vendredi 24 juin 2022, par
Dans un courriel envoyé le 4 juillet, Paul Elias Alexander, conseiller du secrétaire adjoint aux affaires publiques de la santé et des services sociaux, Michael Caputo, a déclaré que le gouvernement devrait ouvrir les entreprises et les écoles pour infecter le plus grand nombre possible de personnes. « Les nourrissons, les enfants, les adolescents, les jeunes, les jeunes adultes, les personnes d’âge moyen sans pathologie, etc. ont un risque nul ou faible… Donc nous les utilisons pour développer [l’immunité] collective … nous voulons qu’ils soient infectés », a écrit Alexander. Les mémos d’Alexander expriment l’opinion que la vie des personnes âgées et des malades a moins de valeur que celle des jeunes. « Les données montrent que j’ai entendu dire que seulement 3,5 pour cent des décès se produisent maintenant chez des personnes de moins de 44 ans », a écrit Alexander. Il a ajouté que « Dieu nous en préserve » que cela change. Ces déclarations ne peuvent être décrites que comme des divagations fascistes. La population est considérée comme un ensemble de cobayes, à infecter à volonté, et la vie des personnes âgées est traitée comme sans valeur. Dans un autre e-mail, Alexander a poursuivi : « Donc, si la population est plus infectée maintenant, la question est de savoir qui s’en soucie ? Si elle provoque plus de cas chez les jeunes, je pose la question : qui s’en soucie… qui se soucie de savoir si nous faisons plus de tests et nous obtenons plus de tests positifs ». Dans ses divagations meurtrières, Alexander s’exprimait à la fois au nom de la Maison-Blanche et des sections dominantes de l’establishment politique américain. Avec son patron, Michael Caputo, Alexander a réussi à empêcher la publication des chiffres de mortalité et d’infection aux Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC). Il a pu convaincre les scientifiques de minimiser la menace posée par la pandémie. Fait plus important encore, tous les médias américains ont soutenu la politique d’« immunité collective » de la Maison-Blanche. En prenant la Suède – qui n’a pas fermé d’entreprises et d’écoles pendant la pandémie – comme « modèle », le Wall Street Journal, le Washington Post et le New York Times ont tous fait la promotion de la théorie des charlatans de l’« immunité collective ».
https://www.wsws.org/fr/articles/20...
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Pandémie, effondrement économique et social, répression... Bizarre ? Vous avez dit bizarre ?
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La série des dix « hasards » de la crise du Covid-19 allié e à l’effondrement capitaliste, cela fait-il une preuve ? https://www.matierevolution.fr/spip...
Pour le crime de la pandémie du covid-19, j’accuse le capitalisme
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Est-ce une fake new, de la désinformation, du complotisme d’extrême droite, un mythe de la peur ou est-ce une réalité vraisemblable ?
"Ce qui est certain c’est qu’un groupe de scientifique impliqué dans ces recherches a tenté de manipuler l’opinion mondiale. Et que des recherches risquées de génies génétiques sur des virus pathogènes ont été menées à Wuhan et Caroline du Nord, sans contrôle ni garantie de sécurité".
"C’est pratiquement le mode d’emploi de la création du covid qui est inscrit dans le projet de Peter Daszak de mars 2018, dont il n’a jamais fait mention avant que la presse ne le révèle."
Peter Daszak avait largement collaboré avec l’Institut de virologie de Wuhan, spécialisé dans les maladies coranariennes afin de construire des coronavirus "chimériques", c’est-à-dire, qui combinent des fragments de différents virus qu’on trouve dans la nature.
https://www.midilibre.fr/2022/06/09...
Moins de deux ans avant le début de la pandémie de COVID-19, les scientifiques de l’Institut de virologie de Wuhan prévoyaient de modifier génétiquement les virus pour les rendre plus infectieux pour les humains et de les libérer dans des grottes de chauves-souris.
La proposition de recherche faisait partie d’une mine de documents publiés cette semaine par un groupe de scientifiques et d’activistes qui tentent de déterminer les origines de la pandémie, qui a tué 4,7 millions de personnes dans le monde, selon l’Université Johns Hopkins.
Les scientifiques de Wuhan ont été répertoriés comme partenaires dans une proposition de financement que l’association à but non lucratif de santé environnementale EcoHealth Alliance a faite à la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) du gouvernement américain.
La DARPA a rejeté la proposition et on ne sait pas ce qu’il est advenu du projet de recherche, que les documents décrivent comme ayant "un bon départ".
La proposition promet d’alimenter la controverse autour du rôle du laboratoire de Wuhan dans la pandémie. Le gouvernement chinois soutient que l’épidémie a commencé sur un marché humide et se hérisse des suggestions selon lesquelles des expériences menées à l’Institut de virologie de Wuhan ont conduit à une fuite d’agents pathogènes dangereux.
Un nombre croissant de scientifiques et de gouvernements du monde entier, y compris l’administration Biden, ont refusé d’écarter la théorie des fuites de laboratoire et ont exigé que la Chine coopère pleinement à une enquête scientifique mondiale.
Dans sa demande de financement, EcoHealth Alliance "a proposé d’injecter des coronavirus de chauve-souris chimériques mortels collectés par l’Institut de virologie de Wuhan à des souris humanisées et" batifiées "", a déclaré DRASTIC Research.
https://www.newsweek.com/wuhan-lab-...
Qui est Peter Daszak ?
https://fr.wikipedia.org/wiki/Peter...
Des documents obtenus par « The Intercept » confirment que des fonds fédéraux américains ont financé des recherches conduisant à rendre plus virulents des coronavirus de chauve-souris dans un laboratoire de Wuhan.
https://www.liberation.fr/checknews...
Chinois et Américains ont collaboré pendant des années à fabriquer des covid…
https://up-magazine.info/le-vivant/...
Ce n’est pas une nouveauté que des laboratoires fabriquent des virus mortels…
https://www.futura-sciences.com/san...
A Wuhan comme en Caroline du Nord, ce sont des scientifiques liés à l’Etat et à l’armée américains qui ont fabriqué des covid…
Ce sont des scientifiques américains qui maîtrisent la technologie avancée de modification de coronavirus. Les instituts de recherche américains sont sans égales au monde dans les technologies d’édition génomique, de gain de fonctions et de création synthétique de coronavirus. Le Professeur Ralph Baric de l’Université de Caroline du Nord à Chapel Hill est le premier à avoir synthétisé un coronavirus et il est surnommé « chasseur de coronavirus ». Son laboratoire figure parmi les plus importants centres de recherche du monde dans l’édition génomique et le gain de fonctions de gènes viraux. Selon la presse universitaire de l’Université de Caroline du Nord, en 1990, époque où les séquenceurs d’ADN et les technologies d’édition génomique n’avaient pas encore vu le jour, Ralph Baric avait déjà commencé à étudier la manipulation du génome de coronavirus, et en 2002, il est parvenu pour la première fois à la dissociation et la reconstitution de coronavirus. Selon un reportage de la revue américaine MIT Technology Review, la « technologie de génétique inverse » maîtrisée par Ralph Baric permet non seulement de cultiver un virus vivant avec des fragments génétiques de coronavirus, mais aussi de modifier les gènes des coronavirus pour en créer de nouveaux. Ralph Baric a déposé une demande de brevet pour cette technologie, qui a été approuvée en 2007. La référence du brevet est US7279327B2. Quant à la scientifique de l’Institut de virologie de Wuhan Shi Zhengli, stigmatisée par les médias occidentaux depuis longtemps, elle n’a fait que fournir à la demande de Ralph Baric des échantillons de coronavirus qu’elle avait collectés. C’était à un laboratoire de l’Université de Caroline du Nord où Ralph Baric travaillait que la manipulation de virus a été menée. Le résultat de cette étude a été publié dans la revue académique internationale Nature en 2015. La technologie de modification génétique de Ralph Baric est extrêmement controversée dans les milieux scientifiques, car elle a la capacité renforcer l’infectiosité et la pathogénicité des virus. D’après le Professeur Francis Boyle de l’Université d’Illinois, l’un des rédacteurs de la loi américaine anti-terrorisme de 1989 sur les armes biochimiques, il s’agit au fond d’une recherche sur la guerre biologique. Ce sont des instituts de recherche américains qui ont créé artificiellement des coronavirus à haut risque. Ralph Baric entretient une coopération étroite de long terme tant avec l’Institut de recherche médicale sur les maladies infectieuses de l’Armée américaine (USAMRIID), un institut basé à Fort Detrick et spécialisé dans la recherche virologique, qu’avec l’Installation de recherches intégrées (IRF) rattachée à l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID). Un grand nombre d’articles de recherche scientifique montrent que Ralph Baric a mené de nombreuses études sur les coronavirus en collaboration avec l’USAMRIID. Les « ressources » de coronavirus et la technologie de modification de virus dont Ralph Baric disposait ont été largement utilisées à Fort Detrick. Selon un article publié dans la revue scientifique Nature en 2018, un chercheur de Fort Detrick avait collaboré avec Ralph Baric pour infecter des singes avec le MERS-CoV génétiquement modifié. En décembre 2019, avant l’éclatement de l’épidémie de la COVID-19, Peter Daszak, président de l’EcoHealth Alliance, une ONG basée à New York, a admis dans une interview avec This Week in Virology que son alliance avait coopéré avec Ralph Baric et l’Université de Caroline du Nord pour modifier les coronavirus en laboratoire à l’aide de la technologie génétique, afin que les virus puissent conquérir les cellules humaines. Après avoir étudié plus de 100 espèces de virus similaires au SRAS-CoV, ils ont découvert que certains virus peuvent provoquer des maladies graves qui sont incurables et insensibles aux vaccins. Ce sont les laboratoires américains qui ont connu de fréquents incidents de biosécurité. L’USAMRIID et l’IRF du NIAID ont tous un très mauvais bilan en termes de sécurité de laboratoire. Les informations révélées par le journal américain The Frederick News-Post montrent que rien qu’en 2014, l’IRF a connu de nombreux incidents de sécurité, dont certains impliquaient directement des coronavirus à haut risque tels que le MERS-CoV. Il est de notoriété publique qu’à l’automne 2019, à la veille de l’éclatement de l’épidémie de la COVID-19, l’USAMRIID a eu un grave accident de sécurité et a été fermé pendant un certain temps à la demande du CDC des Etats-Unis. En juin 2020, ProPublica, un journal d’investigation basé à New York, a demandé de consulter les dossiers sur les incidents de sécurité du laboratoire de Ralph Baric auprès de l’Université de Caroline du Nord, des Instituts américains de la santé (NIH) et du CDC américain. Ces dossiers montrent que de janvier 2015 à juin 2020, l’Université de Caroline du Nord a signalé aux NIH 28 incidents de sécurité liés aux micro-organismes génétiquement modifiés. Six d’entre eux impliquaient des coronavirus dont le SRAS-CoV, le MERS-CoV et le SRAS-CoV-2, et beaucoup de virus ont été génétiquement modifiés. Au total, huit chercheurs ont probablement été infectés, mais seul un d’entre eux a été isolé. L’Université de Caroline du Nord, les NIH et le CDC américain ont tous refusé de fournir les rapports d’enquête sur les incidents susmentionnés, d’accepter des interviews et d’expliquer pourquoi les chercheurs concernés n’étaient pas isolés. C’est aux Etats-Unis qu’ont été constatées des maladies infectieuses similaires avant l’apparition de l’épidémie de la COVID-19. De nombreux médias ont rapporté qu’en juillet 2019, donc avant le signalement de l’apparition de la COVID-19 à Wuhan, une mystérieuse « pneumonie liée à la cigarette électronique ( pneumonie associée au vapotage ) » a éclaté dans le Wisconsin, avant de sévir dans de nombreux autres Etats américains. Toujours en juillet 2019, une maladie respiratoire de cause inconnue a éclaté en Virginie, et des cas de pneumonie inexpliquée ont aussi été signalés dans deux maisons de retraite près du laboratoire biologique de Fort Detrick dans le Maryland. Les patients présentaient des symptômes très similaires à ceux de la COVID-19. Des experts médicaux chinois ayant participé à la lutte contre l’épidémie à Wuhan, après avoir consulté 60 articles de recherche sur des cas de « pneumonie associée au vapotage » et étudié 250 images pulmonaires et les informations cliniques de 142 patients, ont découvert que 16 d’entre eux étaient plus susceptibles d’être des « cas suspects » de la COVID-19. Cinq de ces 16 patients, dont les informations sur les symptômes cliniques et les traitements sont relativement complètes, ont été identifiés comme « cas moyennement suspects ». 12 de ces 16 patients étaient tombés malades avant 2020. Un grand nombre de publications sur les réseaux sociaux américains au cours du premier semestre 2020 montrent qu’environ 200 personnes résidant aux Etats-Unis ou dans des pays ayant d’étroits liens avec les Etats-Unis ont fait savoir que, dès novembre 2019, elles-mêmes ou d’autres personnes avaient contracté une maladie suspectée d’origine du nouveau coronavirus. De plus, lors des Jeux mondiaux militaires de Wuhan en octobre 2019, cinq sportifs américains ont eu des symptômes de maladie infectieuse, comme de la fièvre et de la toux. Les Etats-Unis ont envoyé un avion militaire pour les rapatrier, mais n’ont jamais expliqué leur maladie au reste du monde. Par coïncidence, l’armée américaine, l’armée la plus puissante au monde, n’a remporté aucune médaille d’or lors de ces Jeux, et ne s’est classée qu’à la 35e place sur le tableau des médailles. Cela ne donne-t-il pas à bien réfléchir ? C’est l’administration américaine qui finance depuis longtemps la recherche sur la guerre biologique. La recherche sur le gain de fonctions virales et la guerre biologique bénéficie depuis de longues années du soutien systématique de l’administration américaine. Les NIH ont beau annoncer en octobre 2014 la suspension du financement des recherches visant à renforcer le gain de fonctions des virus grippaux, du SRAS-CoV et du MERS-CoV, selon ProPublica, l’ordre des NIH n’a jamais été mis en application. En réalité, si les responsables des agences de financement concernées jugent qu’une recherche est nécessaire, ils peuvent demander une dérogation. En 2017, l’administration américaine a encore levé les restrictions sur ces recherches. Selon le site web de l’Université de Caroline du Nord, Ralph Baric a reçu plus de 6 millions de dollars de dons de la part du NIAID en 2017 pour développer un médicament traitant les coronavirus mortels. Selon les révélations du site web U.S. Right to Know, en janvier 2018, l’EcoHealth Alliance a versé à Ralph Baric une somme non divulguée. Le site web Independent Science News des Etats-Unis a rapporté que l’EcoHealth Alliance est pendant longtemps financée par le Département américain de la Défense et l’Agence américaine pour le développement international pour les recherches sur les coronavirus. Elle a reçu au moins 103 millions de dollars, dont près de 40 millions de dollars provenant du Département de la Défense ont été intentionnellement dissimulés. Selon les révélations de certains médias en juin 2021, les Etats-Unis ont obtenu de l’Unité 731, une unité militaire de recherche bactériologique de l’Armée impériale japonaise qui avait envahi la Chine durant la Seconde Guerre mondiale, des données en matière d’expériences sur humains, d’expériences bactériennes, de guerre bactériologique et d’expériences sur les gaz toxiques, afin de mener des recherches sur les armes biologiques. En échange, les Etats-Unis ont exonéré les criminels de guerre de l’Unité 731 de leurs responsabilités de guerre. C’était grâce à cela que Fort Detrick s’était rapidement développé pour devenir une base de recherche et de développement d’armes biologiques. Les Etats-Unis ont même dissimulé au monde les crimes odieux de l’Unité 731 et de son responsable Shiro Ishii, et fait de Shiro Ishii un consultant en armes biologiques pour Fort Detrick.