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L’effet de serre lié au CO² issu de l’activité humaine est-il coupable d’un réchauffement planétaire ? Poser la question n’a rien de scandaleux ni de fâcheux !
dimanche 14 janvier 2024, par
L’effet de serre lié au CO² issu de l’activité humaine est-il coupable d’un réchauffement planétaire ? Poser la question n’a rien de scandaleux ni de fâcheux !
Bernard Sapoval dans « Universalités et fractales :
« Certaines questions relèvent de phénomènes non-linéaires dont nous verrons qu’ils mettent en jeu les limites essentielles de la prévisibilité. Prenons un exemple, celui du réchauffement de l’atmosphère par l’effet de serre. Ce que l’on sait avec certitude, c’est que l’effet de serre, en lui-même, existe, et dire que cet effet de serre ne peut pas exister est contraire à la science constituée. En revanche, dire comment, quand, et même répondre à la simple question de savoir quelle est la mesure qui prouve ou prouvera le réchauffement de l’atmosphère reste une question totalement ouverte pour les spécialistes. Le chaos déterministe entraîne que certains phénomènes connus ont un comportement à long terme impossible à prédire. »
Tout d’abord, il convient de préciser qu’on a parfaitement le droit de douter, qu’il n’y a aucune preuve directe, qu’il n’y a aucune honte à discuter cette thèse qui n’est qu’une hypothèse parmi d’autres, que ce n’est nullement de la bêtise et de l’ignorance que de refuser cette idée et qu’elle est refusée par des gens qui ne diffusent pas des fake news, ne sont pas vendus à l’industrie pétrolière et ne sont pas des fascistes ou des arriérés !
Est-il vrai que le climat, ce soit d’abord l’effet de serre et cela dépende essentiellement du gaz carbonique CO² ?
https://www.matierevolution.fr/spip.php?article3894
Les calculs de l’effet de serre en Physique montrent que celui-ci ne peut pas créer une augmentation significative de la température de la Terre.
https://whyclimatechanges-com.translate.goog/impossible/?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr
https://ozonedepletiontheory.info/Papers/Ward2017ExperimentalProof.pdf
Alors, les adeptes de la thèse disent que c’est normal qu’on ne puisse pas calculer simplement…
Définition de l’effet de serre radiatif
https://www.science-climat-energie.be/definition-de-leffet-de-serre/
L’effet de serre et le bilan énergétique de la Terre
Le CO2 et le climat avec et sans effet de serre
https://www.science-climat-energie.be/2018/08/06/le-co2-et-le-climat-avec-et-sans-effet-de-serre/
Pourquoi l’effet du CO2 sur le climat est exclu par la physique
Le climat est d’abord une affaire d’énergie. L’apport d’énergie vient presque exclusivement du soleil ; il se répartit dans l’espace et dans le temps en fonction du mouvement orbital de la Terre, de la rotation de celle-ci sur elle-même, et des variations dans le temps de la puissance solaire.
La façon dont cette énergie solaire incidente traverse l’atmosphère, pénètre à la surface, se transforme en d’autres types d’énergie comme l’énergie latente ou l’énergie potentielle, puis est réémise vers l’espace à travers l’atmosphère sous forme d’énergie infrarouge, dépend de la composition physico-chimique de l’atmosphère, du cycle de l’eau, des propriétés optiques de l’océan, de l’état des surfaces émergées et de leur couvert végétal, et enfin du transport d’énergie d’un endroit à l’autre de la planète par les mouvements de l’atmosphère et de l’océan. L’ensemble du système peut d’interpréter comme une sorte d’énorme machine thermique…
La luminosité solaire actuelle correspond à un flux incident d’énergie solaire d’environ 1368 Watt par mètre-carré (pour comparer, le doublement du CO² atmosphérique produit par l’activité humaine produit seulement un excès de 4 W/m² selon Hervé Le Treut dans la conférence pour l’université de tous les savoirs intitulée « L’action de l’homme sur le climat » - note M et R) ; si nous répartissons ce flux sur l’ensemble de la surface terrestre (soit quatre fois la section du cylindre intercepté par la Terre), nous obtenons une valeur moyenne de 343 W/m². De ce flux incident, environ 30%, soit 102 W/m², est réfléchi ou rétrodiffusé vers l’espace par les nuages, les aérosols, la neige et les parties les plus réfléchissantes de la surface, notamment les déserts. Restent donc 240 W/m² qui sont réellement absorbés par le système : environ 65 par l’atmosphère, le reste, environ 175, servant à chauffer la surface. Le fait que presque les trois quarts de l’énergie solaire absorbée le soit au niveau de la surface entraîne naturellement que la température de l’air décroît quand on s’élève ; mais l’effet de serre accentue très fortement cette décroissance. En effet, la surface chauffée par le rayonnement solaire restitue son énergie à l’espace principalement sous forme de rayonnement infrarouge, dont une partie est absorbée et réémise vers le bas par l’écran des gaz à effet de serre (vapeur d’eau, CO², méthane, N²O, ozone, halocarbures) ainsi que par les nuages. Cet effet de serre piège ainsi une grande quantité de chaleur dans les basses couches, dont il contribue à élever encore la température. le rayonnement intercepté par l’effet de serre est de l’ordre de 155 W/m² ; cette valeur est une mesure de l’effet de serre total. Une autre mesure possible de l’effet de serre est le réchauffement qu’il entraîne pour la surface : 33°C, calculé comme la différence entre la température moyenne de la surface et la température de la Terre vue de l’espace à travers l’atmosphère.
Les radiomètres à bandes larges comme ScaRaB (CNRS-CNES), qui mesurent le bilan radiatif depuis l’espace, nous renseignent sur les flux nets de rayonnement solaire et infrarouge irradiés par la Terre vers l’espace. Combinés avec les mesures de surface, les données de ces instruments permettent par exemple d’étudier la modulation de l’effet de serre par la température de surface, par la vapeur d’eau (le plus abondant des gaz à effet de serre) et par les nuages. D’après ScaRaB, la contribution des nuages à effet de serre global est d’environ 30 W/m², alors qu’ils augmentent la réflectivité de la planète de 48 W/m² : l’effet radiatif net des nuages va donc dans le sens d’un refroidissement du climat par 18 W/m². Bien sûr, il s’agit là d’une valeur moyenne : l’effet radiatif varie selon les types de nuages, et se répartit diversement en fonction des lieux et des saisons.
En moyenne sur le globe et dans le temps, le bilan d’énergie de la planète Terre est à peu près équilibré : la Terre irradie vers l’espace dans l’infrarouge une énergie sensiblement égale à celle qu’elle reçoit du soleil. Mais il est évident que cet équilibre ne peut être qu’approché, à cause des oscillations permanentes – diurnes, saisonnières et autres – du système climatique, et aussi, aujourd’hui, de la perturbation faible mais significative due à l’activité planétaire des hommes.
Par contre, en un point donné de la Terre, le bilan des échanges d’énergie avec l’espace est loin d’être équilibré. Dans les tropiques, la Terre reçoit plus d’énergie solaire qu’elle n’émet de rayonnement infrarouge ; dans les régions polaires, c’est l’inverse…
La distribution du bilan net, ou flux net d’énergie entre la Terre et l’espace, nous renseigne sur les mouvements de l’atmosphère et de l’océan. En effet, ce sera le rôle de ces deux fluides de transporter l’excès d’énergie reçue ici ou là vers les régions où le déficit domine. En particulier, l’océan et l’atmosphère vont transporter l’énergie de la bande tropicale vers les moyennes et les hautes latitudes, plus particulièrement du côté de l’hémisphère d’hiver…
Les gaz émis par les activités humaines occupent désormais une part prépondérante dans l’effet de serre.
Faux Les gaz à effet de serre émis par les activités humaines (gaz carbonique, méthane, ozone, protoxyde d’azote, halocarbones) sont bien sûr en augmentation constante depuis la Révolution Industrielle et le boom démographique de l’humanité. Mais leurs effets cumulés comptent pour 3 W/m2, bien loin des 155 W/m2 dus à l’effet de serre naturel.
On ne sait pas quantifier la part humaine (anthropique) dans le réchauffement actuel
Vrai Les modèles affirment que l’homme a une responsabilité dans le réchauffement constaté depuis 1860, mais ils ne savent pas la mesurer : l’amplitude des températures est trop faible, la résolution des modèles trop grossières, certains forçages trop mal connus. Autant dire que l’on nage dans le brouillard : les gaz à effet de serre peuvent représenter 30, 60 ou 80% du réchauffement observé (ce qui reste peu de toute façon). Les décisions prises en ce domaine (comme le protocole de Kyoto) reposent sur des incertitudes majeures.
Une diminution du CO2 atmosphérique pourrait elle aussi aboutir à des catastrophes.
Vrai En l’état actuel de nos connaissances et des modèles informatiques, les chercheurs sont incapables de prévoir avec certitude les effets locaux d’une variation quelconque d’un élément du climat. Cela signifie qu’une baisse du CO2 pourrait aussi bien avoir des conséquences néfastes pour telle ou telle partie du monde. Par définition, l’imprévisibilité structurelle de la météo (et du climat local) se traduit par toutes sortes de catastrophes locales (sécheresses, inondations, cyclones, etc.). Les gaz à effet de serre ne sont pas l’alpha et l’oméga du climat sur Terre. Et l’idée que l’homme pourrait stabiliser un système aussi complexe par des décisions simples n’a guère de sens.
Le réchauffement récent est directement associé aux concentrations de CO2 et autres gaz à effet de serre.
Faux Si « directement » signifie un rapport de causalité direct et immédiat. Entre 1918 et 1940, la surface s’est réchauffée assez vite (de l’ordre de 0,4 K) avec une concentration de CO2 croissant de 7 ppm. Entre 1940 et 1970, la surface s’est refroidie (de l’ordre de 0,1 K) avec des concentrations de CO2 augmentant de 18 ppm. La relation n’est donc pas linéaire (cf. schéma ci-dessous). En fait, l’évolution des températures du globe dépend de bien d’autres facteurs, dont la plupart sont naturels. A commencer par l’activité du Soleil, qui est la vraie centrale énergétique du climat. Et d’autres facteurs anthropiques (usages des sols, aérosols) influent le climat, mais ils sont aujourd’hui très mal pris en compte par les modèles, et même très mal mesurés à la base.
Principes de base de la thèse de l’effet de serre
https://nov79-com.translate.goog/radte.html?_x_tr_sl=en&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=sc
https://culturesciencesphysique.ens-lyon.fr/ressource/Effet-serre-Dufresne.xml
https://planet-terre.ens-lyon.fr/ressource/principes-effet-serre.xml
https://books.openedition.org/editionscnrs/11348?lang=fr
https://www.hprevot.fr/plus-subtil.pdf
L’effet de serre : un peu de physique avec deux équations
https://books.openedition.org/septentrion/52804?lang=fr
Sur l’effet de serre, lire ici :
https://www.science-climat-energie.be/2018/08/06/le-co2-et-le-climat-avec-et-sans-effet-de-serre/
https://www.climato-realistes.fr/critique-objective-du-concept-de%EF%AC%80et-de-serre/
https://climatorealiste.com/effet-de-serre/
https://www.climato-realistes.fr/un-prix-nobel-de-physique-qui-arrive-a-point-nomme/
Un historique des recherches
Des spécialistes ne croient pas au réchauffement global causé par effet de serre…
Un spécialiste (Michael Griffin, chef de la NASA) qui n’y croit pas mais regrette après coup de l’avoir dit publiquement
Yury Izrael
Khabibullo Abdoussamatov
Richard S. Lindzen et Alfred P. Sloan
Marcel Leroux
https://www.matierevolution.fr/spip.php?article4142
Bill Gray
Paul Reiter
Vincent Gray
Antonio Zichichi
Augie Auer
Comment on démolit les thèses d’un scientifique (Robert Carter)
Reid Bryson
Nils-Axel Mörner
Tom V. Segalstad
Madhav L. Khandekar
Gerhard Gerlich
Freeman Dyson
Tim Ball
https://en.wikipedia.org/wiki/Tim_Ball
Comment on démolit médiatiquement un scientifique (John Coleman)
Daniel Botkin
Un specialiste que l’on refuse de publier (David Douglass) parce qu’il ne s’aligne pas sur le dogme dominant
John Christy
https://www-desmog-com.translate.goog/john-christy/?_x_tr_sl=en&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=sc
Fred Singer
Syun Akasofu
Dans les citations précédentes, nous nous appuyons fréquemment sur un site qui chasse les adversaires du changement anthropique mondial dû à l’effet de serre : De Smog…
Messages
1. L’effet de serre lié au CO² issu de l’activité humaine est-il coupable d’un réchauffement planétaire ? Poser la question n’a rien de scandaleux ni de fâcheux !, 17 janvier, 04:11, par climat
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Quand il fait très froid, ils se rappellent que la météo ce n’est pas le climat. Mais ils l’oublient quand il fait chaud !
https://www.liberation.fr/checknews/pourquoi-dit-on-quil-ne-faut-pas-confondre-meteo-et-climat-quand-il-fait-froid-alors-quon-attribue-les-canicules-au-rechauffement-climatique-lete-20240114_OQXK7KWVNZHNBFXRBJDCABJNDQ/?utm_source=pocket-newtab-fr-fr
2. L’effet de serre lié au CO² issu de l’activité humaine est-il coupable d’un réchauffement planétaire ? Poser la question n’a rien de scandaleux ni de fâcheux !, 26 janvier, 05:13, par climat
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Dans le raisonnement des partisans fanatiques du réchauffement, si la banquise arctique baisse c’est preuve de réchauffement et si elle monte cela ne prouve rien…
https://factuel.afp.com/doc.afp.com.34G94JF
3. L’effet de serre lié au CO² issu de l’activité humaine est-il coupable d’un réchauffement planétaire ? Poser la question n’a rien de scandaleux ni de fâcheux !, 21 novembre, 05:58, par climat tic !
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C’est ridicule de dire qu’une prédiction météorologique pour dans 50 ans, c’est du climatique, alors que le climat a d’autres rythmes, de millions d’années à des centaines de millions d’années.
Parler de réchauffement sur des dizaines d’années comme un phénomène climatique, c’est comme trouver trois hommes un peu plus grands que la moyenne et dire que c’est une évolution de l’espèce…
Dire que le CO² est un polluant nocif, c’est aussi ridicule que d’affirmer que les gens qui se tiennent près d’un feu de cheminée s’intoxiquent au gaz carbonique…
Dire que la hausse du CO² atmosphérique est anthropique, c’est affirmer qu’on envoie plus de CO² dans l’atmosphère avec le tout électrique qu’autrefois avec le chauffage au bois et au charbon, c’est absurde !
Refuser de prendre en compte dans le réchauffement la hausse de température du noyau terrestre, c’est s’aveugler volontairement.
4. L’effet de serre lié au CO² issu de l’activité humaine est-il coupable d’un réchauffement planétaire ? Poser la question n’a rien de scandaleux ni de fâcheux !, 26 novembre, 04:15, par climat tic !
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La Nasa fabrique des nuages dans le ciel au dessus de nombreux pays partout dans le monde...
https://actu.fr/sciences-technologie/pourquoi-la-nasa-fabrique-des-nuages-dans-le-ciel-au-dessus-de-nombreux-pays-partout-dans-le-monde_61909353.html
On nous dit que ce n’est pas un souci mais, par ailleurs, ces responsables ne nous disent-ils pas que le plus grand danger serait l’effet de serre ; or les nuages sont bel et bien des gaz à important effet de serre. Cherchez l’erreur…
5. L’effet de serre lié au CO² issu de l’activité humaine est-il coupable d’un réchauffement planétaire ? Poser la question n’a rien de scandaleux ni de fâcheux !, 27 novembre, 04:23, par Etienne Davoux
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Ils disent que « la science » reconnait la thèse climato-angoissée du réchauffement global soi-disant anthropique, mais quand des scientifiques ne croient pas à e scénario catastrophe, ils les dénoncent virulemment…
https://reporterre.net/La-plus-vieille-societe-savante-de-France-promeut-le-climatoscepticisme