Accueil > 01 - Livre Un : PHILOSOPHIE > La nature fait des sauts (ou le règne universel de la discontinuité) > La discontinuité de la lumière
La discontinuité de la lumière
vendredi 6 novembre 2009, par
Lorsqu’on observe l’arc en ciel, on croit à la continuité du spectre des fréquences lumineuses qui correspondent aux couleurs. Cependant cette apparente continuité est une somme de bandes discontinues correspondant aux fréquences d’émission et d’absorption des corps comme le montre le tableau suivant :
Le spectre solaire contient ainsi des bandes noires qui séparent les bandes colorées. Il y a des fréquences pour lesquelles aucun corps n’émet ni n’absorbe de lumière.
Discontinuités du spectre du Soleil à haute résolution entre 400 et 700 nm, obtenu avec le spectrographe du télescope MacMath de l’observatoire Kitt Peak en Arizona.
Le spectre de la lumière solaire
D’une manière plus générale, la discontinuité de la lumière s’est révélée bien plus fondamentale puisque celle-ci (ainsi que toutes les formes de transmission d’énergie d’interaction) est quantifiée et donc discrète et discontinue. Le quanta de lumière est appelé photon. Mais il existe aussi des quanta d’autres interactions, qui sont le méson ou le gluon.
Trinh Xuan Thuan explique dans "Les voies de la lumière" :
"La discontinuité de la lumière solaire
"Les atomes de gaz du Soleil (ou de toute autre étoile) émettent de la lumière à des énergies très précises qui produisent des raies lumineuses dans son spectre. le spectre d’une étoile s’obtient en décomposant sa lumière à l’aide d’un prisme en ses différentes composantes d’énergie ou de couleur. Quand la lumière est ainsi décomposée, elle semble à première vue présenter un spectre continu. Mais un examen plus fouillé avec un spectroscope révèle que le spectre de la lumière solaire n’est nullement continu, mais haché par des centaines de raies verticales. le physicien allemand Joseph von Fraunhofer (1787-1826), inventeur du spectroscope, en catalogua plus de six cents ! Le physicien danois Niels Bohr nous a expliqué en 1913 que cette discontinuité de la lumière est liée à la discontinuité de la matière. En effet, dans le modèle atomique de Bohr, les électrons au sein d’un atome ne peuvent aller où bon leur semble, mais sont dans l’obligation d’évoluer dans des orbites bien définies, à des distances bien précises du noyau. Un grain de lumière est émis chaque fois qu’un électron accomplit un saut quantique d’une orbite éloignée à une orbite plus rapprochée du noyau. L’énergie du grain est très exactement égale à la différence entre l’énergie de l’orbite de départ et celle de l’orbite d’arrivée. La disposition des raies lumineuses dans le spectre reflète donc fidèlement l’arrangement des orbites des électrons au sein de l’atome. Cet arrangement est unique pour chaque atome. Il constitue une sorte d’empreinte digitale, de carte d’identité de l’élément chimique. (...) Ce sont ces spectres qui nous ont révélé la composition chimique des étoiles, des galaxies et de l’univers tout entier.
"Une infinité de chemins
"Le chemin du photon de lumière peut sembler continu et en ligne droite à l’image du rayon lumineux. (...) Mais, comme le dit Feynman : "En réalité, la lumière ne se propage pas seulement en ligne droite. Elle "sent" et emprunte aussi les trajets aux alentours de la ligne droite, occupant ainsi un très petit volume d’espace avoisinant."
Matière et lumière évoluent dans un vide qui n’est pas vide et qui est constitué des mêmes particules et antiparticules que la matière mais ayant une durée de vie très brève, encore appelées virtuelles. Ce sont elles qui entourent les particules et antiparticules durables, dites réelles. La lumière, le photon, est constituée d’un électron virtuel et d’un antiélectron (positon) virtuel collés. Ils s’échangent avec les autres particules virtuelles du vide. C’est la base de tous les phénomènes quantiques de la lumière (propriétés magnétiques de la lumière, polarisation de la lumière, interactions avec la matière, caractère discontinu du spectre, fentes de Young, caractère statistique de la physique).
Sur la discontinuité de … la lumière
La lumière, et partant les forces d’interaction, ont longtemps été considérées comme continues, alors même que la matière était déjà considérée comme discontinue, atomique. C’est la physique quantique qui a montré que la lumière n’était pas moins discontinue que la matière. Les interférences, qui semblaient l’expérience la plus démonstrative du caractère ondulatoire et donc continu de la lumière. L’expérience des fentes de Young (une émission peut passer dans l’un des deux trous et on constate des franges d’interférence - alternativement claire et sombre) semblait trancher dans le sens ondulatoire. Cela a été le contraire puisque les particules de lumière, les photons, peuvent être envoyés un par un et captés un par un sur l’écran. Cependant, même si l’émission est réalisée ainsi, photon par photon, sur l’écran les figures d’interférence se réalisent progressivement à partir d’un très grand nombre de photons émis. Cela a complètement cassé l’image des interférences conçues comme un produit de la continuité des ondes. Et ce n’était pas fini : l’expérience de l’effet photoélectrique (un photon suffisamment énergétique arrache des électrons de la matière) a montré le caractère discontinu de la lumière, entraînant la physique quantique vers un renoncement à la continuité aussi bien pour la lumière que pour la matière.
Louis de Broglie dans « La physique nouvelle et les quanta » :
« L’effet photoélectrique et la structure discontinue de la lumière
La découverte et l’étude du phénomène photoélectrique a réservé aux physiciens une très grande surprise. Ce phénomène consiste en ceci qu’un morceau de matière exposé à l’action d’une radiation de longueur d’onde suffisamment courte projette souvent autour de lui des électrons en mouvement rapide. La caractéristique essentielle du phénomène est que l’énergie des électrons expulsés est uniquement fonction de la fréquence de la radiation incidente et ne dépend nullement de son intensité. Seul le nombre des électrons dépend de l’intensité incidente. (..) Mr Einstein a eu, en 1905, l’idée très remarquable que les lois de l’effet photoélectrique indiquent l’existence pour la lumière d’une structure discontinue où les quanta interviennent. (…) Lorsqu’un électron contenu dans la matière recevra un grain de lumière, il pourra absorber l’énergie de ce grain et sortir de la matière où il était enfermé, à condition toutefois que l’énergie du grain de lumière soit supérieur au travail nécessaire à l’électron pour sortir de la matière. L’électron ainsi expulsé par l’action de la lumière possèdera donc une énergie cinétique égale à l’énergie du grain de lumière absorbée diminuée du travail dépensé pour sortir de la matière : cette énergie cinétique sera donc une fonction linéaire de la fréquence de la radiation incidente, le coefficient angulaire de la droite qui la représente étant numériquement égal à la constante de Planck. (…) Telle est l’interprétation des lois de l’effet photoélectrique proposée en 1905 par Einstein. Il l’avait appelée la théorie des quanta de lumière. Aujourd’hui nous l’appelons la théorie des photons, car nous avons donné aux grains de lumière le nom de photons. Depuis trente ans, l’existence du photon a reçu de nombreuses confirmations. (…) L’étude de l’effet photoélectrique des rayons X et gamma a permis de soumettre à une épreuve très rigoureuse l’exactitude de la relation photoélectrique d’Einstein (…) la découverte d’un autre phénomène est venu en 1923 fournir une nouvelle preuve de l’existence du photon. Nous voulons parler de l’effet Compton. On sait que, si une radiation vient frapper un corps matériel, une partie de l’énergie de cette radiation est, en général, éparpillée dans toutes les directions sous forme de radiation diffusée. La théorie électromagnétique interprète cette diffusion en disant que, sous l’influence du champ électrique de l’onde incidente, les électrons contenus dans le corps matériel entrent en vibration forcée et deviennent des sources de petites ondes sphériques secondaires qui diffusent ainsi dans toutes les directions une partie de l’énergie apportée par l’onde primaire. D’après cette interprétation, la vibration diffusée sous l’action d’une onde primaire monochomatique doit avoir très exactement la même fréquence que cette onde primaire. (…) Mais une étude plus précise de la diffusion des rayons X par la matière a permis de constater qu’à côté de la diffusion sans changement de fréquence prévue par la théorie électromagnétique, il se produisait une diffusion avec diminution d e fréquence tout à fait impossible à prévoir par le raisonnement classique. (…) La radiation diffusée a une fréquence variable avec l’angle de diffusion, mais indépendante de la nature du corps. diffuseur. Mr Compton, et presque en même temps Mr Debye, ont eu l’idée que ces lois pouvaient s’interpréter en assimilant la diffusion avec changement de fréquence à un choc entre un photon incident et un électron contenu dans la matière. Au moment du choc, il y a échange d’énergie et de quantité de mouvement entre le photon et l’électron et, comme l’électron peut en général être considéré comme presque immobile en comparaison du photon, c’est toujours le photon qui perd de l’énergie au profit de l’électron. La fréquence du photon étant proportionnelle à son énergie, il y a abaissement de la fréquence au moment du choc. (…) L’effet Compton a apporté à la théorie des photons une éclatante confirmation. (…) On peut encore citer comme confirmation de la conception des photons la découverte de l’effet Raman un peu postérieure à l’effet Compton. (…) Bref, depuis trente ans, l’hypothèse d’après laquelle l’énergie lumineuse présenterait une structure granulaire s’est montrée très féconde et il n’y a pas de doute qu’elle ne nous révèle un aspect essentiel de la réalité physique. (…) Mais comment imaginer l’existence de grains de lumière insécables alors que les expériences d’interférences montrent qu’on peut obtenir des trains d’onde cohérents de plusieurs mètres ? Si l’on suppose l’énergie lumineuse concentrée en grains bien localisés dans l’espace, comment comprendre l’existence même des interférences ? (...)
La découverte de l’effet photoélectrique indiquait la nécessité de revenir vers une conception de ce genre (granulaire), mais en même temps, la forme même de la relation d’Einstein montrait qu’il fallait unir la conception granulaire et celle des ondes, de manière que les deux termes de la relation aient un sens physique.
Il faut signaler une difficulté plus subtile. Dans les conceptions classiques, l’énergie d’un corpuscule est une grandeur qui a une valeur parfaitement déterminée. Par contre, dans la théorie du rayonnement, on ne peut jamais considérer un rayonnement comme strictement monochromatique : un rayonnement contient toujours des composantes dont les fréquences occupent un petit intervalle spectral, intervalle qui peut être très petit, mais ne peut être rigoureusement nul. C’est un fait sur lequel P. Planck a beaucoup insisté dans ses exposés sur la théorie du rayonnement. Dès lors, la relation d’Einstein qui égale l’énergie du corpuscule de lumière au produit par h de la fréquence de l’onde classique correspondante, a quelque chose de paradoxal puisqu’elle égale une quantité bien définie à une autre qui ne l’est pas. Le développement de la mécanique ondulatoire a montré plus tard quel était le sens véritable de cette difficulté.
En résumé, l’hypothèse des photons, merveilleusement adaptée à l’interprétation de l’effet photoélectrique et de l’effet Compton, ne peut pas conduire à une théorie purement corpusculaire des radiations. (…)
Nous ne pouvons pas explorer directement l’intérieur de l’atome, ce microcosme inimaginablement petit où toutes les grandeurs sont des fractions infimes de celles que nous pouvons percevoir. La structure de l’atome ne peut nous être révélée que par des phénomènes observables à notre échelle qui sont des conséquences de cette structure. Au nombre de ces phénomènes, figurent les spectres de raies lumineuses qui sont émis dans certaines conditions d’excitation thermique ou électrique par les atomes des corps simples. Ces raies lumineuses sont, en effet, caractéristiques des atomes qui les émettent : elles correspondent à des événements qui se produisent à l’intérieur de ces atomes et peuvent par suite nous renseigner sur leur structure. (…) L’exploration du spectre de l’hydrogène en dehors des limites du visible a révélé l’existence d’une série ultraviolette (série de Lyman) et de séries infrarouges (séries de Pashen, de Brackett, de Pfund) (…) Pour chaque atome, il est possible de trouver une suite de nombres, appelés les termes spectraux de l’atome considéré, tels que la fréquence de toute raie spectrale de cet atome soit égale à la différence de deux de ces termes spectraux. (…)
Nous voici donc amenés à parler de cette fameuse théorie quantique de l’atome que Mr Bohr développa pour la première fois en 1913. (…) L’idée essentielle de Bohr, c’est qu’à l’intérieur de l’atome, les électrons ne peuvent se trouver que dans certains états stationnaires d’énergie quantifiés. (…) Elle a admis que, sur chaque niveau quantifié, il ne peut y avoir plus d’un nombre maximum d’électrons. (…) Mr Bohr a admis que l’atome dans ses états stationnaires ne rayonne pas, ce qui revient à nier la possibilité d’appliquer la théorie électromagnétique du rayonnement au mouvement orbital des électrons sur leurs trajectoires stables. Ayant ainsi rompu toute relation avec la théorie électromagnétique, la théorie quantique de l’atome paraissait bien désarmée pour prévoir les caractéristiques des rayonnements émis sous forme de raies spectrales. Nous avons vu comment Mr Bohr a résolu la question en ce qui concerne les fréquences des raies spectrales grâce à l’hypothèse que chaque transition entre états quantifiés s’accompagne de l’émission d’un quantum d’énergie radiante. Mais cette loi des fréquences ne précise que d’une manière bien incomplète les rayonnements émis puisqu’elle ne nous dit rien sur les intensités et les polarisations. (…) M. Bohr est parvenu en 1916 à combler, au moins partiellement, cette lacune en suivant une méthode très originale et même quelque peu déconcertante, qui consiste essentiellement en ceci : malgré l’échec de la théorie électromagnétique classique dans le domaine atomique, on cherche néanmoins à établir une certaine correspondance entre le phénomènes quantiques et les formules de l’électromagnétisme de façon à pouvoir comprendre pourquoi la théorie électromagnétique fournit une bonne représentation des faits à grande échelle. (…) En d’autres termes, d’après la théorie quantique, l’émission des raies spectrales d’un corps simple est discontinue et procède par actes individuels isolés. Il est donc assurément difficile de trouver deux conceptions plus différentes l’une de l’autre que la conception classique et celle de la théorie quantique et l’on peut au premier abord se demander légitimement si aucun pont ne pourra être construit pour les relier. (…) On s’aperçoit que cette correspondance, si toutefois elle est réalisable, ne peut être que de nature statistique. En effet, une correspondance avec l’image classique ne peut évidemment s’établir qu’en considérant simultanément l’émission de toutes les raies spectrales ; or, du point de vue quantique pour lequel l’émission de chaque quantum de radiation monochromatique est un acte individuel, cela n’est possible qu’en considérant un ensemble d’atomes de même nature en très grand nombre, ensemble où se produisent constamment des transitions de toutes sortes accompagnées de l’émission de diverses raies spectrales de l’élément considéré. D’autre part, on ne peut introduire dans la théorie quantique la notion indispensable d’intensité des diverses raies qu’en se plaçant également du point de vue statistique. L’atome quantifié, en effet, quand il subit une transition, émet un seul quantum, une seule unité, de radiation monochromatique ; pour un tel acte individuel d’émission, il ne saurait être question de l’intensité du rayonnement. Pour pouvoir définir une intensité, il faut donc encore considérer un ensemble d’un grand nombre d’atomes de même nature. (…) La nature essentiellement discontinue de la quantification, exprimée par l’apparition dans les formules de nombre entiers, les nombres quantiques, présentait un étrange contraste avec la nature continue des mouvements envisagés par la dynamique ancienne, newtonienne ou einsteinienne. (…)
Introduisons maintenant le concept de photon. Un faisceau de lumière nous apparaît comme un flot de photons et une expérience d’interférence ou de diffraction devient à nos yeux une expérience où, par suite du dispositif employé, les photons se retrouvent répartis d’une manière non uniforme dans l’espace, étant concentrés dans les franges brillantes et fuyant les franges obscures. (…) dans ces expériences, les interférences se produisent, même quand les photons arrivent un par un sur le dispositif interférentiel. Force est donc d’admettre, pour expliquer dans ce cas l’obtention finale, après de longues poses, des figures usuelles d’interférences, que l’intensité de l’onde associée à chaque photon représente en chaque point la probabilité pour que le photon se trouve en ce point. Nous sommes ainsi amenés à passer d’un point de vue statistique à un point de vue probabiliste, et le principe des interférences nous apparaît comme un principe réglant les probabilités de localisation des photons. (…) Dans un atome quantifié, il existe une série de fréquences correspondant à des états stationnaires d’énergie quantifiée. Mais, pour un tel système, tout comme pour une corde vibrante, on peut très bien envisager un état quelconque formé par une superposition d’états stationnaires (…) On ne peut plus dire que l’atome est dans un de ses états stationnaires : il est en quelque sorte à la fois dans plusieurs états stationnaires, ce qui est évidemment incompréhensible avec les conceptions classiques. Avec le principe de décomposition spectrale, la difficulté est résolue dans un sens inattendu : l’atome dans l’état envisagé peut avoir l’une quelconque des valeurs quantifiées de l’énergie représentées dans le développement spectral de son onde et cela avec des probabilités proportionnelles aux intensités des composantes spectrales correspondantes. (…)
Il est utile de réfléchir à certaines expériences classiques en optique physique. Ici encore, c’est en partant de la dualité des photons et des ondes lumineuses que nous aurons le plus de chance de pouvoir débrouiller les choses. Nous allons donc envisager une expérience bien usuelle : l’analyse spectrale d’un faisceau de lumière complexe à l’aide d’un prisme (ou d’un réseau). L’effet du dispositif employé est alors, comme on le sait depuis Newton, de séparer les diverses composantes monochromatiques contenues dans la lumière incidente. On a beaucoup discuté au 19ème siècle la question de savoir si les composantes monochromatiques isolées par le prisme existaient dans la lumière incidente ou étaient créées par l’action du prisme. Aucune réponse bien satisfaisante n’avait été donnée à cette question, mais en fin de compte l’attitude la plus prudente consistait à dire : les composantes monochromatiques existent virtuellement, en quelque sorte à l’état potentiel, dans la lumière incidente. Nous allons voir que cette opinion est confirmée par les analyses de nature quantique dont nous allons parler. »
Messages
1. La discontinuité de la lumière, 19 février 2009, 14:25, par FK
Onde ou particule ?
1. La discontinuité de la lumière, 23 février 2009, 15:15
Comment appeler un animal qui a la tête d’un lion, le cerveau d’un homme, la gueule d’un crocodile, les nageoires d’un poisson-chat, les griffes d’un tigre, la queue d’un alligator, les yeux d’une hyène, etc, etc... et le tout en UNE SEULE STRUCTURE ?
2. La discontinuité de la lumière, 23 février 2009, 15:16
Onde ou particule ?
Ni l’un, ni l’autre ! Ni onde ni particule !
Ni la matière, ni la lumière, ne sont ni l’un ni l’autre ! Et pourtant, dans les diverses expériences, ils sont toujours presque ressemblants à l’un ou à l’autre, mais jamais tout à fait identiques à l’un ou à l’autre.
Cependant une onde et un corpuscule sont des choses très très différentes et qui ne se manifestent pas du tout de la même manière…
Le caractère particulaire a semblé d’abord être valable pour la matière et le caractère ondulatoire pour la lumière (plus généralement pour les interactions). Mais la physique quantique a bouleversé tout cela. Le plus renversant, c’est que le phénomène ressemble à une onde si on effectue une expérience censée détecter une onde et ressemble à une particule si on effectue une expérience censée détecter une particule ! Ce qui a amené à prétendre que ce phénomène était déterminé par l’observateur : par l’homme. Nier toute réalité objective, c’est ce qu’ont fait certains scientifiques et certains philosophes au vu de ces résultats.
Tout d’abord, la particule n’est pas une interprétation valable. En effet, cette image supposerait qu’il s’agisse d’un objet qui existe indépendamment de l’espace qui l’entoure et dans lequel il se déplace. Or, on constate qu’il est impossible de suivre la trajectoire d’une telle particule, comme l’électron, qui apparaît et disparaît dans un temps très court et que l’on retrouve un peu plus loin sans jamais pouvoir prédire où.
D’autre part, il faudrait que l’image corpusculaire de la particule décrive tout le phénomène, par exemple celui de l’électron. Et ce n’est pas le cas. Sa dimension pose déjà problème. Sa stabilité également. Et les deux problèmes sont liés. Pas de stabilité si la particule a une dimension. Donc, il faudrait que ce soit un point matériel. Sinon, il exploserait. Or, un point ne peut pas posséder de propriété de rotation interne. Et encore moins une rotation avec période deux tours de rotation, comme c’est le cas pour le spin de l’électron !!!
On est encore plus en peine d’interpréter l’impossibilité d’avoir plusieurs électrons dans un même état (principe de Pauli) si on considère que l’électron est un objet déterminé et indépendant du milieu (le vide quantique des particules et antiparticules éphémères ou « quantons virtuels »).
Et on n’a pas vu tous les problèmes car il reste encore la question des relations matière/lumière. La matière émet sans cesse et absorbe sans cesse de la lumière. D’où la tire-t-elle et où l’absorbe-t-elle sans en être déstabilisée ?
L’unité du phénomène matière/lumière a été prouvée par Louis de Broglie qui a montré qu’il y a toujours une onde associée à un corpuscule et toujours un corpuscule associé à une onde. Mais on n’a pas pu se contenter de cette « correspondance » car, dès que l’un est détecté, l’autre disparaît !
Conclusion : la matière et la lumière sont des phénomènes et non des objets. Les seuls « objets » à cet échelon d’étude sont les quantons du vide. C’est sur la base de ceux-ci que se fondent les deux phénomènes. Et qu’ils interagissent…
La lumière serait un couplage stable entre deux quantons et la matière serait un phénomène de masse passant d’un quanton à un autre via la particule d’interaction de Higgs …
Robert Paris
3. La discontinuité de la lumière, 6 novembre 2009, 11:17, par MOSHE
Onde ou particule ?
Ni l’un, ni l’autre ! Ni onde ni particule !
Ni la matière, ni la lumière, ne sont ni l’un ni l’autre ! Et pourtant, dans les diverses expériences, ils sont toujours presque ressemblants à l’un ou à l’autre, mais jamais tout à fait identiques à l’un ou à l’autre.
Cependant une onde et un corpuscule sont des choses très très différentes et qui ne se manifestent pas du tout de la même manière
2. La discontinuité de la lumière, 9 janvier 2010, 16:22, par Robert Paris
"Le rayonnement n’est pas émis d’une manière continue." écrit Etienne Klein dans "Regards sur la matière"
3. La discontinuité de la lumière, 29 juillet 2010, 19:03, par Joss Moll
Toutes les discussions onde-particule négligent un élément essentiel.
En effet les phénomènes ondulatoires doivent avoir un support pour exister.
L’éther physique disparait totalement des discussions alors que si onde il y a, l’éther doit être considéré.
En absence d’éther il ne peut exister de fréquence que l’on retrouve dans toutes les équations
quantiques. Les travaux de M.ALLAIS conduisent à une hypothèse logique. Le champ gravitationnel
serait le support de la lumière. L’éther serait donc un milieu complexe support de la lumière qui expliquerait
les trajets courbes de la lumière. Les lentilles gravitationnelles constatées en astronomieseraient la conséquence
du support gravitationnel de la lumière. Plus simplement j’avais émis cette hypothèse en étudiant la transparence
des matériaux. En considérant les rapports du champ gravitationnel et la lumière, les difficultés rencontrées offriraient de nouvelles perspectives.
1. La discontinuité de la lumière, 30 juillet 2010, 10:00, par Robert Paris
Cher Joss,
je ne peux que te proposer de lire nos textes sur matière et vide quantique qui exposent comment, selon nous, le vide est un milieu de type matériel mais virtuel...
2. La discontinuité de la lumière, 25 septembre 2010, 10:33, par Joss Moll
réponse à robert Paris 25 10 2010
Je comprends mal la transformation du vide en matière !
Par contre je conçois que le vide n’existe pas si l’on considére qu’il est occupé par des forces.
Le champ gravitationnel se manifeste très simplement par le cycle des marées.
Ce champ de force bien qu’impalpable présente de multiples manifestations en astronomie.
Je prépare un autre livre en corrigeant certains exposés trop rapidement publiés.
Mais aussi je développerais en détail les sujets que j’ai rapidement abordés.
Trés cordialement .
Joss Moll
3. La discontinuité de la lumière, 25 septembre 2010, 22:20, par Robert Paris
cher Joss
quelques lectures avant de développer ce débat :
1-
2-
3-
4-
dès que tu le souhaites, on en rediscute
amicalement Robert Paris
4. La discontinuité de la lumière, 4 octobre 2010, 08:57, par Joss Moll
Mon cher Robert,
J’ai bien pris connaissance de vos deux reponses et vous en remercie.
J’etudie les textes cités et je ferais mes commentaires après réflexion.
En novembre je serais plus disponible.
Une seule première reflexion concerne l’expérience de Michelson et Morley.
Les résultats obtenus s’éclairent très nettement si on admet l’existence d’un Aether
différent que celui envisagé ! Il ne s’agit pas de le nier mais il faut l’imaginer autrement !
L’hypothèse ( M.Allais - J.Moll ) d’un aether constitué par le champ gravitationnel
bouleverserait la réflexion scientifique !
Je répondrais point par point aux différents textes que vous me conseillez.
Très cordialement
Joss Moll
5. La discontinuité de la lumière, 30 décembre 2010, 18:22, par JMPPF
Monsieur Joss Moll,
Votre réponse me plaît.
Un professeur nous exposait, voici 50 ans, cette dualité onde-particule. Nous n’étions pas des scientifiques mais des élèves ingénieurs donc naturellement terre à terre. Cette affaire m’a toujours intrigué. Et quand je vois un navire sur la baie de Douarnenez je pense qu’il y a là une particule et une onde. J’imagine un extra-terrestre aussi gros, par rapport à ce navire qu’un homme par rapport à un photon et qui observe avec ses instruments. S’il existe deux passes, le navire en prend une mais l’onde prend les deux. Et à la sortie les deux ondes interfèrent. L’extra-terrestre détecte parfois l’onde, parfois la particule. Il est très intrigué. Et je crois avoir compris !
Mais quand on me supprime l’éther, mon analogie ne tient plus. Et je pense que je mourrai idiot.
6. La discontinuité de la lumière, 29 janvier 2011, 19:47, par jos moll
bonjour JMPPF,
J’ai visité le musée des phares d’Ouessant. Quelle surprise ! on y expose un grand schéma expliquant
la visibilité du phare jusqu’aux iles Scilly à 200 Kms environ par temps très clair, alors que la portée du phare, déjà extraordinaire, n’est que de 80 Kms.
Est-ce une illusion ? est-ce une blague ? Ni l’un ni l’autre, celà serait possible en présence du "Gravéther". En effet le champ gravitationnel servant de support à l’onde lumineuse expliquerait
le trajet courbe du faisceau lumineux qui est représenté dans le musée ! J’ai fait un schéma avec un trajet linéaire du faisceau lumineux et constaté étant donné la courbure de la surface terrestre que la visibilité serait impossible sur la côte des îles car le rayon serait à une hauteur de 500 m environ ! Cette observation très simple, ( j’espère que le musée a conservé leur image ),trop simple ? peut être..... aux yeux de la mécanique quantique, serait trop dérangeante aux pourfendeurs de l’Ether gravitationnel. De nombreux développement en découlent....
7. La discontinuité de la lumière, 29 janvier 2011, 22:08, par RP
Par temps clair, il paraît qu’on peut parfois voir la Corse depuis Cagnes sur Mer.
4. La discontinuité de la lumière, 6 août 2010, 23:01, par Robert Paris
Mark Silverman dans « And yet it moves » (Et pourtant il bouge) :
« En mécanique quantique, l’atome qui rayonne n’est pas un phénomène continu, mais se déroule seulement au travers de transitions entre des états. »
1. La discontinuité de la lumière, 14 janvier 2011, 12:31, par Joss Moll
Onde et Particule
J’étudie les textes qui me sont conseillé par R. Paris.
C’était déjà un élèment de ma culture scientifique . Je n’en ferais pas une critique point par point.
Je pense qu’il est auparavant indispensable de revenir à des fondamentaux.
Qu’est-ce qu’un rayonnement, comment se propage-t-il, comment peut-on représenter les énergies qui participent
à son mouvement.. etc,
C’est beaucoup moins simple qu’il n’y paraît.
Cette étude que j’essaie de rédiger en images claires, permettrait de comprendre par exemple la polarisation de la lumière dont toutes les explications que j’ai pu observer me semblent très limitées et critiquables.
Le Gravéther explique déjà l’expérience de Michelson et Morley...ce qui me semble un progrès cartésien.
2. spectre de la lumière, 27 janvier 2011, 07:58, par joss Moll
Matiere et Révolution présente un spectre discontinu comme incompatible avec une onde lumineuse qui devrait avoir un spectre continu !
1ère Remarque : l’information lumineuse aborde la face d’entrée du prisme de dispersion, à la sortie elle
est le resultat des interactions avec les atomes et molécules du prisme.
Que passe-t-il dans la traversée du verre ? La lumière est-elle différente ou récupère -t-elle toutes ses caractéristiques d’origine ?
2ème remarque : le spectre exposé intéresse 400 nm à 700 nm environ.
Ces chiffres mesurent des longueurs d’onde ! Puisque longueurs d’onde il y a comment négliger la nature ondulatoire et la nécessité d’un support. ( Gravéther )
3 ème remarque : les quanta sont des entités d’énergie qui ont une source et ensuitent se transmettent en utilisant un milieu ( le Gravéther )
L’expérience de Michelson et Morley est une preuve éclatante du Gravéther. En effet entre les différents miroirs le Gravéther se comporte comme des fils tendus entre les surfaces refléchissantes, donc solidaires du support expérimental. Ces fils tendus restent constants dans toutes les positions et expliquent l’invariabilité des interférences observées.
4 ème Remarque : Il n’y a rien de virtuel quand on constate l’expression d’une action, donc d’une force sur la matière, ce n’est pas virtuel mais invisible à nos perceptions humaines .
Quand un aimant attire un objet, la force d’attraction existe et se constate bien qu’elle ne soit pas visible. Il nous faut imaginer un cable tiré par un treuil ! C’est un champ de force ! (Joss Moll)
3. La discontinuité de la lumière, 27 janvier 2011, 13:41, par Robert Paris
Un des éléments fondamentaux de la compréhension du rayonnement me semble l’idée que le rayonnement n’est pas un élément de base, n’est qu’un phénomène qui participe d’un univers sous-jacent.
Qu’est-ce qui fait penser cela.
Je n’en donne ici qu’un seul exemple.
Gilles Cohen-Tannoudji expose dans son ouvrage "Matière-espace-temps" les trajectoires des rayons suivant l’agraindissement :
Apparemment linéaire, le rayon devient en ligne brisé et discontinu plus on augmente la précision...
Cela signifie que l’ordre apparent que représente le rayon est fondé sur un désordre sous-jacent : celui du vide virtuel...
4. La discontinuité de la lumière, 27 janvier 2011, 13:46, par Robert Paris
Il faut interpréter toutes les interactions entre lumière, vide et matière...
Nous le tentons ici
Le problème du discontinu et du continu est exposé ici
5. La discontinuité de la lumière, 27 janvier 2011, 13:48, par Robert Paris
La discontinuité du spectre ne provient bien sûr pas du prisme qui n’a fait qu’écarter les rayonnements en fonction de la longueur d’onde. Il provient des caractéristiques de l’atome qui émet. Il provient des sauts quantiques qui sont irrémédiablement discontinus.
5. La discontinuité de la lumière, 27 janvier 2011, 13:49, par Robert Paris
Le spectre d’émission des atomes est toujours discontinu
1. La discontinuité de la lumière, 28 janvier 2011, 21:58, par jos moll
Mon cher Robert,
Quand j’arrose mon jardin avec un sceau et une pomme dispersante, le jet d’eau rayonne et pourtant
le volume d’eau dans le réservoir faisait un tout !
Quand un quantum d’énergie ébranle le Gravéther il crée une onde , le suivant en fait de même
, ils sont l’expression du transfert de l’énergie de la matière dans l’espace.
Ainsi naissent les ondes dont certaines sont perçues par nos sens visuels.
Ensuite ces quantas ne sont plus des entités voyageuses en lignes plus ou moins droites.
Ils ont engendré des fronts d’ondes qui voyagent dans l’espace où ils subiront l’influence
des éléments rencontrés. En traversant le verre ils seront en présence des 4 forces qui régissent la matière avec des interférences qui engendreront des modifications... Ils seront en pésence des ondes de De Broglie, du Spin des électrons.etc....l’Interaction lumière- matiére reste encore
assez imprécise. Feynman reste sur l’expectative.
La discontinuité du sprectre n’est peut être pas suffisante pour affirmer la nature quantique donc
photonique de la lumière. Je me permet de vous demander de considérer le voyage de l’information lumineuse dans l’expérience de Michelson et Morley dont le résultat apparait très simple si l’on considère le Gravéther ( M.Allais. J.Moll ). Certes je comprends votre étonnement étant donné la route scientifique divergeante. Je crois que beaucoup de précision sémantique sera indispensable pour préciser les avis et les notions qui nous submergent.
2. La discontinuité de la lumière, 22 mars 2011, 11:18, par joss moll
Mon cher Robert,
Curieux d’être sans réponse !
Un quantum d’énergie ébranle le Graviether qui transmet l’onde ainsi créée .
Le quantum, E=hv est bien transmis sous forme fréquentiel donc ondulatoire tel que l’exprime la formule de Planck.
Il n’y a donc pas de contradiction entre les quantas et les ondes.
Le contact avec la matière s’accompagne de concordance de phase et d’opposition de phase qui explique la transparence
ou l’absorption . Les fréquences donnant naissance à des parcourts différents plus ou moins longs engendrent selon les calculs de Huygens la dispersion dans le verre et sa mise en évidence par les prismes.
Einstein admettait qu’il n’y avait pas de contradiction entre la théorie générale de la relativité et l’éther physique.
Mais les données des Théories de Stokes et de M.Allais n’avaient pas encore été suffisemment assimilées pour comprendre
le GRAVIETHER qui permet d’élucider les données de l’Exp de Michelson et Morlay.. le trajet courbe de la lumière...etc
3. La discontinuité de la lumière, 22 mars 2011, 17:30, par Robert Paris
Cher Joss,
dans toutes ces questions, le véritable problème est philosophique. A savoir comment on exprime la contradiction inhérente à la matière qui n’est pas une contradiction diamétrale mais dialectique : contradiction entre onde et corpuscule, entre matière et vide, entre matière et anti-matière. Si on le fait en la supprimant, il y a un problème. On ne peut pas supprimer par un procédé réductionniste ces contradictions.
4. La discontinuité de la lumière, 22 mars 2011, 22:02, par joss moll
Mon Cher Robert,
Merci de cette réponse,
La philosophie m’intéresse beaucoup mais la lumière occupe
également un domaine physique qui privilégie l’exercice expérimental.
L’Ether physique gravitationnel que j’appelle ( Graviether )est issue des travaux
de Stokes, Fresnel, Huygens,M.Allais et en accord avec les résultats expérimentaux
de Michelson et Morlay,... bien d’autres devraient être cités.
Bien cordialement .
Joss Moll
5. La discontinuité de la lumière, 23 mars 2011, 10:21, par Robert Paris
Cher Joss
bien sûr qu’il y a l’expérience mais celle-ci dépend ’en boucle) de la théorie. Non pas qu’on puisse trouver n’importe quoi dans une expérience mais mesurer nécessite des concepts que sont les grandeurs mesurées et qu’est la mesure elle-même. ce sont de véritables difficultés scientifiques qui ont un caractère philosophique....
6. La discontinuité de la lumière, 25 mars 2011, 11:30, par Joss Moll
Cher Robert,
La science n’atteint qu’une petite fraction des phénomènes de l’Univers.
Par la perception directe ou par les capteurs sophistiqués la science reste
de toute façon subjective puisque traduisant les perceptions et représentations cérébrales.
Tout est subjectif mais la philosophie ne fait que s’attaquer à un domaine
de pensée dont les références sont toujouts discutées et discutables.
Si on reste humble en admettant le caractère subjectif des concepts scientifiques
on pénètre dans le monde technologique qui ne devrait servir que les orientations
philosophiques dignent de l’humanité.
La philosophie aurait-elle pour mission de guider la Science ?.
6. La discontinuité de la lumière, 24 septembre 2015, 10:19, par joss Moll
depuis 2011, ma réflexion concernant la théorie de la lumière s’est enrichie de nombreuses
observations qui ne contredisent pas la notion de GRAVIETHER.( éther physique : champ
gravitationnel ) une onde se propageant par l’intermédiaire de bulles énergétiques occupant
l’espace interplanétaire et servant de support à la transmission des ondes comme un océan
immobile transmet l’énergie des vagues animées par le vent .
Mais l’étude de l’IRM permet de supposer que ces bulles de champ gravitationnel seraient
également animées de tourbillons comme l’imaginait Descartes !
L’étude de la vision oriente vers des hypothèses extrêmement complexes car incroyables
sont les phénomènes qui conduisent à comprendre que la vue est capable de mettre
" Paris en bouteille "....toutes mes phrases mériteraient des explications.... je le ferais dans un deuxième livre, le premier n’ayant fait qu’effleurer ces questions....
7. La discontinuité de la lumière, 24 septembre 2015, 12:51, par Robert Paris
Merci beaucoup de nous communiquer vos réflexions sur ce thème. Vous savez qu’Einstein lui-même était revenu sur ses propos contre l’éther et avait admis la nécessité d’un éther qui soit à la fois gravitationnel et quantique mais le problème est justement d’accommoder les deux. J’ai moi aussi tenté cette opération : lire ici