelque chose de médiatisé, quelque chose déjà poussé plus loin : ce qui est déterminé implique un autre à un premier. Par conséquent,il réside dans la nature même d’un commencement qu’il doit être être et rien d’autre. Entrer en philosophie ne demande donc aucune autre préparation, aucune autre réflexion ou aucun autre point de connexion.

Nous ne pouvons pas vraiment extraire de détermination supplémentaire ou de contenu positif pour le début du fait que c’est le début de la philosophie. Car ici au départ, là où le sujet lui-même n’est pas encore à portée de main, la philosophie est un vain mot ou une conception supposée et injustifiée. La connaissance pure ne produit que cette détermination négative, que le début est d’être abstrait. Si l’être pur est pris comme le contenu du savoir pur, alors celui-ci doit prendre du recul par rapport à son contenu, lui permettre d’avoir un jeu libre et ne pas le déterminer davantage. Ou encore, si l’être pur doit être considéré comme l’unité dans laquelle le savoir s’est effondré au point extrême de son union avec l’objet, alors le savoir lui-même a disparu dans cette unité, ne laissant aucune différence avec l’unité et donc rien par lequel ce dernier pourrait être déterminé.Il n’y a non plus rien d’autre présent, aucun contenu qui pourrait être utilisé pour rendre le début plus déterminé.

Mais la détermination d’être adopté jusqu’ici pour le début pourrait également être omise, de sorte que la seule exigence serait qu’un pur commencement soit fait. Dans ce cas, nous n’avons que le début lui-même, et il reste à voir de quoi il s’agit. Cette position pourrait également être suggérée au profit de ceux qui, d’une part, ne sont pas satisfaits pour une raison ou une autre du commencement de l’être et plus encore de la transition qui en résulte de l’être dans le néant, et, d’autre part, ne connais tout simplement pas d’autre manière de commencer une science que de présupposer une idée générale, qui est ensuite analysée, le résultat d’une telle analyse donnant le premier concept spécifique de la science. Si nous aussi observions cette méthode, alors nous serions sans objet particulier, car le commencement, en tant que commencement de la pensée,est censée être assez abstraite, assez générale, entièrement formelle sans aucun contenu ; ainsi nous ne devrions rien avoir du tout au-delà de l’idée générale d’un simple commencement en tant que tel. Nous n’avons donc qu’à voir ce que contient une telle idée.

Pour l’instant il n’y a rien et il y a pour devenir quelque chose, le commencement n’est pas rien pur, mais un rien dont quelque chose doit procéder ; donc l’être aussi est déjà contenu au commencement. Le commencement contient donc les deux, l’être et rien, c’est l’unité de l’être et du rien ; ou est non-être qui est à la fois être et être qui est en même temps non-être. ®

De plus, au commencement, l’être et le rien sont présents comme distingués l’un de l’autre ; car le commencement pointe vers autre chose - c’est un non-être qui porte une référence à l’être comme à un autre ; ce qui commence, n’est pas encore, ce n’est que sur le chemin de l’être.

Ce qui commence, n’est pas encore, ce n’est que sur le chemin de l’être. L’être contenu au commencement est donc un être qui s’éloigne du non-être ou le sublime comme quelque chose qui lui est opposé. ®

Mais encore une fois, ce qui commence déjà est, mais également pas encore. Les contraires, l’être et le non-être y sont donc directement unis ou, autrement exprimés, c’est leur unité indifférenciée.

L’analyse du commencement donnerait ainsi la notion de l’unité de l’être et du rien - ou, sous une forme plus réfléchie, l’unité de la différenciation et de la non-différenciation, ou l’identité de l’identité et de la non-identité. Ce concept pourrait être considéré comme la première, la plus pure, c’est-à-dire la définition la plus abstraite de l’absolu - comme il le serait en fait si nous nous intéressions du tout à la forme des définitions et au nom de l’absolu. En ce sens, ce concept abstrait serait la première définition de cet absolu et toutes les déterminations et développements ultérieurs ne seraient que des définitions plus spécifiques et plus riches de celui-ci. Mais que ceux qui ne sont pas satisfaits de l’être comme commencement parce qu’il passe dans le néant et donne ainsi naissance à l’unité de l’être et du rien,qu’ils voient s’ils trouvent ce commencement qui commence par l’idée générale d’un commencement et par son analyse (qui, bien sûr correcte, conduit également à l’unité de l’être et du rien), plus satisfaisant que le commencement avec l’être.

Mais il y a encore une autre observation à faire à propos de cette procédure. Cette analyse présuppose comme familière l’idée d’un commencement, suivant ainsi l’exemple d’autres sciences. Celles-ci présupposent leur objet et tiennent pour acquis que tout le monde en a à peu près la même idée générale et peut y trouver les mêmes déterminations que celles indiquées par les sciences qui les ont obtenues d’une manière ou d’une autre par l’analyse, la comparaison et autres. types de raisonnement. Mais ce qui forme le commencement absolu doit également être quelque chose de connu autrement ; or, s’il s’agit de quelque chose de concret et donc de diversement déterminé en lui-même, alors ce rapport interne est présupposé comme quelque chose de connu ; elle est donc mise en avant comme une immédiateté, ce qu’elle n’est pourtant pas ; car ce n’est une relation qu’en tant que relation de moments distincts,et il contient donc la médiation en lui-même. De plus, avec un objet concret, l’analyse et la manière dont elle est déterminée sont affectées par la contingence et l’arbitraire. Les déterminations mises en évidence dépendent de ce que chacun trouve dans sa propre idée immédiate et contingente. La relation contenue dans quelque chose de concret, dans une unité synthétique, n’est nécessaire que dans la mesure où elle n’est pas simplement donnée mais produite par le retour spontané des moments dans cette unité - mouvement qui est à l’opposé de la procédure analytique, qui est une activité appartenant au penseur-sujet et extérieure au sujet lui-même.Les déterminations mises en évidence dépendent de ce que chacun trouve dans sa propre idée immédiate et contingente. La relation contenue dans quelque chose de concret, dans une unité synthétique, n’est nécessaire que dans la mesure où elle n’est pas simplement donnée mais produite par le retour spontané des moments dans cette unité - mouvement qui est à l’opposé de la procédure analytique, qui est une activité appartenant au penseur-sujet et extérieure au sujet lui-même.Les déterminations mises en évidence dépendent de ce que chacun trouve dans sa propre idée immédiate et contingente. La relation contenue dans quelque chose de concret, dans une unité synthétique, n’est nécessaire que dans la mesure où elle n’est pas simplement donnée mais produite par le retour spontané des moments dans cette unité - mouvement qui est à l’opposé de la procédure analytique, qui est une activité appartenant au penseur-sujet et extérieure au sujet lui-même.qui est une activité appartenant au penseur-sujet et extérieure au sujet lui-même.qui est une activité appartenant au penseur-sujet et extérieure au sujet lui-même.

Ce qui précède montre très clairement la raison pour laquelle le début ne peut se faire avec rien de concret, quoi que ce soit contenant une relation en soi. Car de tels présupposent un processus interne de médiation et de transition dont le concret, désormais devenu simple, serait le résultat. Mais le commencement ne doit pas être lui-même déjà un premier et un autre ; car tout ce qui est en soi un premier et un autre implique qu’un progrès a déjà été fait. Par conséquent, ce qui constitue le commencement, le commencement lui-même, est à prendre comme quelque chose d’inanalysable, pris dans son immédiateté simple et non remplie, et donc comme étant, comme l’être complètement vide.

§ 115

Si l’impatience face à la considération du commencement abstrait devait amener quelqu’un à dire que le commencement doit être fait non pas avec le commencement, mais directement avec le sujet lui-même, eh bien, ce sujet n’est rien d’autre que ledit être vide ; car ce qu’est ce sujet, cela ne sera expliqué que dans le développement de la science et ne peut être présupposé par elle comme connu à l’avance.

Quelle que soit l’autre forme que prendra le début dans la tentative de commencer par autre chose que l’être vide, il souffrira des défauts déjà spécifiés. Que ceux qui ne sont pas encore satisfaits de ce début abordent le problème de l’évitement de ces défauts en commençant d’une autre manière.

Mais nous ne pouvons pas laisser entièrement ignoré un début original de philosophie qui est récemment devenu célèbre, le début avec l’ego. Cela venait en partie de la réflexion que de la première vérité toute la suite doit être dérivée, et en partie de l’exigence que la première vérité doit être quelque chose que nous connaissons, et plus encore, quelque chose dont nous sommes immédiatement certains. Ce début n’est, en général, pas une idée contingente qui peut se constituer différemment dans différents sujets. Pour l’ego, cette conscience immédiate de soi, semble d’abord être elle-même à la fois une immédiateté et aussi quelque chose de beaucoup plus familier à nous que toute autre idée ; tout ce qui est connu appartient à l’ego, il est vrai, mais reste un contenu qui s’en distingue et donc contingent ; l’ego, au contraire,est la simple certitude de lui-même.

Mais l’ego en tant que tel est en même temps aussi concret, ou plutôt, l’ego est la plus concrète de toutes les choses - la conscience de lui-même en tant que monde infiniment multiple. Avant que l’ego, cet Être concret, puisse devenir le commencement et le fondement de la philosophie, il doit être perturbé - c’est l’acte absolu par lequel l’ego se purge de son contenu et prend conscience de lui-même en tant qu’ego abstrait. Seul cet ego pur n’est pas immédiat, n’est pas l’ego familier et ordinaire de notre conscience auquel la science de la logique pourrait être directement liée pour tout le monde. Cet acte, à proprement parler, ne serait rien d’autre que l’élévation au point de vue du savoir pur où la distinction du sujet et de l’objet a disparu. Mais comme cela a été immédiatement exigé, cette élévation est un postulat subjectif ; se prouver une vraie demande,la progression de l’ego concret de la conscience immédiate à la connaissance pure doit avoir été indiquée et exposée par la nécessité de l’ego lui-même. Sans ce mouvement objectif, la connaissance pure, même sous la forme de l’intuition intellectuelle, apparaît comme un point de vue arbitraire, voire comme l’un des états empiriques de conscience par rapport auxquels tout tourne selon qu’il se trouve ou ne peut pas être produit dans chacun. et chaque individu. Mais dans la mesure où cet ego pur doit être essentiel, la connaissance pure et la connaissance pure ne sont pas immédiatement présentes dans la conscience individuelle mais seulement telles qu’elles sont posées par l’acte absolu de l’ego en s’élevant à ce point de vue, nous perdons l’avantage même qui est censé venir de ce début de philosophie à savoir que c’est quelque chose de tout à fait familier,quelque chose que chacun trouve en lui-même qui peut constituer le point de départ d’une réflexion plus approfondie ; que l’ego pur, au contraire, dans sa nature abstraite, essentielle, est quelque chose d’inconnu à la conscience ordinaire, quelque chose qu’elle n’y trouve pas. Au lieu de cela, un tel début comporte l’inconvénient de l’illusion que si la chose en discussion est censée être quelque chose de familier, l’ego de la conscience de soi empirique, c’est en fait quelque chose de très éloigné de lui. Lorsque la connaissance pure est caractérisée comme l’ego, elle agit comme un rappel perpétuel de l’ego subjectif dont les limites doivent être oubliées, et elle favorise l’idée que les propositions et les relations résultant du développement ultérieur de l’ego sont présentes et peuvent déjà être trouvées dans la conscience ordinaire - car en fait c’est ce dont ils sont affirmés.Cette confusion, loin de clarifier le problème d’un début, ne fait qu’ajouter aux difficultés en jeu et tend complètement à induire en erreur ; chez les non-initiés, il a donné lieu aux malentendus les plus cruels.

De plus, en ce qui concerne la détermination subjective du moi en général, il est vrai que la connaissance pure libère le moi du sens restreint qui lui est imposé par l’opposition insurmontable de son objet ; mais pour cette raison, il serait au moins superflu de conserver cette attitude subjective et la détermination du savoir pur comme ego. Cette détermination, cependant, introduit non seulement l’ambiguïté inquiétante mentionnée, mais examinée de près, elle reste également un ego subjectif. Le développement actuel de la science qui part de l’ego montre que dans ce développement l’objet a et conserve le caractère pérenne d’un autre pour l’ego, et que l’ego qui a formé le point de départ est, par conséquent, toujours enchevêtré dans le monde de l’ego. l’apparence ® et n’est pas le savoir pur qui a en vérité vaincu l’opposition de la conscience.

A cet égard, une autre observation essentielle doit être faite, à savoir que, bien que l’ego puisse en lui-même ou en principe [une sich] être caractérisé comme pure connaissance ou comme intuition intellectuelle et affirmé comme le début, nous ne sommes pas concernés par la science de la logique. avec ce qui est présent seulement en principe ou comme quelque chose d’intérieur, mais plutôt avec la réalité déterminée en pensée de ce qui est intérieur et avec la détermination que possède un tel intérieur dans cette réalité. Mais ce qui, au début de la science, est effectivement présent de l’intuition intellectuelle - ou de l’éternel, du divin, de l’absolu, si son objet est ainsi nommé - ne peut être autre chose qu’une détermination première, immédiate, simple. Quel que soit le nom plus riche qu’on lui donne que celui qui est exprimé par le simple être,la considération d’un tel absolu doit se limiter uniquement à la manière dont il entre dans notre savoir comme pensée et s’énonce comme tel. Il est vrai que l’intuition intellectuelle est le rejet forcé de la médiation et de la réflexion externe ratiocinative ; mais ce qu’elle énonce au-delà de la simple immédiateté, c’est quelque chose de concret, quelque chose qui contient en lui-même des déterminations diverses. Cependant, comme nous l’avons remarqué, l’énonciation et l’exposition d’un tel commencement concret est un processus de médiation qui part de l’une des déterminations et avance vers l’autre, même si celle-ci revient à la première ; c’est un mouvement qui en même temps peut ne pas être arbitraire ou assertorique. Par conséquent, ce n’est pas le quelque chose de concret lui-même avec lequel commence cette exposition mais seulement la simple immédiateté à partir de laquelle le mouvement part.Et de plus, si quelque chose de concret est pris comme commencement, la conjonction des déterminations qu’il contient exige une preuve, et cela fait défaut.

Si, par conséquent, dans l’expression de l’absolu, ou éternel, ou Dieu (et Dieu a le droit absolument incontesté que le commencement soit fait avec lui) - si dans l’intuition ou la pensée de ceux-ci il y a plus qu’un être pur - alors ce plus doit faire son apparition dans notre savoir seulement comme quelque chose de pensé, non comme quelque chose d’imaginé ou de conçu au sens figuré ; que ce qui est présent dans l’intuition ou la conception figurée soit aussi riche que possible, la détermination qui émerge d’abord dans la connaissance est simple, car ce n’est que dans ce qui est simple qu’il n’y a rien de plus que le pur commencement ; seul l’immédiat est simple, car ce n’est que dans l’immédiat que l’on n’a pas encore avancé de l’un à l’autre. Par conséquent, tout ce qui est destiné à être exprimé ou impliqué au-delà de l’être, dans les formes plus riches de représentation de l’absolu ou de Dieu,ce n’est au début qu’un mot vide et seulement un être ; cette simple détermination qui n’a pas d’autre sens d’aucune sorte, ce vide, est donc simplement en tant que telle le commencement de la philosophie.

Cet aperçu est lui-même si simple que ce début en tant que tel ne nécessite aucune préparation ni introduction supplémentaire ; et, en effet, ces réflexions extérieures préliminaires à son sujet ne visaient pas tant à y conduire qu’à éliminer tous les préliminaires. Division générale de l’être

L’être est déterminé, d’abord, contre un autre en général ; Deuxièmement, en tant qu’autodétermination immanente ; Troisièmement, en mettant de côté le caractère préliminaire de cette division, c’est l’indétermination abstraite et l’immédiateté dont elle doit être le début.

Selon la première détermination, l’être est classé comme distinct de l’essence, car plus tard dans son développement il s’avère n’être dans sa totalité qu’une seule sphère de la Notion et à cette sphère comme moment, il oppose une autre sphère.

Selon la seconde détermination, c’est la sphère dans laquelle s’inscrivent les déterminations et tout le mouvement de sa réflexion. Ici, l’être se posera en trois déterminations :

I en tant que déterminité en tant que telle : qualité II en tant que déterminativité sous-estimée : grandeur, quantité III en tant que quantité qualitativement déterminée : mesure.

A ce stade, cette division est, comme on l’a fait remarquer de ces divisions généralement dans l’introduction, une déclaration préliminaire ; ses déterminations doivent d’abord découler du mouvement de l’être lui-même et, ce faisant, se définir et se justifier. Quant à la divergence de cette classification par rapport à la présentation habituelle des catégories, à savoir en tant que quantité, qualité, rapport et modalité - celles-ci de plus chez Kant sont censées n’être que des titres pour ses catégories alors qu’elles ne sont, en fait, elles-mêmes que des catégories, les plus générales - cela n’appelle ici aucun commentaire spécial, car l’exposition entière montrera une divergence complète par rapport à la disposition et à la signification habituelles des catégories.

On peut peut-être remarquer que, jusqu’à présent, la détermination de la quantité a été faite pour précéder la qualité et ceci comme c’est le plus souvent le cas - sans raison donnée. Il a déjà été montré que le début se fait avec l’être comme tel, donc avec l’être qualitatif. Il est facile de voir à partir d’une comparaison de la qualité avec la quantité que la première, de par sa nature, est la première. Car la quantité est une qualité déjà devenue négative ; la grandeur est la détermination qui n’est plus un avec l’être mais qui s’en différencie déjà, qualité sublatée devenue indifférente. Il inclut l’altérité de l’être, bien que la catégorie elle-même, à savoir l’être, dont il est la détermination, n’en soit pas altérée. Le déterminisme qualitatif, au contraire, ne fait qu’un avec son être : il ne le dépasse ni ne lui est interne,mais c’est sa limitation immédiate. La qualité, donc, en tant que détermination immédiate, est primordiale et c’est avec elle que le commencement doit être fait.

La mesure est une relation, mais pas une relation en général, car c’est la relation spécifique entre la qualité et la quantité ; les catégories que Kant inclut sous relation seront examinées dans un tout autre lieu. La mesure peut aussi, si l’on le souhaite, être considérée comme une modalité ; mais puisque chez Kant la modalité n’est plus censée constituer une détermination du contenu, mais ne concerner que le rapport du contenu à la pensée, à l’élément subjectif, c’est un rapport assez hétérogène et non pertinent ici.

La troisième détermination de l’être relève de la section Qualité, car en tant qu’immédiateté abstraite, elle se réduit à une seule détermination par rapport à ses autres déterminances dans sa sphère.

Lire aussi :

Résumé de la Science de la logique de Hegel

Lire ensuite

Lire enfin

Read also :

It is only in recent times that thinkers have become aware of the difficulty of finding a beginning in philosophy, and the reason for this difficulty and also the possibility of resolving it has been much discussed. What philosophy begins with must be either mediated or immediate, and it is easy to show that it can be neither the one nor the other ; thus either way of beginning is refuted.

The principle of a philosophy does, of course, also express a beginning, but not so much a subjective as an objective one, the beginning of everything. The principle is a particular determinate content — water, the one, nous, idea, substance, monad, etc. Or, if it refers to the nature of cognition and consequently is supposed to be only a criterion rather than an objective determination — thought, intuition, sensation, ego, subjectivity itself. Then here too it is the nature of the content which is the point of interest. The beginning as such, on the other hand, as something subjective in the sense of being a particular, inessential way of introducing the discourse, remains unconsidered, a matter of indifference, and so too the need to find an answer to the question, With what should the beginning be made ? remains of no importance in face of the need for a principle in which alone the interest of the matter in hand seems to lie, the interest as to what is the truth, the absolute ground.

But the modern perplexity about a beginning proceeds from a further requirement of which those who are concerned with the dogmatic demonstration of a principle or who are sceptical about finding a subjective criterion against dogmatic philosophising, are not yet aware, and which is completely denied by those who begin, like a shot from a pistol, from their inner revelation, from faith, intellectual Intuition, etc., and who would be exempt from method and logic. If earlier abstract thought was interested in the principle only as content, but in the course of philosophical development has been impelled to pay attention to the other side, to the behaviour of the cognitive process, this implies that the subjective act has also been grasped as an essential moment of objective truth, and this brings with it the need to unite the method with the content, the form with the principle. Thus the principle ought also to be the beginning, and what is the first for thought ought also to be the first in the process of thinking.

§ 91

Here we have only to consider how the logical beginning appears ; the two sides from which it can be taken have already been named, to wit, either as a mediated result or as a beginning proper, as an immediacy.

This is not the place to deal with the question apparently so important in present-day thought, whether the knowledge of truth is an immediate knowledge having a pure beginning, a faith, or whether it is a mediated knowledge . In so far as this can be dealt with preliminarily it has been done elsewhere. Here we need only quote from it this, there is nothing, nothing in heaven, or in nature or in mind or anywhere else which does not equally contain both immediacy and mediation, so that these two determinations reveal themselves to be unseparated and inseparable and the opposition between them to be a nullity. But as regards the philosophical discussion of this, it is to be found in every logical proposition in which occur the determinations of immediacy and mediation and consequently also the discussion of their opposition and their truth. Inasmuch as this opposition, as related to thinking, to knowing, to cognition, acquires the more concrete form of immediate or mediated knowledge, it is the nature of cognition as such which is considered within the science of logic, while the more concrete form of cognition falls to be considered in the philosophy of spirit. But to want the nature of cognition clarified prior to the science is to demand that it be considered outside the science ; outside the science this cannot be accomplished, at least not in a scientific manner and such a manner is alone here in place. ®

The beginning is logical in that it is to be made in the element of thought that is free and for itself, in pure knowing. It is mediated because pure knowing is the ultimate, absolute truth of consciousness. In the Introduction it was remarked that the phenomenology of spirit is the science of consciousness, the exposition of it, and that consciousness has for result the Notion of science, i.e. pure knowing. Logic, then, has for its presupposition the science of manifested spirit, which contains and demonstrates the necessity, and so the truth, of the standpoint occupied by pure knowing and of its mediation. In this science of manifested spirit the beginning is made from empirical, sensuous consciousness and this is immediate knowledge in the strict sense of the word ; in that work there is discussed the significance of this immediate knowledge. Other forms of consciousness such as belief in divine truths, inner experience, knowledge through inner revelation, etc., are very ill-fitted to be quoted as examples of immediate knowledge as a little reflection will show. In the work just mentioned immediate consciousness is also the first and that which is immediate in the science itself, and therefore the presupposition ; but in logic, the presupposition is that which has proved itself to be the result of that phenomenological consideration — the Idea as pure knowledge.

Logic is pure science, that is, pure knowledge in the entire range of its development. But in the said result, this Idea has determined itself to be the certainty which has become truth, the certainty which, on the one hand, no longer has the object over against it but has internalised it, knows it as its own self — and, on the other hand, has given up the knowledge of itself as of something confronting the object of which it is only the annihilation, has divested itself of this subjectivity and is at one with its self-alienation.

Now starting from this, determination of pure knowledge, all that is needed to ensure that the beginning remains immanent in its scientific development is to consider, or rather, ridding oneself of all other reflections and opinions whatever, simply to take up, what is there before us.

Pure knowing as concentrated into this unity has sublated all reference to an other and to mediation ; it is without any distinction and as thus distinctionless, ceases itself to be knowledge ; what is present is only simple immediacy.

Simple immediacy is itself an expression of reflection and contains a reference to its distinction from what is mediated. This simple immediacy, therefore, in its true expression is pure being. Just as pure knowing is to mean knowing as such, quite abstractly, so too pure being is to mean nothing but being in general : being, and nothing else, without any further specification and filling.

Here the beginning is made with being which is represented as having come to be through mediation, a mediation which is also a sublating of itself ; and there is presupposed pure knowing as the outcome of finite knowing, of consciousness. But if no presupposition is to be made and the beginning itself is taken immediately, then its only determination is that it is to be the beginning of logic, of thought as such. All that is present is simply the resolve, which can also be regarded as arbitrary, that we propose to consider thought as such.

Thus the beginning must be an absolute, or what is synonymous here, an abstract beginning ; and so it may not suppose anything, must not be mediated by anything nor have a ground ; rather it is to be itself the ground of the entire science. Consequently, it must be purely and simply an immediacy, or rather merely immediacy itself. Just as it cannot possess any determination relatively to anything else, so too it cannot contain within itself any determination, any content ; for any such would be a distinguishing and an inter-relationship of distinct moments, and consequently a mediation. The beginning therefore is pure being

To this simple exposition of what is only directly involved in the simplest of all things, the logical beginning, we may add the following further reflections ; yet these cannot be meant to serve as elucidations and confirmations of that exposition — this is complete in itself — since they are occasioned by preconceived ideas and reflections and these, like all other preliminary prejudices, must be disposed of within the science itself where their treatment should be awaited with patience.

The insight that absolute truth must be a result, and conversely, that a result presupposes a prior truth which, however, because it is a first, objectively considered is unnecessary and from the subjective side is not known — this insight has recently given rise to the thought that philosophy can only begin with a hypothetical and problematical truth and therefore philosophising can at first be only a quest. This view was much stressed by Reinhold in his later philosophical work and one must give it credit for the genuine interest on which it is based, an interest which concerns the speculative nature of the philosophical beginning. The detailed discussion of this view is at the same time an occasion for introducing a preliminary understanding of the meaning of progress in logic generally ; for that view has a direct bearing on the advance ; this it conceives to be such that progress in philosophy is rather a retrogression and a grounding or establishing by means of which we first obtain the result that what we began with is not something merely arbitrarily assumed but is in fact the truth, and also the primary truth.

It must be admitted that it is an important consideration — one which will be found in more detail in the logic itself — that the advance is a retreat into the ground, to what is primary and true, on which depends and, in fact, from which originates, that with which the beginning is made. Thus consciousness on its onward path from the immediacy with which it began is led back to absolute knowledge as its innermost truth. This last, the ground, is then also that from which the first proceeds, that which at first appeared as an immediacy. This is true in still greater measure of absolute spirit which reveals itself as the concrete and final supreme truth of all being, and which at the end of the development is known as freely externalising itself, abandoning itself to the shape of an immediate being —opening or unfolding itself [sich entschliessend] into the creation of a world which contains all that fell into the development which preceded that result and which through this reversal of its position relatively to its beginning is transformed into something dependent on the result as principle. The essential requirement for the science of logic is not so much that the beginning be a pure immediacy, but rather that the whole of the science be within itself a circle in which the first is also the last and the last is also the first.

We see therefore that, on the other hand, it is equally necessary to consider as result that into which the movement returns as into its ground. In this respect the first is equally the ground, and the last a derivative ; since the movement starts from the first and by correct inferences arrives at the last as the ground, this latter is a result. Further, the progress from that which forms the beginning is to be regarded as only a further determination of it, hence that which forms the starting point of the development remains at the base of all that follows and does not vanish from it. The progress does not consist merely in the derivation of an other, or in the effected transition into a genuine other ; and in so far as this transition does occur it is equally sublated again. Thus the beginning of philosophy is the foundation which is present and preserved throughout the entire subsequent development, remaining completely immanent in its further determinations.

Through this progress, then, the beginning loses the one-sidedness which attaches to it as something simply immediate and abstract ; it becomes something mediated, and hence the line of the scientific advance becomes a circle. It also follows that because that which forms the beginning is still undeveloped, devoid of content, it is not truly known in the beginning ; it is the science of logic in its whole compass which first constitutes the completed knowledge of it with its developed content and first truly grounds that knowledge.

But because it is the result which appears as the absolute ground, this progress in knowing is not something provisional, or problematical and hypothetical ; it must be determined by the nature of the subject matter itself and its content.®

The said beginning is neither an arbitrary and merely provisional assumption, nor is it something which appears to be arbitrarily and tentatively presupposed, but which is subsequently shown to have been properly made the beginning ; not as is the case with the constructions one is directed to make in connection with the proof of a theorem in geometry, where it becomes apparent only afterwards in the proof that one took the right course in drawing just those lines and then, in the proof itself, in beginning with the comparison of those lines or angles ; drawing such lines and comparing them are not an essential part of the proof itself.

Thus the ground, the reason, why the beginning is made with pure being in the pure science [of logic] is directly given in the science itself. This pure being is the unity into which pure knowing withdraws, or, if this itself is still to be distinguished as form from its unity, then being is also the content of pure knowing. It is when taken in this way that this pure being, this absolute immediacy has equally the character of something absolutely mediated. But it is equally essential that it be taken only in the one-sided character in which it is pure immediacy, precisely because here it is the beginning. If it were not this pure indeterminateness, if it were determinate, it would have been taken as something mediated, something already carried a stage further : what is determinate implies an other to a first. Therefore, it lies in the very nature of a beginning that it must be being and nothing else. To enter into philosophy, therefore, calls for no other preparations, no further reflections or points of connection.

We cannot really extract any further determination or positive content for the beginning from the fact that it is the beginning of philosophy. For here at the start, where the subject matter itself is not yet to hand, philosophy is an empty word or some assumed, unjustified conception. Pure knowing yields only this negative determination, that the beginning is to be abstract. If pure being is taken as the content of pure knowing, then the latter must stand back from its content, allowing it to have free play and not determining it further. Or again, if pure being is to be considered as the unity into which knowing has collapsed at the extreme point of its union with the object, then knowing itself has vanished in that unity, leaving behind no difference from the unity and hence nothing by which the latter could be determined. Nor is there anything else present, any content which could be used to make the beginning more determinate.

But the determination of being so far adopted for the beginning could also be omitted, so that the only demand would be that a pure beginning be made. In that case, we have nothing but the beginning itself, and it remains to be seen what this is. This position could also be suggested for the benefit of those who, on the one hand, are dissatisfied for one reason or another with the beginning with being and still more so with the resulting transition of being into nothing, and, on the other hand, simply know no other way of beginning a science than by presupposing some general idea, which is then analysed, the result of such analysis yielding the first specific concept in the science. If we too were to observe this method, then we should be without a particular object, because the beginning, as the beginning of thought, is supposed to be quite abstract, quite general, wholly form without any content ; thus we should have nothing at all beyond the general idea of a mere beginning as such. We have therefore only to see what is contained in such an idea.

As yet there is nothing and there is to become something the beginning is not pure nothing, but a nothing from which something is to proceed ; therefore being, too, is already contained in the beginning. The beginning therefore contains both, being and nothing, is the unity of being and nothing ; or is non-being which is at the same time being, and being which is at the same time non-being. ®

Further, in the beginning, being and nothing are present as distinguished from each other ; for the beginning points to something else — it is a non-being which carries a reference to being as to an other ; that which begins, as yet is not, it is only on the way to being.

That which begins, as yet is not, it is only on the way to being. The being contained in the beginning is, therefore, a being which removed itself from non-being or sublates it as something opposed to it. ®

But again, that which begins already is, but equally, too, is not as yet. The opposites, being and non-being are therefore directly united in it, or, otherwise expressed, it is their undifferentiated unity.

The analysis of the beginning would thus yield the notion of the unity of being and nothing — or, in a more reflected form, the unity of differentiatedness and non-differentiatedness, or the identity of identity and non-identity. This concept could be regarded as the first, purest, that is, most abstract definition of the absolute — as it would in fact be if we were at all concerned with the form of definitions and with the name of the absolute. In this sense, that abstract concept would be the first definition of this absolute and all further determinations and developments only more specific and richer definitions of it. But let those who are dissatisfied with being as a beginning because it passes over into nothing and so gives rise to the unity of being and nothing, let them see whether they find this beginning which begins with the general idea of a beginning and with its analysis (which, though of course correct, likewise leads to the unity of being and nothing), more satisfactory than the beginning with being.

But there is a still further observation to be made about this procedure. The said analysis presupposes as familiar the idea of a beginning, thus following the example of other sciences. These presuppose their subject-matter and take it for granted that everyone has roughly the same general idea of it and can find in it the same determinations as those indicated by the sciences which have obtained them in one way or another through analysis, comparison and other kinds of reasoning. But that which forms the absolute beginning must likewise be something otherwise known ; now if it is something concrete and hence is variously determined within itself, then this internal relation is presupposed as something known ; it is thus put forward as an immediacy which, however, it is not ; for it is a relation only as a relation of distinct moments, and it therefore contains mediation within itself. Further, with a concrete object, the analysis and the ways in which it is determined are affected by contingency and arbitrariness. Which determinations are brought out depends on what each person just finds in his own immediate, contingent idea. The relation contained in something concrete, in a synthetic unity, is necessary only in so far as it is not just given but is produced by the spontaneous return of the moments back into this unity — a movement which is the opposite of the analytical procedure, which is an activity belonging to the subject-thinker and external to the subject matter itself.

The foregoing shows quite clearly the reason why the beginning cannot be made with anything concrete, anything containing a relation within itself. For such presupposes an internal process of mediation and transition of which the concrete, now become simple, would be the result. But the beginning ought not itself to be already a first and an other ; for anything which is in its own self a first and an other implies that an advance has already been made. Consequently, that which constitutes the beginning, the beginning itself, is to be taken as something unanalysable, taken in its simple, unfilled immediacy, and therefore as being, as the completely empty being.

§ 115

If impatience with the consideration of the abstract beginning should provoke anyone to say that the beginning should be made not with the beginning, but straightway with the subject matter itself, well then, this subject matter is nothing else but the said empty being ; for what this subject matter is, that will be explicated only in the development of the science and cannot be presupposed by it as known beforehand.

Whatever other form the beginning takes in the attempt to begin with something other than empty being, it will suffer from the defects already specified. Let those who are still dissatisfied with this beginning tackle the problem of avoiding these defects by beginning in some other way.

But we cannot leave entirely unmentioned an original beginning of philosophy which has recently become famous, the beginning with the ego. It came partly from the reflection that from the first truth the entire sequel must be derived, and partly from the requirement that the first truth must be something with which we are acquainted, and still more, something of which we are immediately certain. This beginning is, in general, not a contingent idea which can be differently constituted in different subjects. For the ego, this immediate consciousness of self, at first appears to be itself both an immediacy and also something much more familiar to us than any other idea ; anything else known belongs to the ego, it is true, but is still a content distinguished from it and therefore contingent ; the ego, on the contrary, is the simple certainty of its own self.

But the ego as such is at the same time also concrete, or rather, the ego is the most concrete of all things — the consciousness of itself as an infinitely manifold world. Before the ego, this concrete Being, can be made the beginning and ground of philosophy, it must be disrupted — this is the absolute act through which the ego purges itself of its content and becomes aware of itself as an abstract ego. Only this pure ego now is not immediate, is not the familiar, ordinary ego of our consciousness to which the science of logic could be directly linked for everyone. That act, strictly speaking, would be nothing else but the elevation to the standpoint of pure knowing where the distinction of subject and object has vanished. But as thus immediately demanded, this elevation is a subjective postulate ; to prove itself a genuine demand, the progression of the concrete ego from immediate consciousness to pure knowing must have been indicated and exhibited through the necessity of the ego itself. Without this objective movement pure knowing, even in the shape of intellectual intuition, appears as an arbitrary standpoint, or even as one of the empirical states of consciousness with respect to which everything turns on whether or not it is found or can be produced in each and every individual. But inasmuch as this pure ego must be essential, pure knowing, and pure knowing is not immediately present in the individual consciousness but only as posited through the absolute act of the ego in raising itself to that stand-point, we lose the very advantage which is supposed to come from this beginning of philosophy namely that it is something thoroughly familiar, something everyone finds in himself which can form the starting point for further reflection ; that pure ego, on the contrary, in its abstract, essential nature, is something unknown to the ordinary consciousness, something it does not find therein. Instead, such a beginning brings with it the disadvantage of the illusion that whereas the thing under discussion is supposed to be something familiar, the ego of empirical self-consciousness, it is in fact something far removed from it. When pure knowing is characterised as ego, it acts as a perpetual reminder of the subjective ego whose limitations should be forgotten, and it fosters the idea that the propositions and relations resulting from the further development of the ego are present and can already be found in the ordinary consciousness — for in fact it is this of which they are asserted. This confusion, far from clarifying the problem of a beginning, only adds to the difficulties involved and tends completely to mislead ; among the uninitiated it has given rise to the crudest misunderstandings.

Further, as regards the subjective determinateness of the ego in general, it is true that pure knowing frees the ego from the restricted meaning imposed on it by the insuperable opposition of its object ; but for this reason it would be superfluous at least to retain this subjective attitude and the determination of pure knowing as ego. This determination, however, not only introduces the disturbing ambiguity mentioned, but closely examined it also remains a subjective ego. The actual development of the science which starts from the ego shows that in that development the object has and retains the perennial character of an other for the ego, and that the ego which formed the starting point is, therefore, still entangled in the world of appearance ® and is not the pure knowing which has in truth overcome the opposition of consciousness.

In this connection a further essential observation must be made, namely that although the ego could in itself or in principle [an sich] be characterised as pure knowing or as intellectual intuition and asserted as the beginning, we are not concerned in the science of logic with what is present only in principle or as something inner, but rather with the determinate reality in thought of what is inner and with the determinateness possessed by such an inner in this reality. But what, at the beginning of the science, is actually present of intellectual intuition – or of the eternal, the divine, the absolute, if its object be so named – cannot be anything else than a first, immediate, simple determination. Whatever richer name be given to it than is expressed by mere being, the consideration of such absolute must be restricted solely to the way in which it enters into our knowing as thought and is enunciated as such. True, intellectual intuition is the forcible rejection of mediation and the ratiocinative, external reflection ; but what it enunciates above and beyond simple immediacy is something concrete, something which contains within itself diverse determinations. However, as we have remarked, the enunciation and exposition of such concrete beginning is a process of mediation which starts from one of the determinations and advances to the other, even though the latter returns to the first ; it is a movement which at the same time may not be arbitrary or assertoric. Consequently, it is not the concrete something itself with which that exposition begins but only the simple immediacy from which the movement starts. And further, if something concrete is taken as the beginning, the conjunction of the determinations contained in it demand proof, and this is lacking.

If, therefore, in the expression of the absolute, or eternal, or God (and God has the absolutely undisputed right that the beginning be made with him) — if in the intuition or thought of these there is implied more than pure being — then this more must make its appearance in our knowing only as something thought, not as something imagined or figurately conceived ; let what is present in intuition or figurate conception be as rich as it may, the determination which first emerges in knowing is simple, for only in what is simple is there nothing more than the pure beginning ; only the immediate is simple, for only in the immediate has no advance yet been made from a one to an other. Consequently, whatever is intended to be expressed or implied beyond being, in the richer forms of representing the absolute or God, this is in the beginning only an empty word and only being ; this simple determination which has no other meaning of any kind, this emptiness, is therefore simply as such the beginning of philosophy.

This insight is itself so simple that this beginning as such requires no preparation or further introduction ; and, indeed, these preliminary, external reflections about it were not so much intended to lead up to it as rather to eliminate all preliminaries.
General Division of Being

Being is determined, first, as against another in general ;
Secondly, as immanently self-determining ;
Thirdly, setting aside the preliminary character of this division, it is the abstract indeterminateness and immediacy in which it must be the beginning.

According to the first determination, being is classified as distinct from essence, for later in its development it proves to be in its totality only one sphere of the Notion and to this sphere as moment, it opposes another sphere.

According to the second determination, it is the sphere within which fall the determinations and the entire movement of its reflection. Here, being will posit itself in three determinations :

I as determinateness as such : quality
II as sublated determinateness : magnitude, quantity
III as qualitatively determined quantity : measure.

At this stage, this division is, as was remarked of these divisions generally in the Introduction, a preliminary statement ; its determinations have first to arise from the movement of being itself and in so doing define and justify themselves. As regards the divergence of this classification from the usual presentation of the categories, namely, as quantity, quality, relation and modality — these moreover with Kant are supposed to be only titles for his categories though they are, in fact, themselves categories, only more general ones — this calls for no special comment here, as the entire exposition will show a complete divergence from the usual arrangement and significance of the categories.

This only perhaps can be remarked, that hitherto the determination of quantity has been made to precede quality and this as is mostly the case — for no given reason. It has already been shown that the beginning is made with being as such, therefore, with qualitative being. It is easily seen from a comparison of quality with quantity that the former by its nature is first. For quantity is quality which has already become negative ; magnitude is the determinateness which is no longer one with being but is already differentiated from it, sublated quality which has become indifferent. It includes the alterableness of being, although the category itself, namely Being, of which it is the determination, is not altered by it. The qualitative determinateness, on the other hand, is one with its being : it neither goes beyond it nor is internal to it, but is its immediate limitedness. Quality therefore, as the immediate determinateness, is primary and it is with it that the beginning must be made.

Measure is a relation, but not relation in general, for it is the specific relation between quality and quantity ; the categories which Kant includes under relation will come up for consideration in quite another place. Measure can also, if one wishes, be regarded as a modality ; but since with Kant modality is supposed no longer to constitute a determination of the content, but to concern only the relation of the content to thought, to the subjective element, it is a quite heterogeneous relation and is not pertinent here.

The third determination of being falls within the section Quality, for as abstract immediacy it reduces itself to a single determinateness in relation to its other determinatenesses within its sphere.

Read in english

Un message, un commentaire ?

modération a priori

Ce forum est modéré a priori : votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par un administrateur du site.

Qui êtes-vous ?
Votre message

Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.