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Quand est-ce que la « démocratie », Etats, institutions, partis, associations et syndicats, ont protégé la population contre la dictature, la guerre et le fascisme ? Jamais !

mercredi 22 novembre 2023, par Karob, Robert Paris

Denis Diderot : « La pire ironie, quand on a des esclaves, c’est de les appeler citoyens. »

Quand est-ce que la « démocratie », Etats, institutions, partis, associations et syndicats, ont protégé la population contre la dictature, la guerre et le fascisme ? Jamais !

Actuellement, sous couvert de démocraties occidentales, sans jamais demander réellement son avis au peuple, le capitalisme déliquescent se prépare à des dictatures fascistes et à un nouveau bain de sang général pour éviter à tout prix que les opprimés, devenus conscients que le système capitaliste ne fonctionnera plus, ne décident de mettre en place la vraie démocratie, à savoir le pouvoir des soviets du peuple travailleur !

Le passé est un enseignement précieux. Nulle part, la démocratie n’a empêché la guerre ni limité ses violences destructrices. Un pays en guerre ne connait pas la démocratie.

Lors des guerres, la démocratie s’est comportée de manière aussi dictatoriale et brutale que le fascisme.

Dans les révolutions sociales, la démocratie a pactisé avec dictature et fascisme.

Quand la situation devient critique pour la domination de la classe possédante, la démocratie converge avec les autres forces de la contre-révolution.

Les démocraties en guerre ont commis les pires actes fascistes !

Qu’est-ce que la démocratie ?

Le principe général de l’exercice de la démocratie se résume à la phrase d’Abraham Lincoln : le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple. Toute la difficulté tient dans l’application de ce vaste programme. La force de ce système politique tient généralement par la vaste adhésion qu’il suscite dans la population, quel que soit le mode de fonctionnement choisi. Plus que la démocratie elle-même, c’est l’idée démocratique qui fédère les peuples, l’impression que nous sommes libres de nos choix, de nos actions, que nous nous dotons des dirigeants que nous méritons. L’imaginaire démocratique est tellement fort, tellement ancré en nous que lorsque l’essence d’un pouvoir se modifie, nous nous refusons à voir ce qui doit crever les yeux.

L’imaginaire démocratique tient pour une évidence que le système démocratique est l’émanation de la volonté commune et qu’à ce titre, il tend naturellement vers le bien-être du plus grand nombre, exactement de la même manière que l’imaginaire capitaliste est totalement à l’aise avec le concept de main invisible qui régule le marché de manière supranaturelle. L’essence de la démocratie, ce serait le progrès pour tous, l’égalité, la liberté, la fraternité, dans l’ordre de votre choix. Le hiatus, c’est que pour réaliser ce bel idéal, on s’empresse de mettre en place un système hiérarchique des pouvoirs qui contredit intrinsèquement ces nobles aspirations.

La démocratie contemporaine s’exprime principalement de manière indirecte : le peuple est appelé de temps à autre à désigner ses représentants dans la sphère politique, laquelle décide ensuite de manière autonome de la manière dont elle va conduire le pays. L’exercice du pouvoir est donc délégué à un groupe assez restreint de personnes, lesquelles sont censées représenter l’ensemble du peuple.

D’un autre côté, comment envisager l’expression directe de la démocratie à l’échelle d’un pays ou même d’une région ? Mais du coup, pourquoi ne pas l’envisager à l’échelle d’une commune ou d’un quartier, un peu à la manière des Suisses ?

L’action du peuple sur la marche des affaires du pays se résume donc à glisser un bulletin de vote dans l’urne de temps à autre et à considérer qu’ensuite, ce qui sortira du système sera forcément l’émanation de sa volonté. Mais la question même des modalités du choix n’est que très marginalement abordée : qui sont les candidats, d’où sortent-ils, qui représentent-ils réellement ? La démocratie contemporaine nous aurait affranchis de la lutte des classes, celles-ci se seraient effacées, diluées dans une sorte de consensus mou, tant et si bien qu’il devient extrêmement difficile d’obtenir la composition sociologique du parlement qui décide pourtant en notre nom à tous, parce que cela ne serait plus utile. Ou parce que cela serait trop révélateur au contraire de ce qui sous-tend l’accession au pouvoir ?

L’homme de la rue doit se satisfaire de sa particule de pouvoir, concédée de temps à autre, et se soumettre à toutes les décisions prises par la représentation nationale, alors même que son précieux bulletin est considéré comme une sorte de blanc-seing, une abdication pure et simple de l’idée même de peuple souverain. Qu’importe si le choix de départ a été fait bien avant l’urne, qu’importe si les suffrages ont été arrachés par la duperie, les mensonges, ce que l’on appelle poliment le marketing politique, lequel pourrait se résumer à la maxime suivante : dire au peuple ce qu’il souhaite entendre pour légitimer le mandat de faire ce que nous voulons.

Ce qui compte, ce n’est pas le choix, c’est l’impression d’avoir le choix.

La démocratie est confondue avec la pseudo-démocratie bourgeoise. La démocratie dont les travailleurs et les peuples ont besoin nécessite qu’ils puissent se réunir librement pour discuter de leurs problèmes et se donner les moyens de les résoudre, notamment en organisant des luttes, mais aussi en décidant définitivement d’organiser eux-mêmes le fonctionnement social en le retirant des mains des exploiteurs. Il ne s’agit pas du seul droit de vote dans les institutions bourgeoises (parlements, présidence) mais du droit de décider des choix à tous les niveau : local, régional, national, aussi bien au plan économique, social et politique. Il s’agit de retirer aux forces armées leurs armes et leur organisation et donc la possibilité de prendre le pouvoir à tout moment en faisant un coup d’état ou d’intervenir pour écraser les mobilisations des masses. Il s’agit de retirer aux classes possédantes leur mainmise sur toute l’organisation de la société en ne leur permettant plus de garder pour elles le pouvoir social, politique, médiatique, militaire ou juridique. Il n’y aura jamais de démocratie là où les besoins des masses populaires ne sont pas satisfaits. Il n’y aura jamais de démocratie là où un patron peut jeter à la rue mille salariés. Il n’y aura jamais de démocratie là où une armée peut prendre en otage une population en instaurant la dictature. Il n’y aura jamais de démocratie là où les généraux, les commissaires, les patrons, les hauts fonctionnaires n’ont aucun compte à rendre à la population. Il n’y aura jamais de démocratie tant que les travailleurs n’auront pas pris le pouvoir politique.

Ce n’est pas sans raison que le mot démocratie a dans le vocabulaire politique une double signification. D’une part, il désigne le régime politique fondé sur le suffrage universel et sur les autres attributs de la "souveraineté populaire formelle. De l’autre, le mot "démocratie" désigne les masses populaires elles-mêmes, dans la mesure où elles ont une vie politique. Dans ces deux significations, la notion de démocratie s’érige au-dessus des considérations de classes.

Ces particularités de la terminologie ont leur profonde signification politique. La démocratie en tant que système politique est d’autant plus inébranlable, plus achevée, plus ferme que la masse petite-bourgeoise des villes et des campagnes, insuffisamment différenciée au point de vue des classes, tient plus de place dans la vie sociale. La démocratie a atteint son apogée au XIX° siècle aux Etats-Unis d’Amérique et en Suisse. Outre-Océan, la démocratie gouvernementale de la République fédérative se fondait sur la démocratie agraire des fermiers. Dans la petite République helvétique, la petite bourgeoisie des villes et les paysans riches ont formé la base de la démocratie conservatrice des cantons réunis.

Né de la lutte du Tiers-Etat contre le féodalisme, l’Etat démocratique devient très rapidement une arme contre les antagonismes de classes qui se développent au sein de la société bourgeoise. La démocratie bourgeoise réussit d’autant mieux à remplir sa tâche qu’elle est appuyée par une couche plus large de petite bourgeoisie, que l’importance de cette dernière est plus grande dans la vie économique du pays, que le niveau des antagonismes de classes est donc plus bas. Mais les classes moyennes prennent un retard croissant et sans espoir sur le développement historique, et plus elles retardent, moins elles peuvent parler au nom de la nation. Les doctrinaires petits-bourgeois (Bernstein et consorts) ont bien pu établir avec satisfaction que les classes moyennes ne disparaissent pas aussi rapidement que le supposait l’école marxiste. Et l’on peut convenir en effet que les éléments petits-bourgeois des villes et surtout des campagnes occupent encore numériquement une place très importante. Mais la signification capitale du développement est dans la perte par la petite bourgeoisie de son importance dans la production : la masse de valeur que cette classe apporte au revenu total de la nation a chuté infiniment plus vite que son importance numérique. Le développement historique s’est fondé toujours plus sur les pôles opposés de la société - bourgeoisie capitaliste et prolétariat - et non sur ces couches conservatrices héritées du passé.

Plus la petite bourgeoisie perdait son importance sociale, et moins elle était capable de tenir avec autorité le rôle d’arbitre dans le grand conflit historique entre le capital et le travail. Numériquement très nombreuse, la petite bourgeoisie des villes et, plus encore, des campagnes, continuait pourtant à trouver son expression directe dans la statistique électorale du parlementarisme. L’égalité formelle de tous les citoyens en qualité d’électeurs ne faisait qu’attester plus nettement, dans cette circonstance, l’incapacité du "parlementarisme démocratique" à résoudre les questions essentielles que faisait surgir le développement historique. L’"égalité" des suffrages du prolétaire, du paysan en position de médiateur entre les deux antagonistes. Mais en fait la classe paysanne, arriérée au double point de vue de la culture et de la vie sociale, politiquement impuissante, servait dans tous les pays d’appui aux partis les plus réactionnaires, les plus aventuristes, les plus confus et les plus mercenaires, qui finissaient invariablement par soutenir le capital contre le travail.

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article845

L’Etat, c’est nous en démocratie, on nous l’a suffisamment répété ? Donc, en démocratie élective, on devrait élire les généraux, les grands officiers de l’Etat, à la tête de la police, de la justice, des finances, de l’administration, des prisons, de la construction, de la santé, de l’industrie. On devrait choisir ainsi les chefs de la diplomatie, des forces spéciales, des polices spéciales, de la sécurité intérieure et extérieure, des religions, des centrales syndicales et autre organismes sociaux qui contrôlent le chômage, les aides sociales, la santé….

Et pas seulement élire les responsables et les contrôler. Mais voter aussi sur les grandes décisions. Eh oui ! Puisqu’on nous bassine que nous sommes en démocratie où « le peuple décide », pourquoi ce ne serait pas nous qui déciderions par vote de la guerre et de la paix, des licenciements, des mesures face à la crise, des salaires et des prix, des profits, des sacrifices, des aides ou pas aux banques et aux capitalistes. Pourquoi on ne voterait pas sur les questions qui nous concernent directement ?

Bien sûr, me direz-vous, j’ai rêvé. On ne nous donnera jamais de tels droits électifs sous le capitalisme et je le sais très bien. On a juste le droit, par le vote, de cautionner le système qui nous exploite et nous opprime comme il opprime et exploite toute la planète. Ces élections ont été mises en place par les classes dirigeantes et pour elles. Elles ne peuvent absolument pas représenter l’expression des aspirations des travailleurs et des classes populaires, même de manière déformée. Et ne parlons pas de changer la société. Les élections dans le cadre bourgeois sont d’abord là pour que rien ne change dans les classes qui dominent et exploitent et dans les classes qui subissent et sont exploitées. En période de crise, c’est pire encore : il s’agit de camoufler la réalité économique, sociale et politique, c’est-à-dire les sacrifices sanglants qui nous sont réservés par du blabla de professionnels du mensonge…

D’ailleurs, le président de la République est certes élu mais il cumule des pouvoirs, des finances et des empires plus importants que ceux des anciens rois de France. Choisir parmi des hommes vendus au grand capital ceux qui vont poser leur pied sur notre tête n’a rien de démocratique ! Si les peuples ont coupé la tête des rois et renversé les royautés, ce n’est pas pour les rendre électorales…

Même dans la révolution française de 1789 dont tous les politiciens se réclament, les masses populaires n’ont pas attendu les élections des hommes politiques ni les décisions des parlements et des gouvernements et ont mené l’action directe. Et c’est ainsi qu’elles ont imposé le changement social et démoli l’ancien ordre féodal. Par contre, ces masses populaires des révolutions françaises de 1789, 1793 et 1871 ont toujours mis en place leurs propres organes de décision et de direction : des communes, des comités, des conseils de travailleurs.

http://www.matierevolution.org/spip.php?article2267

Les élections bourgeoises contre ... la vraie démocratie porlétarienne

La véritable démocratie, celle des travailleurs et des petites gens, n’est pas le droit de voter pour celui qui durant plusieurs années servira de chef de file des classes dirigeantes et d’un appareil d’Etat, qui eux n’ont été choisis et ne sont révocables par personne.

La véritable démocratie ne consiste pas à cacher la réalité de la lutte des classes qui fait que, dans le vieux monde, une infime minorité accapare toutes les richesses.

La véritable démocratie est organisée par et pour les classes opprimées et contre les classes oppresseuses comme la démocratie bourgeoise est organisée par et pour les classes exploiteuses, particulièrement la classe bourgeoise.

La véritable démocratie ne cherche pas à camoufler la nature de classe de l’Etat : Etat ouvrier ou Etat bourgeois, mais au contraire à la rendre consciente.

La véritable démocratie, c’est quand des millions d’opprimés font de la politique !

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article1771

La Révolution française a été à la fois un exemple de vraie et de fausse démocratie...

Il y a même eu une phase de dualité de pouvoirs entre la vraie et la fausse...

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article6535

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article4728

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article1500

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article174

Avec la Commune de Paris, la démocratie du peuple travailleur prenait le pouvoir...

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article1185

La fausse démocratie combattait la vraie les armes à la main, y compris l’arme du dénigrement...

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article5912

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article667

Karl Marx et Friedrich Engels contre le réformisme petit-bourgeois dans la social-démocratie

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article4438

Lénine face au démocratisme

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article153

Que proposaient le réformisme, le stalinisme et le trotskysme face à la montée fasciste en Allemagne ?

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article468

Quand la social-démocratie allemande pactisait avec le Haut-Etat Major et les corps francs fascistes contre la révolution prolétarienne

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article3081

La seule démocratie possible, en période de crise aïgue de la domination capitaliste, est d’arracher à la bourgeoisie ses instruments de domination

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article6420

La bourgeoisie mondiale suggère de plus en plus souvent de se passer des démocraties, y compris dans les pays riches occidentaux

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article4115

La deuxième guerre mondiale était-elle un combat des démocraties contre le fascisme ?

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article3480

La démocratie et le fascisme

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article365

Pourquoi la social-démocratie allemande a refusé de combattre le fascisme en 1933

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article5884

Trotsky : démocratie et fascisme

https://www.marxists.org/francais/trotsky/oeuvres/1932/01/320127c.htm

1933 en Allemagne : comment les partis socialiste et communiste ont été battus sans combat par le fascisme

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article636

Vienne 1934 : quand la social-démocratie fait semblant de se battre contre le fascisme

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article4809

La démocratie française ou anglaise a toujours dirigé un fascisme colonial

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article6293

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article4446

1936-38 : le front populaire en France et en Espagne n’a pas empêché la montée du fascisme et a désarmé la révolution qui pouvait l’empêcher

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article6766

https://www.marxists.org/francais/trotsky/livres/ouvalafrance/ovlf9.htm

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article1718

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article6302

Pourquoi ils font tous des pas en avant vers la fascisation de la société

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article2224

Les dérives violentes de la bourgeoisie « démocratique » proviennent de la grande peur des classes dirigeantes à l’égard de la révolution dont les menacent les opprimés

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article2811

D’où viennent les guerres, les guerres mondiales, les fascismes et les terrorismes ? De la lutte entre forces bourgeoises ou de la lutte des classes entre le prolétariat et la bourgeoisie ?

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article3638

La révolution sociale, seule voie pour battre le fascisme à condition de ne faire aucune confiance à la démocratie bourgeoise

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article5125

La seule démocratie possible, en période de crise aïgue de la domination capitaliste, est d’arracher à la bourgeoisie ses instruments de domination

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article6420

La présidence de la république au suffrage "universel", une belle caricature de démocratie au service des classes dirigeantes !

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article2271

L’union des gauches n’est pas le front des travailleurs

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article6770

La république française, c’est pas nous, c’est le régime politique et social de nos pires ennemis

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article6757

Le mythe de « La gauche »

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article4276

Quand les gouvernants en sont réduits à la seule violence directe, c’est que la dynamique capitaliste est morte

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article6174

La démocratie, ce n’est pas de voter au sein d’un système antidémocratique

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article5351

Les élections présidentielles ne sont pas les nôtres... Voter, oui mais pour nos propres représentants de classe !

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article2200

Quand nous voterons pour nos propres élus, ceux du peuple travailleur...

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article2210

Voter ou changer la société, il faut choisir

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article2063

Quelles élections peuvent changer la vie des exploités ? Celles qu’ils organiseront eux-mêmes !

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article7333

Les vingt commandements de la gauche et des syndicats

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article7133

Quand les appareils réformistes (politiques et syndicaux) seront-ils débordés par la montée ouvrière ?

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article7143

Le prolétariat a une force potentielle considérable mais beaucoup trop de faux amis

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article7118

Social-démocratie et Extrême droite, main dans la main pour mener la classe ouvrière au fascisme et à la guerre impérialiste

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article6743

En période d’effondrement économique et social, de guerre généralisée et de de crise de la domination des exploiteurs, la seule démocratie possible, c’est la démocratie directe des exploités organisés par eux-mêmes, ne comptant que sur eux-mêmes, armés par eux-mêmes et luttant pour avoir la totalité du pouvoir politique et des moyens économiques eux-mêmes ! Le reste ce sont des balivernes qui mènent à de nouveaux massacres !

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