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La chute de la ville d’El Tajin, capitale des Totonaques, en 1200 et son abandon en 1230 - La caída de la ciudad de El Tajín, capital de los totonacos, en 1200 y su abandono en 1230.

mardi 14 mai 2019, par Robert Paris

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La chute de la ville d’El Tajin, capitale des Totonaques, en 1200 et son abandon en 1230 - La caída de la ciudad de El Tajín, capital de los totonacos, en 1200 y su abandono en 1230.

Textes en français et en espagnol alternent. Se alternan textos en francés y español.

Située au nord de Veracruz, El Tajín, « la cité sacrée des morts et des tonnerres en tempête » et sa fameuse « Pyramides des Niches » a été un temps la capitale de la civilisation totonaque et une des villes les plus importantes du Mexique ancien, mais elle a été par la suite complètement abandonnée. Elle avait totalement disparu des mémoires, des cartes et de l’histoire jusqu’à sa redécouverte, par hasard, en 1785.

Lors de sa découverte, les populations voisines l’appelaient "Mictlan" ou « lieu des morts » et ses ruines étaient entièrement recouvertes par la jungle. La ville est située dans les montagnes et les collines qui s’étendent de la Sierra Madre orientale à la cote du golfe du Mexique près de la rivière Tecolutla. Les ruines de la cité sont encore aujourd’hui grandioses avec notamment de nombreuses pyramides remise en état mais on sait aussi qu’une grande partie du site n’a pas encore été explorée. El Tajín est exceptionnelle pour son architecture et la représentation de la culture Totonaque, dont on ne retrouve nul équivalent ailleurs au Mexique. La pyramide des Niches, appelée ainsi à cause des très particulières niches décoratives qui l’ornent, en est le premier monument (re)découvert et l’élément du site le plus célèbre. Les Totonaques avaient également la particularité d’utiliser une forme de béton qu’aucun peuple précolombien ne connaissait.

Temples, palais, pyramides et terrains de jeu de balle ont peu à peu été bâtis entre le 7e et le 12e siècle, âge d’or de la cité qui aurait été peuplée dès le 1er siècle mais profita de la chute de Teotihuacán pour réellement prospérer. Teotihuacan (une ville extraordinaire de 200.000 habitants) a perdu son rôle, sa domination et même sa simple existence de ville en même temps en 550 après J.-C. Un nouveau déclin, définitif celui-là aura lieu en 700, suite à une révolution sociale, et la ville de Teotihuacan est abandonnée en 800. El Tajin devint du même coup, au VIIème siècle, une très grande cité, prospérant jusqu’à ce qu’elle fut transformée en capitale de la région. Mais, rapidement, le déclin d’El Tajin est arrivé et la société totonaque a complètement chuté. El Tajín renaît vers l’an 1000, grâce notamment à l’arrivée de migrant Toltèques, eux aussi chassés de leurs terres (près de l’actuelle Mexico) par d’autres guerres civiles. Ils vénéraient aussi le Quetzal, le « Serpent à Plumes » que l’on retrouve dans les autres légendes du centre du Mexique. Ils furent les alliés des Conquistador pendant la prise de Tenochtitlán, la capitale des aztèques.

Selon leur propre mythologie, l’origine de cette chute serait une grave sécheresse s’abattit sur la région et causa une immense famine puis une révolte populaire... La tradition affirme que ce serait une sanction des dieux qui, mécontents de voir que les hommes ne les honoraient plus comme il se doit, prirent la décision de retenir la pluie pour les punir. La cérémonie des voladores fut alors créée pour impressionner les dieux qui, satisfaits de ce geste de soumission et de respect, laissèrent la pluie retomber sur les terres de leurs ouailles.

C’est aux alentours de 600 ap. J.-C. que les Totonaques ont commencé à bâtir la ville de El Tajin. Il s’agit d’un lieu se situant au croisement des routes commerciales du pays, destiné au contrôle des marchandises importées et exportées par le pays. El Tajin était à cette époque reliée à Teotihuacan, qui fut une des plus grandes villes de l’Amérique précolombienne. L’apogée de El Tajin s’est façonnée notamment grâce à la chute de Teotihuacan. Après la destruction de Teotihuacan, le peuple Totonaque a créé la ville de Papantla, non loin de El Tajin. A son apogée, suite à la chute de Teotihuaca, la ville d’El Tajin aurait compté 25.000 habitants.

Jusqu’en 1200 ap. J.-C., lors de sa renaissance, El Tajin abritait une cinquantaine d’ethnies qui vivaient grâce à la production et à la récolte de produits agricoles tels que le maïs, les haricots mais aussi le cacao. La ville est tombée en 1230 sous les coups d’une lutte de classes.

La société totonaque était stratifiée, le cacique représentaient la plus haute marche de la pyramide sociale, les guerriers et les prêtres suivaient en importance, sous ces marchands et ces nobles et déjà dans les couches inférieures de leur organisation sociale se trouvaient les gens ordinaires et les esclaves, le type de gouvernement totonaque était le cacicazgo théocratique, chaque ville ayant un chef issu d’une dynastie qui gouvernait la vie de ses gouvernés selon les diktats de leurs dieux.

L’organisation politique totonaque se caractérisait par un gouvernement théocratique, dont le commandement était chargé de trois caciques des principaux seigneurs de la région ; à son tour, dans chaque juridiction, le monarque avait l’appui d’un conseil des anciens et groupe de subordonnés, tels que les prêtres, les responsables administratifs et les chefs militaires.

En référence à cela, tous les membres du régime avaient une parenté familiale, en plus, la succession de la position du cacique, était héritée par les fils, dans ce cas, les filles n’avaient que droit aux terres.

En outre, le monarque ayant plusieurs épouses, n’a pas permis à leurs enfants d’épouser des personnes d’une autre classe sociale, mais entre eux, il y avait une stricte consanguinité de caste.

Par ailleurs, il existait entre les seigneurs une relation commerciale basée sur une alliance politique, pour faire face aux incursions de l’ennemi sur leur territoire.

Classes sociales totonaques

La construction même de la ville indique une division en classes sociales bien séparées et opposées. La ville principale est constituée par ses quartiers riches qui disposent d’eau courante et propre car elle est limitée par deux ruisseaux qui fusionnent pour former le Tlahuanapa Arroyo, un affluent de la rivière Tecolutla. Ces deux cours d’eau alimentaient la population en eau potable. La plupart des bâtiments des riches sont situés à l’extrémité sud, où le terrain est relativement plat à la confluence des deux rivières. Le site s’étend au nord-ouest où les terrasses ont été construites de manière à gagner davantage de place pour les bâtiments, principalement pour l’élite de la ville. Cependant la ville possède également des quartiers situés sur les collines à l’est et à l’ouest de la ville principale, où sont situés la plupart des logements du commun. La totalité du site s’étend sur 1056 hectares. La ville est entourée de champs de tabac, de plantations de bananes, de ruchers et de plantations de vanille. Les productions agricoles essentielles sont : maïs, haricots, piment, coton, cacao et maguey pulquero.

La répartition urbaine de Tajin est par groupes sociaux. Les dirigeants ont situé leurs palais, leurs bâtiments administratifs et leurs halls dans la zone la plus haute (Tajin Chico). La demeure de la dynastie régnante se trouvait dans le bâtiment des colonnes. Le centre cérémoniel est situé entre deux collines, l’une à l’ouest et l’autre à l’est. Il est limité par deux flux qui séparent la zone nucléaire des zones résidentielles. Du point de vue urbain, les constructions ont été classées en plusieurs catégories : temples, sanctuaires, jeux de ballon, résidences et maisons. La ville riche (1,5 kilomètres carrés avec 168 structures architecturales) a été divisée méthodiquement en zones d’activités particularisées : une pour la gestion/administration, une pour la production, une pour le commerce, une pour les biens de consommation, et enfin une pour la religion.

La ville est bâtie en trois niveaux suivant l’altitude, le plus bas pour les plus pauvres, puis la classe moyenne, puis la classe dirigeante.
Le sommet est occupé par une série de bâtiments résidentiels et son espace est identifié comme un accès restreint. L’État et la bureaucratie religieuse vivaient probablement là-bas. Le troisième niveau, le plus haut et le plus restrictif par la population qui y a accès, représente donc la concentration du pouvoir religieux et civil qui se manifeste dans l’important temple des colonnes et des plates-formes pour les résidences du groupe au pouvoir. Le modèle urbain est organisé autour d’un noyau central plat et bas, divisé en deux sections. Au sud, dans le soi-disant groupe Arroyo, la population est supposée se réunir à la fois pour des questions religieuses et pour des activités commerciales. À l’extrémité nord, il y a des bâtiments avec une plus grande activité religieuse, la présence de leurs jeux de balle, est sans aucun doute aussi de nature rituelle. Le noyau de la ville peut être divisé en cinq parties : Grupo Plaza del Arroyo, Zone centrale, La Gran Xicalcoliuhqui, Tajin Chico et Conjunto de las Columnas. Les zones d’habitation sont situées un peu plus loin du centre cérémoniel, séparées par les ruisseaux tempétueux, principalement autour de lui, réparties sur des terrasses semi-artificielles. La concentration la plus élevée est située vers le sud. D’autre part, Tajin est le lieu avec le plus grand nombre de jeux de ballon mésoaméricains, à vocation religieuse et chargée d’exprimer pour le grand public la volonté des dieux.

À El Tajín, un total de 20 terrains de jeu de balle ont été localisés, de dimensions et caractéristiques différentes. Les "balcons" sont des plates-formes d’environ 10 x 15 mètres de base et de 10 à 12 mètres de hauteur, situées dans les hauteurs de la vieille ville, d’où l’on obtient une vue panoramique du site. Les fouilles futures détermineront leur utilisation, « bien qu’elles aient dû fonctionner comme des axes visuels", explique l’archéologue Zetina Gutiérrez. Enfin, les chambres sont des "espaces dont l’architecture montre qu’il y avait un investissement important de temps, de travail et de matériaux et qu’en raison de leur taille et de leurs caractéristiques, on peut dire que les familles élargies y vivaient ; Ils sont situés dans de petites collines, ce qui indique comment ils ont profité de ces espaces pour construire leurs maisons, car la région est formée de basses plaines inondables. Nous obtenons donc également des données sur la vie des anciens habitants du site. »

À la chute de la ville, la plupart des sculptures de cette zone ont été brisées ou défigurées, ce qui laisse entendre que cette cité, frappée par une crise économique, a subi le même sort que bien des villes amérindiennes, en étant dévastée par une révolution sociale… Le temple le plus important situé au-dessus de la pyramide des Niches a été détruit violemment et complètement.

Lors de sa chute au début du XIIIe siècle, la ville a été détruite par un incendie… Elle a été définitivement abandonnée en 1230 après J.-C.

Il faut voir que, si El Tajin a bénéficié du fait de ne pas avoir subi les chutes des villes de l’époque de celle de Teotihuacan, recevant ainsi des populations nouvelles, des classes dirigeantes, des techniques, des routes commerciales, etc., elle a subi ainsi une croissance qui, à terme, l’a déstabilisée. En effet, les membres des classes possédantes venues de l’ancienne grande capitale étaient remontées contre les pauvres, ont sans doute poussé à des politiques de répression violentes contr eux. L’Etat d’El Tajin s’est sans doute durci pour faire payer les tributs, pour imposer la population, pour accumuler toujours plus, rendant l’exploitation et l’oppression d’autant plus pesante que menaçaient à l’extérieur la croissance d’autres impérialismes de civilisations amérindiennes. La situation sociale de plus en plus explosive, vu l’agglomération d’unn grand nombre d’exploités dans la ville, a sans doute fini par exploser.

Bien des hypothèses sont faites sur cette chute : méfaits climatiques, invasion armées chichimèque mais, comme ailleurs, les archéologues résistent fortement à la nécessité de reconnaitre des soulèvements sociaux dans de telles chutes de civilisations.

Cependant, dans le cas d’invasions armées et destructives, on ne voit pas pourquoi la ville aurait été abandonnée complètement et n’aurait pas été occupée par les vainqueurs. Les traces de guerre auraient également été retrouvées, ce qui n’est pas le cas. Par exemple, quand le site totonaque de Cuyuxquihui, qui succéda à El Tajin comme site cérémoniel totonaque, fut envahi par les Aztèques en 1465, il a été occupé par eux.

Lors de la guerre de Cortès contre les Aztèques, les Totonaques, opprimés par les Aztèques, s’unirent aux forces coloniales espagnoles et leur apportèrent l’appui de 1500 soldats.

Pour comprendre cette chute d’une civilisation, il convient de rechercher ce qui a bien pu déstabiliser la société totonaque au point qu’elle disparaisse définitivement sans succession aucune. La manière dont El Tajin est passée de petit centre à capitale d’une civilisation et principal centre commercial et cérémoniel a une extrême importance en la matière. En profitant de la chute de Teotihuacan, El Tajin a accru sa richesse et son rôle mais aussi son instabilité. En regroupant une grande quantité de populations issue de cette ancienne et immense capitale, El Tajin a récupéré des moyens et des populations disproportionnés par rapport à son assise réelle, notamment celle des capacités productives agraires/ Ce changement radical n’a pas été seulement une grande poussée en avant, mais cela a déstabilisé dans la ville le rapport entre riches et pauvres, entre classes possédantes et esclaves, et aussi le rapport entre villes et campagnes, ces dernières ne pouvant pas profiter autant de l’apport de nouveaux pauvres qu la ville a profité de l’apport de nouveaux artisans et commerçants ainsi que des membres des classes possédantes, des religieux et des guerriers, des seigneurs. La production agricole n’a pas pu croitre suffisamment et surtout la situation est devenue très instable en cas de difficultés climatiques…

En español :

Situada al norte de Veracruz, El Tajín, "la ciudad sagrada de los muertos y el trueno tormenta" y su famosa "Pirámide de los Nichos" una vez fue la capital de la civilización totonaca y una de las ciudades más importantes del antiguo México, pero más tarde fue abandonado por completo. Ella totalmente dsparu recuerdos, mapas y la historia hasta redescubierta por casualidad en 1785. Cuando fue descubierto, las comunidades neigbouring llamados "Mictlan" o "lugar de los muertos" y sus ruinas fueron completamente cubierta por la selva. La ciudad está situada en las montañas y colinas que se extienden de la Sierra Madre Oriental en la calificación del Golfo de México, cerca del río Tecolutla. Las ruinas de la ciudad siguen siendo grandioso incluyendo muchas pirámides reformas, pero también sabemos que gran parte del sitio aún no se ha explorado. El Tajín es excepcional por su arquitectura y la representación de la cultura totonaca, no encontramos ningún equivalente en otras partes de México. La Pirámide de los Nichos, llamada así por los nichos decorativos muy especiales que lo adornan, es el primer monumento (re) descubierto y el más famoso sitio del elemento. Los totonacas también tuvo la distinción de utilizar una forma de concreto que hay gente precolombinas conocían.

Templos, palacios, pirámides y campos de juego de pelota poco a poco se han construido entre el 7 y el siglo 12, la edad de oro de la ciudad que fue habitada desde el siglo primero, pero se aprovechó de la caída de Teotihuacán a prosperar realmente. Teotihuacan (extraordianire una ciudad de 200.000 habitantes) perdió su papel, dominación e incluso su propia existencia a la ciudad al mismo tiempo, en el año 550 dC Un nuevo descenso, definitiva que uno va a tener lugar en el año 700, tras una revolución social, y la ciudad de Teotihuacan fue abandonado en 800. el Tajín se convirtió al mismo tiempo, en el siglo VII, una ciudad muy grande, próspera hasta que se convirtió en la capital de la región. Pero rápidamente, la caída de El Tajín llegó y la sociedad totonaca ha caído por completo. El Tajín revivió alrededor del año 1000, gracias a la llegada de los toltecas migrante, también expulsados de su tierra (cerca de la actual Ciudad de México) con otras guerras civiles. También adoraban el Quetzal, la "serpiente emplumada" que se encuentra en otras leyendas del centro de México. Eran aliados de Conquistador, teniendo Tenochtitlán, la capital de los aztecas.

Según su propia mitología, el origen de esta caída sería una grave sequía que afectó a la región y provocó una inmensa hambruna y luego una revuelta popular ... La tradición afirma que sería una sanción de los dioses que, descontentos, ven que Los hombres ya no los honraban apropiadamente, tomaron la decisión de retener la lluvia para castigarlos. La ceremonia de los voladores se creó para impresionar a los dioses que, satisfechos con este gesto de sumisión y respeto, dejaron que la lluvia cayera sobre las tierras de su rebaño.

Es alrededor de 600 dC. que los totonacas comenzaron a construir la ciudad de El Tajín. Es un lugar en la encrucijada de las rutas comerciales del país para el control de las mercancías importadas y exportadas por el país. El Tajín estaba en ese momento conectado con Teotihuacan, que era una de las ciudades más grandes de la América precolombina. El clímax de El Tajín fue formado por la caída de Teotihuacan. Después de la destrucción de Teotihuacan, el pueblo totonaca creó la ciudad de Papantla, no lejos de El Tajín. En su apogeo, luego de la caída de Teotihuaca, la ciudad de El Tajín habría contado con 25,000 habitantes.

Hasta el 1200 dc, durante su renacimiento, El Tajín fue el hogar de cincuenta grupos étnicos que vivieron la producción y la cosecha de productos agrícolas como el maíz, los frijoles pero también el cacao. La ciudad cayó en 1230 bajo los golpes de una lucha de clases

La sociedad estaba estratificada el cacique representaba los mas alto de la pirámide social, los guerreros, y sacerdotes seguían en importancia, bajo de estos los comerciantes y nobles y ya en los estratos bajos de su organización social se encontraban las personas comunes y los esclavos, el tipo de gobierno totonaca fue el cacicazgo teocrático, cada poblado tenia un dirigente salido de una dinastía que regia la vida de sus gobernados según los dictámenes de sus dioses.

La organización política totonaca se caracterizó por tener un gobierno teocrático, cuyo mando estaba a cargo de tres caciques de los principales señoríos de la región, a su vez, en cada jurisdicción, el monarca contaba con el apoyo de un consejo de ancianos, y un grupo de subordinados, como los sacerdotes, los funcionarios administrativos y los jefes militares.

En referencia a ello, todos los miembros del régimen poseían un parentesco familiar, además, la sucesión del cargo del cacique, era heredada por parte de los hijos varones, en este caso, las hijas solo tenían derecho a las tierras.

Asimismo, el monarca teniendo varias esposas, no permitía que sus hijos se casaran con personas de otra clase social, sino entre ellos mismos, es decir, existía una estricta endogamia de casta.

Por otra parte, entre los señoríos había una relación comercial basada en una alianza política, para enfrentar las incursiones enemigas en sus territorios.

La propia construcción de la ciudad indica una división en clases sociales distintas y opuestas. La ciudad principal consiste en sus ricos barrios que tienen agua corriente limpia porque está rodeada por dos arroyos que se unen para formar el Arroyo Tlahuanapa, un afluente del río Tecolutla. Estos dos ríos alimentaron a la población con agua potable. La mayoría de los edificios de los ricos están ubicados en el extremo sur, donde el terreno es relativamente plano en la confluencia de los dos ríos. El sitio se extiende al noroeste donde se construyeron las terrazas para ganar más espacio para los edificios, principalmente para la élite de la ciudad. Sin embargo, la ciudad también tiene vecindarios en las colinas al este y al oeste de la ciudad principal, donde se encuentran la mayoría de las viviendas comunes. Todo el sitio abarca 1056 hectáreas. La ciudad está rodeada de campos de tabaco, plantaciones de plátanos, colmenares y plantaciones de vainilla. Los productos agrícolas esenciales son : maíz, frijol, chile, algodón, cacao y pulpa de maguey.

La distribución urbana de Tajín es por grupos sociales. Los gobernantes ubicaron sus palacios, sus edificios administrativos y sus salones en la zona más alta (Tajín Chico). La residencia de la dinastía reinante estaba en el edificio de la columna. El centro ceremonial está ubicado entre dos colinas, una al oeste y la otra al este. Está limitado por dos flujos que separan la zona nuclear de las áreas residenciales. Desde el punto de vista urbano, los edificios han sido clasificados en varias categorías : templos, santuarios, juegos de pelota, residencias y casas. La ciudad rica (1,5 kilómetros cuadrados con 168 estructuras arquitectónicas) se ha dividido metódicamente en zonas de actividad peculiarizadas : una para administración / administración, una para producción, otra para comercio, otra para bienes de consumo y Finalmente uno para la religión.

La ciudad está construida en tres niveles según la altitud, la más baja para los más pobres, luego la clase media, y luego la clase dominante

La cumbre está ocupada por una serie de edificios residenciales y su espacio se identifica como un acceso restringido. El estado y la burocracia religiosa probablemente vivieron allí. El tercer nivel, el más alto y el más restrictivo de la población que tiene acceso a él, representa, por lo tanto, la concentración de poder religioso y civil que se manifiesta en el importante templo de columnas y plataformas para las residencias del grupo en el poder. . El modelo urbano se organiza en torno a un núcleo central plano y bajo, dividido en dos secciones. Hacia el sur, en el llamado grupo Arroyo, se supone que la población se reúne tanto para asuntos religiosos como para actividades comerciales. En el extremo norte, hay edificios con mayor actividad religiosa, la presencia de sus juegos de pelota, sin duda también es de naturaleza ritual. El núcleo de la ciudad se puede dividir en cinco partes : Grupo Plaza del Arroyo, Zona Central, Gran Xicalcoliuhqui, Tajín Chico y Conjunto de las Columnas. Las áreas residenciales se encuentran un poco más alejadas del centro ceremonial, separadas por arroyos tormentosos, principalmente a su alrededor, distribuidas en terrazas semi artificiales. La concentración más alta se encuentra al sur. Por otro lado, Tajín es el lugar con el mayor número de juegos de pelota mesoamericanos, vocación religiosa y encargado de expresar al público en general la voluntad de los dioses.

En El Tajín, se han ubicado un total de 20 canchas de pelota, de diferentes tamaños y características. Los "balcones" son plataformas de aproximadamente 10 x 15 metros y de 10 a 12 metros de altura, ubicadas en las alturas del casco antiguo, desde donde obtenemos una vista panorámica del sitio. Las futuras excavaciones determinarán su uso, "aunque deben haber funcionado como ejes visuales", explica la arqueóloga Zetina Gutiérrez, y las habitaciones son "espacios cuya arquitectura muestra que hubo una inversión significativa en tiempo, trabajo y materiales y debido a su tamaño y características, se puede decir que las familias extensas vivían allí ; Están ubicadas en pequeñas colinas, lo que indica cómo aprovecharon estos espacios para construir sus casas, ya que la región está formada por llanuras inundables bajas. También obtenemos datos sobre la vida de los antiguos habitantes del sitio. "

Al caer la ciudad, la mayoría de las esculturas en esta área se rompieron o desfiguraron, lo que sugiere que esta ciudad, golpeada por una crisis económica, sufrió la misma suerte que muchas ciudades amerindias, siendo devastada por una Revolución social ... El templo más importante ubicado sobre la pirámide de los nichos fue destruido violentamente y por completo.

Cuando cayó a principios del siglo XIII, la ciudad fue destruida por un incendio ... Fue abandonada definitivamente en 1230 dC

Se debe ver que si El Tajín se benefició de no haber sufrido las caídas de las ciudades de la época de la de Teotihuacan, recibiendo así nuevas poblaciones, clases dominantes, técnicas, rutas comerciales, etc. así ha experimentado un crecimiento que, a largo plazo, lo desestabilizó. De hecho, los miembros de las clases poseedoras que provenían de la antigua capital habían vuelto contra los pobres, sin duda empujados a violentas políticas de represión contra ellos. El estado de El Tajín sin duda se ha endurecido para hacer que el tributo pague, imponer a la población, acumular cada vez más, haciendo que la explotación y la opresión sean tanto más pesadas como amenazadas fuera del crecimiento. Otros imperialismos de las civilizaciones amerindias. La situación social es cada vez más explosiva, dado que la aglomeración de un gran número de explotados en la ciudad, probablemente ha explotado.

Se hacen muchas hipótesis sobre este otoño : travesura climática, invasión armada chichimec, pero, como en otras partes, los arqueólogos se resisten fuertemente a la necesidad de reconocer los levantamientos sociales en tales caídas de civilizaciones.

Sin embargo, en el caso de invasiones armadas y destructivas, no está claro por qué la ciudad habría sido completamente abandonada y no ocupada por los vencedores. Los rastros de la guerra también se han encontrado, que no es el caso. Por ejemplo, cuando el sitio Totonac de Cuyuxquihui, que sucedió a El Tajin como sitio ceremonial del Totonac, fue invadido por los aztecas en 1465, fue ocupado por ellos.

Durante la guerra de las Cortes contra los aztecas, los totonacas, oprimidos por los aztecas, se unieron a las fuerzas coloniales españolas y les brindaron el apoyo de 1500 soldados.

Para entender esta caída de una civilización, es necesario buscar lo que podría haber desestabilizado tanto a la sociedad totonaca que desaparece definitivamente sin ninguna sucesión. El camino del Tajín desde el centro pequeño hasta la capital de una civilización y el principal centro comercial y ceremonial es de suma importancia en este asunto. Aprovechando la caída de Teotihuacan, El Tajín ha aumentado su riqueza y su papel, pero también su inestabilidad. Al agrupar un gran número de poblaciones de esta antigua y enorme capital, El Tajín ha recuperado recursos y poblaciones desproporcionadas con respecto a su base real, incluida la de la capacidad productiva agraria. Este cambio radical no solo fue un gran Empuje hacia adelante, pero ha desestabilizado en la ciudad la relación entre ricos y pobres, entre clases propietarias y de esclavos, y también la relación entre ciudades y campo, esta última no puede disfrutar tanto de la contribución de los nuevos pobres que la ciudad. aprovechó la contribución de los nuevos artesanos y comerciantes, así como los miembros de las clases poseedoras, religiosos y guerreros, señores. La producción agrícola no ha podido crecer lo suficiente y, especialmente, la situación se ha vuelto muy inestable en caso de dificultades climáticas…

Wikipedia :

« Les recherches archéologiques faites à El Tajín et sur les sites voisins montrent que la région a été occupée au moins depuis 5600 avant notre ère et ont montré comment les nomades chasseurs-cueilleurs ont fini par devenir des agriculteurs sédentaires, construire des sociétés plus complexes avant l’émergence de la ville d’El Tajin. Le rythme d’évolution de la société est devenu plus rapide avec l’émergence de la civilisation voisine des Olmèques vers 1150 av. J.-C., bien que les Olmèques n’aient jamais été très nombreux à cet endroit. On ne sait pas qui a construit la ville. Certains plaident en faveur des Totonaques et des Xapanèques, mais il existe beaucoup d’éléments tendant à prouver que la région était peuplée par les Huaxtèques au moment de la fondation de la ville, au cours du Ier siècle apr. J.-C.. La construction des monuments a commencé peu après et en 600 apr. J.-C., El Tajin était devenue une ville. Le développement rapide d’El Tajin est dû à sa position stratégique le long des routes commerciales mésoaméricaines. La ville contrôlait les flux de marchandises, les exportations comme la vanille et les importations en provenance d’autres endroits dans ce qu’on appelle maintenant le Mexique et l’Amérique centrale. Dès les premiers siècles, les objets provenant de Teotihuacán étaient abondants.

De 600 à 1200 apr. J.-C., El Tajin fut une ville prospère qui contrôlait une grande partie de ce qui est maintenant l’État moderne de Veracruz. La ville-Etat était fortement centralisée, avec une cité proprement dite où vivaient plus de cinquante ethnies. La plus grande partie de la population vivait dans les collines entourant la ville principale, et la plupart des approvisionnement en denrées alimentaires de la ville provenaient des régions de Tecolutla, Nautla et Cazones de Herrera. Ces champs produisaient non seulement des aliments de base comme le maïs et les haricots, mais aussi des articles de luxe tels que le cacao. Un des panneaux de la Pyramide des Niches montre une cérémonie se déroulant devant un arbre à cacao. La religion était basée sur les mouvements des planètes, des étoiles, du Soleil et de la Lune et le jeu de balle ainsi que l’usage du pulque jouaient un rôle très important. Cela a conduit à la construction des pyramides, avec des temples et dix-sept terrains de jeu de balle, plus que sur tout autre site méso-américain. À partir cette époque, la ville a commencé à avoir une grande influence qui est plus apparente encore sur le site voisin de Yohualichan, dont les bâtiments comportent des niches du même type que celles qui caractérisent El Tajin. Des témoignages de l’influence de la cité sont visibles le long de la côte du Golfe de Veracruz jusqu’à la région Maya et les hauts plateaux du centre du Mexique.

À la fin de la période classique, El Tajin a survécu à l’effondrement social généralisé, aux migrations et aux destructions qui ont conduit à l’abandon de nombreux centres de population à la fin de cette période. El Tajín a atteint son apogée après la chute de Teotihuacan, et conservé de nombreux traits culturels hérités de cette civilisation. La cité a atteint son apogée dans la période Pré-classique (900-1100 de notre ère) avant de connaître la destruction et d’être engloutie par la jungle.

Les causes et la signification de la chute de Téotihuacan

Autres révolutions de Méso-amérique antique

El Tajín a prospéré jusqu’au début du XIIIe siècle, époque où elle a été détruite par un incendie, sans doute allumé par une force d’invasion. La ville a été abandonnée en 1230 apr. J.-C., peut-être en partie à cause des attaques des Chichimèques. Les Totonaques ont créé la colonie voisine de Papantla après la chute d’El Tajin…

Le site est l’un des plus importants du Mexique et le plus le important de l’État de Veracruz. Son importance est due à sa taille et à ses formes uniques dans le domaine de l’art et de l’architecture. Les limites des zones résidentielles de la ville n’ont pas encore été définies mais l’ensemble du site est estimé à 10,7 km2. À ce jour, seulement cinquante pour cent des édifices de la ville ont été fouillés, révélant une série de places, des palais et des bâtiments administratifs dans une zone de deux miles carrés. Contrairement aux modèles tracés selon un plan très rigide des villes antiques du plateau central du Mexique, les constructeurs d’El Tajin ont conçu et aligné les bâtiments comme des unités individuelles. Il existe plusieurs éléments architecturaux qui sont spécifiques à cet endroit ou bien très rares en Méso-Amérique. Les ornements en forme de niches et les décors ajourés sont omniprésents, même la décoration des contreforts utilitaires et les murs de plates-formes. ajourées existent dans d’autres régions de Mésoamérique, mais rarement avec une telle profusion. L’utilisation de niches est spécifique à El Tajin.

Un aspect remarquable des constructions d’El Tajin est l’utilisation de béton coulé dans des coffrages. Les fragments de toit encore existants de l’immeuble C dans le secteur de Tajín Chico sont un exemple de construction de toit en béton. En raison de l’absence de poutres ou d’autres matériaux pour le soutenir, ce toit a dû être très épais pour soutenir son propre poids. Afin d’alléger la charge et de lier les couches de ciment, des pierres ponces et des tessons de poterie ont été mélangés au ciment. Le ciment ne devait pas être versé en une seule fois, mais plutôt en couches successives. On a suggéré que les bâtiments avaient été remplis de terre pour soutenir le toit pendant qu’il était coulé et pendant qu’il séchait. Les toits une fois achevés avaient près d’un mètre d’épaisseur et étaient presque parfaitement plats. Bien que ce type de toit en ciment soit commun à l’époque moderne, il était unique dans le monde méso-américain. Des empreintes de paniers, d’emballages de tamales et d’autres éléments ont été découverts dans le ciment séché. Le béton coulé a été utilisé seulement dans les bâtiments à deux étages du site, le bâtiment B, comme toit et comme séparation entre le rez-de-chaussée et l’étage supérieur. Le seul autre exemple connu de construction à deux étages se rencontre dans les territoires mayas. Une autre caractéristique partagée uniquement avec les Mayas est l’utilisation d’une peinture bleu clair. (wikerson45) Une autre caractéristique spécifique à El Tajin est qu’un certain nombre de résidences possèdent des fenêtres disposées de façon à permettre aux brises fraîches d’entrer pendant les journées chaudes.

Bien que les terrains de jeu de balle soient répandus en Mésoamérique, El Tajin se distingue par ses dix-sept aires de jeu. Deux de ces courts contiennent des panneaux sculptés qui décrivent le jeu de balle et sa signification rituelle. Les plus impressionnants de ces panneaux sont situés dans le terrain sud qui contient des représentations de divinités de l’inframonde et celle d’un joueur de balles venant d’être décapité, afin d’approcher les dieux et de demander la pulque pour son peuple…

À la fin de la période classique, El Tajin a survécu à l’effondrement social généralisé, aux migrations et aux destructions qui ont conduit à l’abandon de nombreux centres de population à la fin de cette période. El Tajín a atteint son apogée après la chute de Teotihuacan, et conservé de nombreux traits culturels hérités de cette civilisation. La cité a atteint son apogée dans la période Epi-classique (900-1100 de notre ère) avant de connaître la destruction et d’être engloutie par la jungle.

El Tajín a prospéré jusqu’au début du XIIIe siècle, époque où elle a été détruite par un incendie… »

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El Tajin está ubicado cerca de la costa del este de México y fue un importante centro mesoamericano que floreció entre 900 y 1100 EC. Una parte de la cultura de Veracruz, la arquitectura de la ciudad también muestra influencias mayas y oaxaqueñas, mientras que el monumento más famoso en El Tajin es el espléndido templo del Clásico temprano conocido como la Pirámide de los Nichos. El sitio cuenta con varias otras pirámides importantes, plataformas monumentales y 17 juegos de pelota, lo que justifica su condición de Patrimonio de la Humanidad.

PANORAMA HISTORICO

El Tajin es un nombre más moderno derivado del dios de la lluvia totonaca o, más precisamente, los doce ancianos o Tajinque fueron considerados señores de las tormentas eléctricas y que se pensaba que vivían en las ruinas de la ciudad. La tierra fértil circundante era (y sigue siendo) ideal para el cultivo de maíz, cacao, vainilla y tabaco, una base ideal para apoyar un centro comercial próspero. Hay evidencia de que El Tajin se estableció por primera vez en el siglo I dC, y la ciudad se sometió a doce fases de construcción distintas hasta el siglo XII EC. Los primeros siglos en el sitio muestran evidencia de la influencia de Teotihuacan tanto en cerámica como en arquitectura, especialmente con las primeras pirámides escalonadas. Los primeros juegos de pelota en el sitio aparecen alrededor de 500 CE. La pirámide grande superviviente más antigua data de El Tajin V durante el siglo VI EC. Tajin VI del 600 CE vio la construcción del juego de pelota del norte. Desde principios del siglo VII d. C., El Tajin comenzó a conquistar los asentamientos circundantes más pequeños para establecerse como la fuerza dominante en el área. En el siglo VIII dC, se completó la Pirámide de los Nichos y se construyó la enorme plataforma de acrópolis elevada de Tajin Chico. El Tajin fue destruido por el fuego y abandonado alrededor de 1100 CE o incluso antes.

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Qui sont les Totonaques ?

"Les premières sources historiques soulignent que les Totonaques sont appelés ainsi parce qu’ils vénéraient un dieu appelé Totonaque. D’autres versions mettent l’accent sur une interprétation étymologique tutu ("trois") et nacu ("cœur") : trois coeurs. À cet égard, certains analystes suggèrent que ce terme désigne trois grands centres cérémoniels : Tajin, à Papantla, Zempoala, près de l’ancienne fondation du port de Veracruz, et Yohualichan, dans la Sierra Norte de Puebla, près de Cuetzalan. De nombreuses personnes interrogées ont déclaré que le nom de la langue était le totonaque et qu’ils s’appelaient eux-mêmes totonaques s’ils le parlaient. Il est intéressant de noter qu’il n’y a aucune référence contemporaine à l’etnie totonaque et que les personnes interrogées se considèrent elles-mêmes comme des locuteurs de Totonaque. L’identité peut toutefois passer par d’autres problèmes : chez les Totonaques de la municipalité de Zongozotla de Bonilla, dans l’État de Puebla, son nom ethnique se décompose en tutu et nacu, comme cela a été expliqué ; néanmoins, dans son mythe d’origine, il est possible d’apercevoir une relation intime entre l’étymologie du nom ethnique et les interprétations qui le réfèrent à l’existence ancienne de trois grands centres cérémoniels. Cette position a été assumée par les enseignants bilingues Totonaques qui, au Congrès, ont décidé de demander au Secrétariat à l’éducation publique (SEP) d’accepter cette dénomination comme la leur propre. Dans les premières phrases de ce mythe, on lit ce qui suit : La tribu des Totonaques était dirigée par trois prêtres, qui avaient divisé tout l’empire Totonaque. Ils étaient comme des prêtres et avaient leur femme, mais ils n’avaient plus permis depuis que leurs fils et leurs filles épouseraient des personnes qui n’appartiendraient pas à la même catégorie. Ils devaient se marier entre eux, et c’est pourquoi ils disent qu’une fois qu’un garçon est tombé amoureux de la fille d’un prêtre qui était là-bas dans le Tajin ... Comme on peut le voir, pour les habitants de Zongozotla, le monde totonaque était bel et bien divisée en trois centres cérémoniels, régis par un système théocratique et appliquant une consanguinité stricte aux castes, dont la transgression donnerait lieu à la colonisation totonaque de la Sierra Norte de Puebla et, partant, à la naissance de la ville de Zongozotla. Le mythe se poursuit avec l’interdiction faite au prêtre tajin de faire en sorte que sa fille continue à voir son petit ami plébéien. puis, devant la sottise des amants, le marié doit fuir sous des menaces de mort. Sa marraine lui dit où il devrait aller pour sauver sa vie : Regarde là-bas, cette colline que tu vois, il y a une très grande montagne, et là-bas, près de cet endroit, tu dois aller ; là-bas, ils ne vous trouveront pas et alors seulement, vous pourrez vous débarrasser d’eux. Pour que cela ne vous donne pas tant de travail, parcourez tous les vergers de cette rivière et vous attrapez la plus grande rivière que vous puissiez trouver. Cette rivière s’élève un peu au-dessus de cette colline ... La colline est le Cozoltépetl et la rivière, la Zempoala ; caractéristiques géographiques qui sont fondamentales pour délimiter les fronts ethniques des Totonaques de la Sierra Norte de Puebla. La rivière Zempoala divise le territoire de la Sierra en deux fractions ethniquement différenciées : sur sa rive sud, seules des communautés de langue nahua vivent, tandis que dans le nord, il n’y a que des colonies Totonaques. La colline de Cozoltépetl, au pied de laquelle se trouve la municipalité de Zongozotla, constitue la dernière frontière du territoire totonaque de la Sierra vers le sud-est, car au-delà de toutes les communautés se trouvent des Nahuas. Le voyage du jeune homme de Tajín à Zongozotla ne suit pas seulement la plaine fertile de la rivière Zempoala, il décrit également la répartition géographique de l’une des trois variétés dialectales des Totonaques, les Zapotitlán-Papantla, dont les communautés les plus extrêmes sont en réalité Zongozotla et Papantla. Le simple fait que le chemin d’évasion du jeune coïncide avec un certain dialecte totonaque nous parle de la continuité linguistique et culturelle qui existait entre les deux extrémités, même chose qui est clairement exprimée dans les mythes de la montagne, qu’ils voient dans le Tajín. le coeur de votre identité. Le terme naco est utilisé de manière péjorative par les métis et même par les membres de la société nationale ; les Totonaques répondent que ceux qui les appellent leur font vraiment preuve de courtoisie, parce qu’ils l’appellent un cœur. Dans une perspective similaire, les Totonaques appellent luwa métis, ce qui signifie serpent, qui peut avoir plusieurs lectures, car même dans la vision du monde métis, ce reptile serait lié au monde d’en bas, où l’enfer était généralement placé Traditions espagnoles d’évangélisation. Pendant longtemps, les métis se sont appelés des gens de raison et considèrent que les Totonaques sont des imbéciles ou des nacos. Parfois, en tant que stratégie défensive, un autochtone peut dire de lui-même, en tant que groupe : "nous sommes un peu ridicules". Nous devons être clairs sur le fait qu’il s’agit simplement d’une stratégie consistant à gagner du temps et à connaître les intentions de l’étranger : les Totonaques considèrent l’origine du monde dans le mythe du Cinquième Soleil, où il est rapporté que 400 dieux se sont rassemblés et ont allumé un feu de joie ; des deux frères convoqués, l’un d’eux fut encouragé à se jeter dans le feu et de lui naquit Chichiní (Sun) ; l’autre frère qui avait hésité s’est jeté dans le feu, mais celui-ci était déjà éteint et il ne restait que de la cendre ; Il a également été envoyé au ciel, ce serait P’apa (Luna). Les deux frères se battent toujours, les deux sont des hommes ; P’apa ou Manoel rend visite aux femmes tous les 28 jours. L’éclipse du soleil ou de la lune fait partie de cette lutte cosmologique et elle devient également un indicateur ethnique : pendant longtemps, pour savoir si l’enseignant bilingue qui me parlait était autochtone ou métis, je lui ai demandé ce qui se passait dans une éclipse ; les Totonaques ont répondu que "les frères combattaient et pouvaient être vus dans l’eau", et les métis ont répondu que "les Totonaques étaient des imbéciles et qu’ils y croyaient". La Semaine sainte est perçue comme une lutte entre Chichiní et P’apa, comme une éclipse de soleil, où Chichiní triomphe et permet au monde de se renouveler. En 1836, une violente rébellion totonaque éclata, qui dura deux ans, à la suite de la mesure prise par l’évêque de Puebla d’interdire la célébration de la Semaine sainte, car elle mettait en danger la reproduction symbolique du peuple indien. Il est important de se rappeler que les Totonaques préhispaniques seul groupe mésoaméricain qui a le sourire face à leurs représentations. Les visages archéologiques de Smiley ont aujourd’hui leur juste représentation parmi les Totonaques contemporains, souriants, gais et diplomates dans les situations les plus complexes, et entretiennent une relation assez respectueuse avec leurs femmes ; Il n’est pas étonnant de voir des hommes s’occuper d’enfants et leur donner à manger dans la rue. Ils gèrent un sens de la courtoisie et du respect qui leur confère un cachet indéniable. Selon Alain Ichon, l’un des mythes les plus répandus dans la Sierra Norte de Puebla est la naissance du soleil ; Il existe de nombreuses variantes de cette histoire, même si le soleil reste embryonnaire dans un gros rocher : nos ancêtres ont vu passer Martin, l’iguane, tous les jours. Un garçon a décidé, un matin, de suivre Martin pour voir où il allait. Il le vit allongé sur un énorme rocher et quand il le sentit, il remarqua qu’il faisait chaud [...]. De retour à la maison, le garçon a raconté sa découverte à son père et il a prévenu le président. Il fut alors décidé de scinder le rocher pour voir ce qui se trouvait en dessous. Mais personne n’a réussi [...]. Enfin, il s’appelait Francisco, le petit oiseau qui, après avoir mendié longtemps, a commencé à sauter sur le rocher [...] à la vingt-cinquième fois. De la fissure brisée, un mince rayon émerge en tant que fil et atteint le ciel. Quand la fente s’est agrandie, les gens ont vu que c’était à l’intérieur d’un jaune d’œuf, le soleil ... Puis, ce jaune d’œuf est destiné à avaler une petite fille orpheline, qui tombe enceinte. À neuf mois, elle donne naissance au Soleil, qui avait déjà la forme d’un petit homme. Comme il est le soleil, tout ce qu’il touche prend feu ; c’est pourquoi il est également considéré comme le donneur de feu. Cependant, il est obligé de partir car il est très dangereux pour lui de vivre parmi les humains. Dans son jeu, il doit affronter la Lune ou Manoel, l’amoureux de toutes les femmes, qui s’est fâché en sachant la naissance du Soleil. Ainsi, une course entre le Soleil et la Lune commence à voir laquelle des deux parvient à partir avant pour l’est. Trompé par le chien du Soleil, de Manoel ou de la Lune ", il arrive trop tard : le Soleil était déjà en Orient, tout neuf et beau. Dawn. Manoel poursuit toujours le soleil sans l’attraper. »

« Las primeras fuentes históricas señalan que los totonacos se llaman así porque adoraban a un dios llamado Totonac. Otras versiones ponen énfasis en una interpretación etimológica tutu (“tres”) y nacu (“corazón”) : tres corazones. Sobre el particular, algunos analistas plantean que este término se refiere a tres grandes centros ceremoniales, Tajín, en Papantla, Zempoala, cerca de la antigua fundación del Puerto de Veracruz, y Yohualichan, en la Sierra Norte de Puebla, cerca de Cuetzalan. Muchos entrevistados dicen que el nombre de la lengua es totonaca y que ellos en realidad se autodenominan totonacas y no totonacos como lo hacen otros. Es interesante comentar que no hay referencias contemporáneas a Totonac y que los entrevistados se refieren a sí mismos como hablantes de dicha lengua ; no obstante, la identidad puede pasar por otras cuestiones.Entre los totonacos del municipio de Zongozotla de Bonilla, Puebla, la población descompone su nombre étnico en tutu y nacu, tal y como se ha expuesto ; no obstante, en su mito de origen es posible entrever una íntima relación entre la etimología del nombre étnico y aquellas interpretaciones que lo refieren a la antigua existencia de tres grandes centros ceremoniales ; esta posición ha sido asumida por los profesores bilingües totonacos, quienes en congreso decidieron solicitar a la Secretaría de Educación Pública (SEP) que se acepte esta denominación como propia. En las primeras frases de este mito se lee lo siguiente:La tribu de los totonacas estaba gobernada por tres sacerdotes, esos sacerdotes tenían dividido todo el Imperio totonaco. Eran como sacerdotes y tenían sus esposas, pero no permitían, ya desde entonces, que sus hijos e hijas se casaran con gentes que no fueran de su misma categoría. Tenían que casarse entre ellos mismos, y por eso cuentan que una vez un muchacho se enamoró de una hija del sacerdote que estaban [sic] por allá en el Tajín... Como puede observarse, para la gente de Zongozotla el mundo totonaco efectivamente estuvo dividido en tres centros ceremoniales, que se regían bajo un sistema teocrático y guardaban una estricta endogamia de casta, cuya trasgresión daría lugar al poblamiento totonaco de la Sierra Norte de Puebla y, por lo tanto, al nacimiento del pueblo de Zongozotla. El mito continúa con la prohibición que el sacerdote del Tajín hace a su hija de que siga viendo a su novio plebeyo ; luego, ante la necedad de los enamorados, el novio tiene que huir bajo amenazas de muerte. La madrina de éste le dice hacia dónde debe dirigirse para salvar la vida : Mira allá, aquella punta de cerro que se ve allá es una montaña muy grande, y allá en ese lugar, cerca de ese lugar debes irte ; allá no te encontrarán y sólo así podrás librarte de que te maten. Para que no dé [sic] tanto trabajo, vete por toda la ve-ga de este río y vas agarrando el río más grande que vayas encontrando. Ese río nace un poco arriba de aquel cerro... El cerro es el Cozoltépetl y el río, el Zempoala ; accidentes geográficos que son fundamentales para delimitar las fronte-ras étnicas de los totonacos de la Sierra Norte de Puebla. El río Zempoala divide el territorio de la Sierra en dos mitades étnicamente diferenciadas : en su ribera sur sólo habitan comunidades de habla nahua, mientras que en la norte únicamente existen asentamientos totonacos. El cerro Cozoltépetl, en cuyas faldas se encuentra el municipio de Zongozotla, funciona como la última frontera del territorio totonaco de la Sierra hacia el sureste, pues más allá todas las comunidades son nahuas. El recorrido del joven desde el Tajín hasta Zongozotla no sólo sigue la vega del río Zempoala sino que también describe la distribución geográfica de una de las tres variantes dialectales del totonaco, la Zapotitlán-Papantla, cuyas comunidades más extremas en realidad son Zongozotla y Papantla. El simple hecho de que la ruta de huida del joven coincida con un determinado dialecto del totonaco nos habla de la continuidad lingüística y cultural que existió entre ambos extremos, misma que se expresa de manera clara en los mitos serranos, los cuales ven en el Tajín el corazón de su identidad. El término naco es empleado como un despectivo por los mestizos e incluso por los miembros de la sociedad nacional ; los totonacos responden que quienes así los llaman les obsequian en realidad una cortesía, pues les dicen corazón. Siguiendo una perspectiva similar, los totonacos denominan luwa a los mestizos, que quiere decir víbora, lo cual puede tener varias lecturas, ya que aun en la cosmovisión mestiza este reptil estaría vinculado con el mundo de abajo, en donde suele colocarse el infierno en las tradiciones españolas de evangelización. Durante mucho tiempo los mestizos se autodenominaron gente de razón y consideran que los totonacos son tontos o nacos. En ocasiones, como estrategia defensiva, un indígena puede decir de sí mismo, como grupo : “aquí somos un poco tontitos”. Debemos tener claro aquí que se trata simplemente de una estrategia para ganar tiempo y ver las intenciones del extraño.Los totonacos asumen el origen del mundo en el mito del Quinto Sol, donde se relata que se juntaron 400 dioses y encendieron una hoguera ; de los dos hermanos convocados uno se animó a arrojarse al fuego y de él nació Chichiní (Sol) ; el otro hermano que había titubeado se arrojó entonces a la hoguera, pero ésta ya se había apagado y sólo quedaban cenizas ; también fue enviado al cielo, sería P’apa (Luna). Ambos hermanos siempre pelean, los dos son hombres ; P’apa o Manoel visita a las mujeres cada 28 días. El eclipse de sol o de luna es parte de esa lucha cosmológica, y se transforma también en un indicador étnico.Durante mucho tiempo, para saber si el maestro bilingüe que estaba conversando conmigo era indígena o mestizo, le preguntaba qué pasaba en un eclipse ; los totonacos contestaban que “peleaban los hermanos y se podía ver en el agua”, y los mestizos respondían que “los totonacos eran tontos y creían en eso”. La Semana Santa es vista como una lucha entre Chichiní y P’apa, como un eclipse de sol, donde triunfa Chichiní y uede renovarse el mundo. En 1836 estalló una violenta rebelión totonaca, que duró dos años, contra la medida del obispo de Puebla de prohibir la celebración de la Semana Santa, pues ésta ponía en peligro la reproducción simbólica del pueblo indio.Es importante recordar que los totonacos prehispánicos son el único grupo mesoamericano que tiene la sonrisa en el rostro de sus representaciones. Las caritas sonrientes arqueológicas tienen hoy su justa representación entre los totonacos contemporáneos, sonrientes, alegres y diplomáticos ante las situaciones más complejas, y con una relación bastante respetuosa con sus mujeres ; no es extraño ver a los hombres cuidando a los niños y dándoles sus alimentos en la calle. Manejan un sentido de la cortesía y el respeto que les da un sello inconfundible.Según Alain Ichon, uno de los mitos más difundidos en la Sierra Norte de Puebla es el del nacimiento del sol ; existen muchas variantes de este relato, aunque destacan aquellas en donde el sol permanece en forma embrionaria dentro de una gran roca : Nuestros antepasados veían pasar cada día a Martín, la iguana. Un muchacho decidió, una mañana, seguir a Martín para ver a dónde iba. Le vio acostarse sobre una enorme roca y al sentirla, advirtió que estaba caliente [...]. Al volver a casa el muchacho contó su descubrimiento a su padre y éste previno a la Presidencia. Se decidió entonces partir la roca para ver qué había abajo. Pero nadie lo logró [...]. Por último fue llamado Francisco, el pájaro chiquito, que después de hacerse rogar largamente comenzó a saltar sobre la roca [...] a la vigésima quinta vez la roca se parte. De la grieta rota surge un rayo delgado como un hilo, y llega hasta el cielo. Al agrandar la grieta la gente vio que en el interior estaba como una yema de huevo, el Sol... Después esta yema de huevo es dada a tragar a una pequeña niña huérfana, quien queda encinta. A los nueve meses da a luz al Sol, el cual ya tenía la forma de un hombrecito. Al ser él el Sol, todo lo que toca agarra fuego ; por eso también se le considera el donador del fuego. Sin embargo, se ve obligado a partir, pues resulta muy peligroso que viva entre los humanos. En su partida tiene que enfrentarse con la Luna o Manoel, el amante de todas las mujeres, que se enojó al saber del nacimiento del Sol. Así, se inicia una carrera entre el Sol y la Luna para ver quién de los dos logra salir antes por el Oriente. Engañado por el perro del Sol, Manoel o la Luna, “llega demasiado tarde : el Sol salía ya por el Oriente, todo nuevo y bello. Amanecía. Manoel persigue siempre al Sol sin lograr atraparlo. »

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Los Totonaca y su cultura

Archeomagnétic Study of El Tajin

Conclusion : la chute de la ville totonaque d’El Tajin semble bel et bien faire partie des révoltes historiques des esclaves et des opprimés...

Conclusión : la caída de la ciudad totonaca de El Tajín parece ser parte de la histórica revuelta de esclavos y oprimidos ...

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